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L'amende fixée entre 5.000 et 7.000 DA
Infractions au code de la route
Publié dans Le Midi Libre le 11 - 06 - 2016

Le projet de révision du Code de la route adopté récemment par le Conseil du gouvernement a permis d'augmenter la valeur des amendes aux infractions à l'origine des accidents, notamment ceux classés au 4e degré, a annoncé, avant-hier, Noureddine Bedoui, ministre de l'Intérieur.
Le projet de révision du Code de la route adopté récemment par le Conseil du gouvernement a permis d'augmenter la valeur des amendes aux infractions à l'origine des accidents, notamment ceux classés au 4e degré, a annoncé, avant-hier, Noureddine Bedoui, ministre de l'Intérieur.
L'amende est fixée entre 5.000 dinars et 7.000 dinars, a-t-il affirmé, selon des propos rapportés par l'agence APS. Selon Bedoui, qui s'exprimait au Sénat, les accidents de la route coûtent à l'Etat 100 milliards de dinars par an.
"La moyenne des accidents de la route avoisine les 4.000 morts/an, coûtant à l'Etat 100 milliards de dinars", ce qui exige "l'introduction de nouvelles dispositions dans le Code de la route, notamment l'augmentation des amendes forfaitaires aux infractions de la route à l'origine des accidents de la circulation et la mise en place du permis à points", a expliqué le ministre.
Aune question d'un membre du Conseil de la nation sur les mesures prises pour réduire les accidents de la route, Bedoui a indiqué que "la moyenne des accidents de la route avoisine les 4.000 morts/an, coûtant à l'Etat 100 milliards de dinars", ce qui exige "l'introduction de nouvelles dispositions dans le code de la route, notamment l'augmentation des amendes forfaitaires aux infractions de la route à l'origine des accidents de la circulation et la mise en place du permis à points".
"L'élément humain, notamment en ce qui concerne le non respect des règles de conduite, est le dénominateur commun dans 95 % des accidents de la route", a indiqué le ministre, soulignant que l'excès de vitesse et les dépassements dangereux étaient à l'origine de 50 % du nombre global des accidents de la circulation.
Les expériences d'entreprises étrangères mises à profit A cet effet, les expériences des entreprises en charge de la sécurité routière dans certains pays, à l'instar de l'Espagne et la France ont été mises à profit pour accompagner les réformes initiées par l'Algérie dans ce domaine, et ce à travers un projet de jumelage et d'une convention de coopération d'une durée de cinq ans.
A une question sur la réduction de la pose "anarchique" des ralentisseurs, Bedoui a indiqué que le ministère de l'Intérieur a émis en février dernier, en collaboration avec le ministère des Travaux publics, une directive visant à rappeler aux citoyens le règlement en vigueur et à prendre les mesures visant à "réadapter les ralentisseurs non conformes aux critères techniques et à supprimer progressivement celles réalisées sans autorisation".
La directive vise également à mettre en place de plaques de signalisation horizontales et verticales pour indiquer la présence de ces ralentisseurs, avec l'association des services techniques des travaux publics à la réalisation de ces dos d'ânes, outre l'interdiction de leur pose au niveau des routes à grande circulation.
L'amende est fixée entre 5.000 dinars et 7.000 dinars, a-t-il affirmé, selon des propos rapportés par l'agence APS. Selon Bedoui, qui s'exprimait au Sénat, les accidents de la route coûtent à l'Etat 100 milliards de dinars par an.
"La moyenne des accidents de la route avoisine les 4.000 morts/an, coûtant à l'Etat 100 milliards de dinars", ce qui exige "l'introduction de nouvelles dispositions dans le Code de la route, notamment l'augmentation des amendes forfaitaires aux infractions de la route à l'origine des accidents de la circulation et la mise en place du permis à points", a expliqué le ministre.
Aune question d'un membre du Conseil de la nation sur les mesures prises pour réduire les accidents de la route, Bedoui a indiqué que "la moyenne des accidents de la route avoisine les 4.000 morts/an, coûtant à l'Etat 100 milliards de dinars", ce qui exige "l'introduction de nouvelles dispositions dans le code de la route, notamment l'augmentation des amendes forfaitaires aux infractions de la route à l'origine des accidents de la circulation et la mise en place du permis à points".
"L'élément humain, notamment en ce qui concerne le non respect des règles de conduite, est le dénominateur commun dans 95 % des accidents de la route", a indiqué le ministre, soulignant que l'excès de vitesse et les dépassements dangereux étaient à l'origine de 50 % du nombre global des accidents de la circulation.
Les expériences d'entreprises étrangères mises à profit A cet effet, les expériences des entreprises en charge de la sécurité routière dans certains pays, à l'instar de l'Espagne et la France ont été mises à profit pour accompagner les réformes initiées par l'Algérie dans ce domaine, et ce à travers un projet de jumelage et d'une convention de coopération d'une durée de cinq ans.
A une question sur la réduction de la pose "anarchique" des ralentisseurs, Bedoui a indiqué que le ministère de l'Intérieur a émis en février dernier, en collaboration avec le ministère des Travaux publics, une directive visant à rappeler aux citoyens le règlement en vigueur et à prendre les mesures visant à "réadapter les ralentisseurs non conformes aux critères techniques et à supprimer progressivement celles réalisées sans autorisation".
La directive vise également à mettre en place de plaques de signalisation horizontales et verticales pour indiquer la présence de ces ralentisseurs, avec l'association des services techniques des travaux publics à la réalisation de ces dos d'ânes, outre l'interdiction de leur pose au niveau des routes à grande circulation.


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