Le ministère de l'Education nationale et celui de la Poste et des Technologies de l'information (PTIC) ont signé à Alger quatre conventions s'inscrivant dans la démarche de modernisation de l'école algérienne initiée par le secteur de l'Education. Le ministère de l'Education nationale et celui de la Poste et des Technologies de l'information (PTIC) ont signé à Alger quatre conventions s'inscrivant dans la démarche de modernisation de l'école algérienne initiée par le secteur de l'Education. Les quatre conventions portent sur "la mise en place d'un système d'automatisation, de management et d'information de l'éducation", "la numérisation du contenu pédagogique", "la mis en place d'une bibliologie numérique" et enfin "la mise en place d'une plateforme de formation à distance". Pour la mise en oeuvre de ces conventions, dans les mois à venir, le ministère de l'Education nationale sera assisté par celui de la Poste et des TIC sur les plans technique et financier, à hauteur de 556 millions DA, ainsi que par un aménagement et un suivi des travaux de réalisation. Ces conventions tiennent compte de trois axes majeurs, à savoir la gestion des ressources humaines et de la vie scolaire, le processus enseignementapprentissage et enfin, la professionnalisation des personnels par la formation, a indiqué la ministre de l'Education nationale, Mme Nouria Benghebrit. S'agissant de la première convention, elle a précisé qu'elle vise notamment à "renforcer la performance de l'administration et la maîtrise des dépenses publiques". A travers la modernisation du processus enseignement-apprentissage, objet de la seconde convention, il s'agit de "s'adapter aux nouvelles méthodes d'apprentissage" qu'offrent les nouvelles technologies qui font désormais partie du quotidien des élèves, a-t-elle ajouté. La mise en place d'une plate-forme numérique tend, quant à elle, à mettre à la disposition des personnels du secteur de l'éducation "les ressources à même de les aider à s'auto-former pour être plus performants et à se préparer aux nouveaux modes d'enseignement et d'apprentissage", a poursuivi Mme Benghebrit. Soulignant l'importance du secteur de l'Education nationale, la ministre de la Poste et des TIC, Imène Houda Faraoun a rappelé le plan du gouvernement consistant en l'introduction des nouvelles technologies dans l'ensemble des départements ministériels. La signature de ces conventions permettra une "lecture précise et utile dans le processus pédagogique de l'élève", le but étant "davantage de rentabilité", a-t-elle relevé, soulignant l'apport des TIC pour "l'adaptation des générations montantes au monde de demain". Pour ce faire, elle a préconisé l'intégration des nouvelles technologies dans le processus d'apprentissage en tant qu'"outils pédagogiques importants" permettant à l'enseignant de s'auto-former d'une part, et de renouveler ses connaissances et les modes de transmissions aux élèves, d'autre part. Les deux ministres ont fait part, enfin, de mesures au profit des fonctionnaires du secteur de l'Education nationale consistant en des réductions de leurs frais d'abonnement à Internet entre 33 à 40 %, de même que l'abonnement aux bibliothèques virtuelles, à raison de 60 %. Les quatre conventions portent sur "la mise en place d'un système d'automatisation, de management et d'information de l'éducation", "la numérisation du contenu pédagogique", "la mis en place d'une bibliologie numérique" et enfin "la mise en place d'une plateforme de formation à distance". Pour la mise en oeuvre de ces conventions, dans les mois à venir, le ministère de l'Education nationale sera assisté par celui de la Poste et des TIC sur les plans technique et financier, à hauteur de 556 millions DA, ainsi que par un aménagement et un suivi des travaux de réalisation. Ces conventions tiennent compte de trois axes majeurs, à savoir la gestion des ressources humaines et de la vie scolaire, le processus enseignementapprentissage et enfin, la professionnalisation des personnels par la formation, a indiqué la ministre de l'Education nationale, Mme Nouria Benghebrit. S'agissant de la première convention, elle a précisé qu'elle vise notamment à "renforcer la performance de l'administration et la maîtrise des dépenses publiques". A travers la modernisation du processus enseignement-apprentissage, objet de la seconde convention, il s'agit de "s'adapter aux nouvelles méthodes d'apprentissage" qu'offrent les nouvelles technologies qui font désormais partie du quotidien des élèves, a-t-elle ajouté. La mise en place d'une plate-forme numérique tend, quant à elle, à mettre à la disposition des personnels du secteur de l'éducation "les ressources à même de les aider à s'auto-former pour être plus performants et à se préparer aux nouveaux modes d'enseignement et d'apprentissage", a poursuivi Mme Benghebrit. Soulignant l'importance du secteur de l'Education nationale, la ministre de la Poste et des TIC, Imène Houda Faraoun a rappelé le plan du gouvernement consistant en l'introduction des nouvelles technologies dans l'ensemble des départements ministériels. La signature de ces conventions permettra une "lecture précise et utile dans le processus pédagogique de l'élève", le but étant "davantage de rentabilité", a-t-elle relevé, soulignant l'apport des TIC pour "l'adaptation des générations montantes au monde de demain". Pour ce faire, elle a préconisé l'intégration des nouvelles technologies dans le processus d'apprentissage en tant qu'"outils pédagogiques importants" permettant à l'enseignant de s'auto-former d'une part, et de renouveler ses connaissances et les modes de transmissions aux élèves, d'autre part. Les deux ministres ont fait part, enfin, de mesures au profit des fonctionnaires du secteur de l'Education nationale consistant en des réductions de leurs frais d'abonnement à Internet entre 33 à 40 %, de même que l'abonnement aux bibliothèques virtuelles, à raison de 60 %.