Figurant parmi la nouvelle liste des détenteurs de sociétés offshores,citée dans le scandale des Panama Papers, la Banque extérieure d'Algérie, plus grande banque publique algérienne est actionnaire de l'Algerian Saudi leasing ltd, domiciliée aux îles vierges britanniques, a confirmé à TSA l'existence de cette société et s'explique par le biais de son directeur général adjoint chargé des finances Lazhar Latreche. Figurant parmi la nouvelle liste des détenteurs de sociétés offshores,citée dans le scandale des Panama Papers, la Banque extérieure d'Algérie, plus grande banque publique algérienne est actionnaire de l'Algerian Saudi leasing ltd, domiciliée aux îles vierges britanniques, a confirmé à TSA l'existence de cette société et s'explique par le biais de son directeur général adjoint chargé des finances Lazhar Latreche. Ce denier précise que "C'est une filiale qui a été créée en 1990 entre la partie algérienne, à savoir la BEA, et le groupe Al Baraka de l'Arabie saoudite". Il a également souligné que : "Cette filiale obéit à une activité de financement du leasing de l'économie nationale". "C'est une société qui dispose de toutes les autorisations nécessaires du gouvernement algérien et est basée aux Iles Vierges britanniques", assure le directeur adjoint, en soulignant que cette société est toujours en activité. "C'est une société par actions, à savoir 50% pour la partie algérienne et 50% pour le groupe Al Baraka", précise encore M. Latreche qui justifie le recours par la BEA à une société offshore par certains avantages, sans donner de détails. Ce denier précise que "C'est une filiale qui a été créée en 1990 entre la partie algérienne, à savoir la BEA, et le groupe Al Baraka de l'Arabie saoudite". Il a également souligné que : "Cette filiale obéit à une activité de financement du leasing de l'économie nationale". "C'est une société qui dispose de toutes les autorisations nécessaires du gouvernement algérien et est basée aux Iles Vierges britanniques", assure le directeur adjoint, en soulignant que cette société est toujours en activité. "C'est une société par actions, à savoir 50% pour la partie algérienne et 50% pour le groupe Al Baraka", précise encore M. Latreche qui justifie le recours par la BEA à une société offshore par certains avantages, sans donner de détails.