Du jamais vu dans le secteur de l'Education. Le nombre des candidats inscrits pour le concours de recrutement est de 4 millions. C'est dire que l'Education attire les jeunes qui placent ainsi leurs espoirs dans l'enseignement. Du jamais vu dans le secteur de l'Education. Le nombre des candidats inscrits pour le concours de recrutement est de 4 millions. C'est dire que l'Education attire les jeunes qui placent ainsi leurs espoirs dans l'enseignement. C'est la ministre, Nouria Benghebrit, qui a annoncé que les examens du concours de recrutement vont commencer par une période d'inscription du 28 mars au 14 avril. Le nombre de candidats dépasse tout entendement quand on sait que l'on ne doit retenir que 28.075. Ce foisonnement de candidats ne paraît nullement gêner la ministre de l'Education qui axe ses efforts sur "les préparatifs logistiques à travers la mobilisation de centres et établissements scolaires prêts à accueillir les candidats". Ces derniers ont d'ailleurs tout un mois pour se préparer à un examen qui contiendra une épreuve écrite et une autre orale. Les questions des épreuves du concours ne concerneront que les spécialités pour lesquelles les candidats sont concernés. Après les délibérations, c'est le 30 juin que les résultats définitifs seront affichés. Avant les épreuves, les candidats pourront déposer leurs candidatures sur Internet . Les candidats, qui déposeront leurs dossiers, se verront remettre un numéro. Et comme pour anticiper une éventuelle anarchie, vu le nombre impressionnant de candidats, le ministère mise sur l'automatisation de la gestion et la numérisation pour éviter toute erreur ou chevauchement dans les noms et les centres d'examens. Pour ce qui est des contractuels, la ministre s'est montrée ferme concernant cette catégorie en déclarant que "les contractuels sont aussi concernés par ces examens et ils auront toute la chance d'accéder aux postes". Mais rien ne garantit cependant que tous les contractuels seront titularisés. Raison pour laquelle le bras de fer entre le comité qui les représente et le ministère perdure. Cependant, Nouria Benghebrit n'exclut pas qu'il y ait "un dialogue libre et responsable entre la tutelle et les enseignants contractuels" afin de dégeler la crise. La ministre s'est montrée prête à étudier une proposition allant dans le sens d'un statut particulier concernant les contractuels. A noter que les contractuels font face à une instabilité chronique due essentiellement au non renouvellement de leurs contrats qui sont de durée limitée. Mais cela va dépendre des discussions à venir entre les deux parties pour trouver une issue finale. Il faut attendre donc la réponse du Comité des enseignants contractuels. C'est la ministre, Nouria Benghebrit, qui a annoncé que les examens du concours de recrutement vont commencer par une période d'inscription du 28 mars au 14 avril. Le nombre de candidats dépasse tout entendement quand on sait que l'on ne doit retenir que 28.075. Ce foisonnement de candidats ne paraît nullement gêner la ministre de l'Education qui axe ses efforts sur "les préparatifs logistiques à travers la mobilisation de centres et établissements scolaires prêts à accueillir les candidats". Ces derniers ont d'ailleurs tout un mois pour se préparer à un examen qui contiendra une épreuve écrite et une autre orale. Les questions des épreuves du concours ne concerneront que les spécialités pour lesquelles les candidats sont concernés. Après les délibérations, c'est le 30 juin que les résultats définitifs seront affichés. Avant les épreuves, les candidats pourront déposer leurs candidatures sur Internet . Les candidats, qui déposeront leurs dossiers, se verront remettre un numéro. Et comme pour anticiper une éventuelle anarchie, vu le nombre impressionnant de candidats, le ministère mise sur l'automatisation de la gestion et la numérisation pour éviter toute erreur ou chevauchement dans les noms et les centres d'examens. Pour ce qui est des contractuels, la ministre s'est montrée ferme concernant cette catégorie en déclarant que "les contractuels sont aussi concernés par ces examens et ils auront toute la chance d'accéder aux postes". Mais rien ne garantit cependant que tous les contractuels seront titularisés. Raison pour laquelle le bras de fer entre le comité qui les représente et le ministère perdure. Cependant, Nouria Benghebrit n'exclut pas qu'il y ait "un dialogue libre et responsable entre la tutelle et les enseignants contractuels" afin de dégeler la crise. La ministre s'est montrée prête à étudier une proposition allant dans le sens d'un statut particulier concernant les contractuels. A noter que les contractuels font face à une instabilité chronique due essentiellement au non renouvellement de leurs contrats qui sont de durée limitée. Mais cela va dépendre des discussions à venir entre les deux parties pour trouver une issue finale. Il faut attendre donc la réponse du Comité des enseignants contractuels.