L'islam ancestral doit être le seul référent face aux menaces de radicalisation et de l'extrémisme religieux. C'est le message clair du ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aissa, qui se déploie partout pour faire entendre la religion de la modération et du progrès. L'islam ancestral doit être le seul référent face aux menaces de radicalisation et de l'extrémisme religieux. C'est le message clair du ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aissa, qui se déploie partout pour faire entendre la religion de la modération et du progrès. Face à la poussée wahhabite et salafiste, le ministre s'est toujours montré ferme dans ses dénonciations de ces groupes sectaires. Sa dernière sortie en Kabylie ne laisse pas indifférent. Le ministre a appelé ainsi pour "un retour salutaire à notre islam ancestral" et selon lui "la Kabylie incarne le référent religieux national. Car elle a toujours été en perpétuel contact avec l'élite, celle de l'Andalousie notamment". Mohamed Aissa dans sa tournée en Kabylie s'est attardé sur l'importance du référent national qui constitue selon lui, "le ciment de l'unité de la nation". La ville de Tizi-Ouzou reste la première ville par son nombre de mosquées et zaouïas au niveau du pays et elle est donc un "rempart contre ceux qui veulent brouiller l'image de l'islam ancestral" tel qu'il est pratiqué depuis des millénaires. Pour le ministre, "le référent religieux national se manifeste dans sa modération, son ouverture, son référent jurisprudentiel, dogmatique et spirituel et se matérialise carrément en Kabylie" a-t-il fait savoir lors d'un entretien à un média. Du coup, le ministre appelle à mettre aussi le patrimoine amazigh dans le cadre de la préservation unitaire du pays. Dans un autre message, cette fois de Djelfa, le ministre a qualifié les dérives sectaires de "néo-colonialisme où certains ont recours à des moyens pour diviser un pays entre sunnites et chiites et d'autres s'emploient à semer la discorde entre malékites et ibadites en ce qui concerne l'Algérie". Ce n'est pas la première fois que Mohamed Aissa tient ce genre de discours, puisque les considérations outre celles religieuses concernent les vraies menaces émanant de l'extérieur. C'est pour cette raison que le ministre a appelé le soutien des zaouïas de tout le pays pour contrer "les idéologies extrémistes et étrangères à la nation algérienne". Le département de Mohamed Aissa promet d'activer colloques et séminaires dans toutes les régions pour promouvoir le rôle des zaouïas. De plus, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, a fait savoir dans sa réponse aux députés que "la réglementation est stricte pour le contrôle des mosquées et leur activité". Il s'agit surtout les dons et legs que seules les commissions instituées par l'Etat dans les mosquées sauront les gérer. Une mesure, rappelons-le, qui vise à protéger les mosquées des groupes salafistes qui tentent de les embrigader. Face à la poussée wahhabite et salafiste, le ministre s'est toujours montré ferme dans ses dénonciations de ces groupes sectaires. Sa dernière sortie en Kabylie ne laisse pas indifférent. Le ministre a appelé ainsi pour "un retour salutaire à notre islam ancestral" et selon lui "la Kabylie incarne le référent religieux national. Car elle a toujours été en perpétuel contact avec l'élite, celle de l'Andalousie notamment". Mohamed Aissa dans sa tournée en Kabylie s'est attardé sur l'importance du référent national qui constitue selon lui, "le ciment de l'unité de la nation". La ville de Tizi-Ouzou reste la première ville par son nombre de mosquées et zaouïas au niveau du pays et elle est donc un "rempart contre ceux qui veulent brouiller l'image de l'islam ancestral" tel qu'il est pratiqué depuis des millénaires. Pour le ministre, "le référent religieux national se manifeste dans sa modération, son ouverture, son référent jurisprudentiel, dogmatique et spirituel et se matérialise carrément en Kabylie" a-t-il fait savoir lors d'un entretien à un média. Du coup, le ministre appelle à mettre aussi le patrimoine amazigh dans le cadre de la préservation unitaire du pays. Dans un autre message, cette fois de Djelfa, le ministre a qualifié les dérives sectaires de "néo-colonialisme où certains ont recours à des moyens pour diviser un pays entre sunnites et chiites et d'autres s'emploient à semer la discorde entre malékites et ibadites en ce qui concerne l'Algérie". Ce n'est pas la première fois que Mohamed Aissa tient ce genre de discours, puisque les considérations outre celles religieuses concernent les vraies menaces émanant de l'extérieur. C'est pour cette raison que le ministre a appelé le soutien des zaouïas de tout le pays pour contrer "les idéologies extrémistes et étrangères à la nation algérienne". Le département de Mohamed Aissa promet d'activer colloques et séminaires dans toutes les régions pour promouvoir le rôle des zaouïas. De plus, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, a fait savoir dans sa réponse aux députés que "la réglementation est stricte pour le contrôle des mosquées et leur activité". Il s'agit surtout les dons et legs que seules les commissions instituées par l'Etat dans les mosquées sauront les gérer. Une mesure, rappelons-le, qui vise à protéger les mosquées des groupes salafistes qui tentent de les embrigader.