Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, est parti en Suisse pour y subir des examens médicaux. L'information n'est pas rapportée par un média ou l'oeuvre d'une rumeur, mais elle est annoncée par un canal officiel. En effet c'est un communiqué de la présidence de la République, publié via l'agence APS, qui donne la nouvelle. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, est parti en Suisse pour y subir des examens médicaux. L'information n'est pas rapportée par un média ou l'oeuvre d'une rumeur, mais elle est annoncée par un canal officiel. En effet c'est un communiqué de la présidence de la République, publié via l'agence APS, qui donne la nouvelle. Son excellence, "Abdelaziz Bouteflika, président de la République a quitté le pays ce dimanche 24 avril 2016, pour une visite privée à Genève, durant laquelle, il effectuera des contrôles médicaux périodiques" a en effet annoncé hier la présidence de la République via une dépêche APS qui est tombée sur les téléscripteurs à 13h42. Le communiqué n'en dit pas plus. Cette information intervient dans un contexte marqué par une forte polémique sur l'état de santé du chef de l'Etat. Une polémique provoquée par le tweet du Premier ministre français, Manuel Valls, dans lequel il publie une photo du président Bouteflika qui y apparait extrêmement fatigué. Au-delà du fait que cette photo a suscité une ferme condamnation en Algérie contre cette acte jugé "hostile" du Premier ministre français, elle a surtout relancé le débat sur l'état de santé du président de la République. L'opposition s'est ainsi engouffrée dans cette brèche en revenant à la charge s'agissant de l'incapacité du président Bouteflika de gérer les affaires de l'Etat. Thèse que rejetaient, à l'évidence, ses partisans qui même s'ils admettaient que le président est amoindri physiquement n'en estimaient pas moins qu'il est apte à gouverner. Qu'à cela ne tienne la présidence de la République a le mérite, à travers cette annonce officielle, de devancer la rumeur et de couper ainsi court à toutes les éventuelles spéculations. En vérité ce n'est pas la première fois que la présidence de la République devance la rumeur puisque cela a déjà été le cas il y a juste quelques mois lorsque le président Bouteflika est parti en France pour les mêmes motifs. "Son Excellence, Abdelaziz Bouteflika, président de la République, a quitté le pays ce jour, jeudi 3 décembre 2015, pour une courte visite privée en France, durant laquelle il effectuera ses contrôles médicaux périodiques, sous la direction de ses médecins traitants" annonçait, en effet, un communiqué de la présidence de la République. Ce communiqué n'a pas précisé dans quel hôpital le président de la République allait suivre ces examens médicaux. Mais l'on a vite su, par le biais de la presse française, que le président Bouteflika avait été admis à l'époque dans la clinique d'Alembert de la ville de Grenoble. Le président Bouteflika a ainsi subi des examens médicaux dans le service de cardiologie du docteur Jacques Monségu, qui le suit depuis une dizaine d'années, au Val-de-Grâce d'abord, et depuis 2014 au Groupe hospitalier mutualiste de cette ville qui se trouve dans le sud-est de la France. Le président Bouteflika a séjourné dans cette même clinique en novembre 2014 pour y subir des examens médicaux chez le même professeur, Mais ce premier séjour n'a pas été annoncé officiellement et il a fallu attendre presque trois semaines avant que le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, ne confirme l'information depuis Paris où il effectuait une visite officielle. Depuis qu'il a été hospitalisé à l'hôpital parisien de Val-De Grâce au mois d'avril 2013, suite à un accident vasculaire cardiaque (AVC), le président Bouteflika, dont la santé est fragile, est constamment l'objet de rumeurs. Son excellence, "Abdelaziz Bouteflika, président de la République a quitté le pays ce dimanche 24 avril 2016, pour une visite privée à Genève, durant laquelle, il effectuera des contrôles médicaux périodiques" a en effet annoncé hier la présidence de la République via une dépêche APS qui est tombée sur les téléscripteurs à 13h42. Le communiqué n'en dit pas plus. Cette information intervient dans un contexte marqué par une forte polémique sur l'état de santé du chef de l'Etat. Une polémique provoquée par le tweet du Premier ministre français, Manuel Valls, dans lequel il publie une photo du président Bouteflika qui y apparait extrêmement fatigué. Au-delà du fait que cette photo a suscité une ferme condamnation en Algérie contre cette acte jugé "hostile" du Premier ministre français, elle a surtout relancé le débat sur l'état de santé du président de la République. L'opposition s'est ainsi engouffrée dans cette brèche en revenant à la charge s'agissant de l'incapacité du président Bouteflika de gérer les affaires de l'Etat. Thèse que rejetaient, à l'évidence, ses partisans qui même s'ils admettaient que le président est amoindri physiquement n'en estimaient pas moins qu'il est apte à gouverner. Qu'à cela ne tienne la présidence de la République a le mérite, à travers cette annonce officielle, de devancer la rumeur et de couper ainsi court à toutes les éventuelles spéculations. En vérité ce n'est pas la première fois que la présidence de la République devance la rumeur puisque cela a déjà été le cas il y a juste quelques mois lorsque le président Bouteflika est parti en France pour les mêmes motifs. "Son Excellence, Abdelaziz Bouteflika, président de la République, a quitté le pays ce jour, jeudi 3 décembre 2015, pour une courte visite privée en France, durant laquelle il effectuera ses contrôles médicaux périodiques, sous la direction de ses médecins traitants" annonçait, en effet, un communiqué de la présidence de la République. Ce communiqué n'a pas précisé dans quel hôpital le président de la République allait suivre ces examens médicaux. Mais l'on a vite su, par le biais de la presse française, que le président Bouteflika avait été admis à l'époque dans la clinique d'Alembert de la ville de Grenoble. Le président Bouteflika a ainsi subi des examens médicaux dans le service de cardiologie du docteur Jacques Monségu, qui le suit depuis une dizaine d'années, au Val-de-Grâce d'abord, et depuis 2014 au Groupe hospitalier mutualiste de cette ville qui se trouve dans le sud-est de la France. Le président Bouteflika a séjourné dans cette même clinique en novembre 2014 pour y subir des examens médicaux chez le même professeur, Mais ce premier séjour n'a pas été annoncé officiellement et il a fallu attendre presque trois semaines avant que le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, ne confirme l'information depuis Paris où il effectuait une visite officielle. Depuis qu'il a été hospitalisé à l'hôpital parisien de Val-De Grâce au mois d'avril 2013, suite à un accident vasculaire cardiaque (AVC), le président Bouteflika, dont la santé est fragile, est constamment l'objet de rumeurs.