Il ne reste qu'un mois pour la régularisation des constructions inachevées. Les autorités ont en effet donné le dernier ultimatum aux propriétaires de ces constructions en août. Passé outre ce délai, toute bâtisse sera démolie. Il ne reste qu'un mois pour la régularisation des constructions inachevées. Les autorités ont en effet donné le dernier ultimatum aux propriétaires de ces constructions en août. Passé outre ce délai, toute bâtisse sera démolie. Pour ce mettre en règle contre les carcasses de construction on achevées, l'Etat a décidé de bien sévir conformément à la loi 08 15 du 20 juillet 2015 qui met toute la lumière sur le respect des procédés. Pour mettre de l'ordre dans ce secteur, l'Etat a recensé actuellement plus de 1.200.000 bâtisses qui sont soient achevées ou qui n'obéissent pas aux normes de construction. Le ministre de l'Habitat s'est montré intransigeant sur la question en refusant tout délai supplémentaire sur des constructions anarchiques dont on sait pour quel motif elles ont été abandonnées à leur triste sort. Actuellement, il faut savoir que toute construction qu'elle soit étatique ou privée, doit obtenir au préalable un permis de construire. Ce procédé est obligatoire et faute de document, les pouvoirs publics sont obligés de mettre en demeure le propriétaire ou de démolir la construction. Les instructions de l'application, selon Abdelmadjid Tebboune concernent les APC, services de contrôle de CTC, les services d'urbanisme des wilayas et les représentants de la Justice et les services de sécurité. Ces éléments ont l'aval de détruire toutes ces constructions après avoir dûment constaté l'expiration du délai accordé. Selon le président du collège national des architectes, Abdelhamid Boudaoud "ces comportements ont occasionné des conséquences néfastes sur l'environnement et le cadre bâti dont le pays en subit l'incohérence et l'agressivité". Plus loin, cet expert regrette qu'on ait laissé "le champ libre à un urbanisation accélérée, anarchique et incontrôlable" en invitant les autorités "à consulter les experts dans ce domaine tant le mal semble bien ancré". Wahid Temmar, directeur de l'urbanisme et de l'architecture au niveau du ministère de l'Habitat rappelle les mesures qui vont être prises contre les contrevenants. "Il y a le non renouvellement du bail de location pour ceux qui ont loué les rez-de-chaussée à usage commercial et le non-renouvellement du registre de commerce pour ceux qui utilisent ces rez-de-chaussée à des fins commerciales". Cela ne s'arrête pas là puisque selon le même responsable, "les constructions dans les lits d'oueds, espaces publics, plages ne relèvent pas uniquement du ministère de l'Habitat" et sont considérées de surcroîts interdits pour tout bâti. Automatiquement le corps des inspecteurs de l'urbanisme et des autres experts va devoir démolir ces constructions après des P.-V techniques et des rapports transmis aux autorités. Selon une source du ministère de l'Habitat, les moyens de communication ont été déployés pour avertir tous ces propriétaires que la décision de l'Etat est irréversible d'autant que ces derniers doivent avoir tous les documents techniques pour attester de la conformité aux usages de construction. Pour ceux qui sont en retard délibérément et ceux qui n'ont pas terminé leurs travaux, aucune excuse n'est à justifier. Ces propriétaires seront soient poursuivis en justice ou bien leurs propriétés confisquées et ne pourront obtenir la décision de terminer les travaux qu'après une sanction sous forme d'amende. Mais d'aucuns estiment que l'opération sera graduelle vu que les moyens de contrôle au niveau national ont besoin d'une grande mobilisation de ressources humaines. Le pari sera-t-il tenu ? Pour ce mettre en règle contre les carcasses de construction on achevées, l'Etat a décidé de bien sévir conformément à la loi 08 15 du 20 juillet 2015 qui met toute la lumière sur le respect des procédés. Pour mettre de l'ordre dans ce secteur, l'Etat a recensé actuellement plus de 1.200.000 bâtisses qui sont soient achevées ou qui n'obéissent pas aux normes de construction. Le ministre de l'Habitat s'est montré intransigeant sur la question en refusant tout délai supplémentaire sur des constructions anarchiques dont on sait pour quel motif elles ont été abandonnées à leur triste sort. Actuellement, il faut savoir que toute construction qu'elle soit étatique ou privée, doit obtenir au préalable un permis de construire. Ce procédé est obligatoire et faute de document, les pouvoirs publics sont obligés de mettre en demeure le propriétaire ou de démolir la construction. Les instructions de l'application, selon Abdelmadjid Tebboune concernent les APC, services de contrôle de CTC, les services d'urbanisme des wilayas et les représentants de la Justice et les services de sécurité. Ces éléments ont l'aval de détruire toutes ces constructions après avoir dûment constaté l'expiration du délai accordé. Selon le président du collège national des architectes, Abdelhamid Boudaoud "ces comportements ont occasionné des conséquences néfastes sur l'environnement et le cadre bâti dont le pays en subit l'incohérence et l'agressivité". Plus loin, cet expert regrette qu'on ait laissé "le champ libre à un urbanisation accélérée, anarchique et incontrôlable" en invitant les autorités "à consulter les experts dans ce domaine tant le mal semble bien ancré". Wahid Temmar, directeur de l'urbanisme et de l'architecture au niveau du ministère de l'Habitat rappelle les mesures qui vont être prises contre les contrevenants. "Il y a le non renouvellement du bail de location pour ceux qui ont loué les rez-de-chaussée à usage commercial et le non-renouvellement du registre de commerce pour ceux qui utilisent ces rez-de-chaussée à des fins commerciales". Cela ne s'arrête pas là puisque selon le même responsable, "les constructions dans les lits d'oueds, espaces publics, plages ne relèvent pas uniquement du ministère de l'Habitat" et sont considérées de surcroîts interdits pour tout bâti. Automatiquement le corps des inspecteurs de l'urbanisme et des autres experts va devoir démolir ces constructions après des P.-V techniques et des rapports transmis aux autorités. Selon une source du ministère de l'Habitat, les moyens de communication ont été déployés pour avertir tous ces propriétaires que la décision de l'Etat est irréversible d'autant que ces derniers doivent avoir tous les documents techniques pour attester de la conformité aux usages de construction. Pour ceux qui sont en retard délibérément et ceux qui n'ont pas terminé leurs travaux, aucune excuse n'est à justifier. Ces propriétaires seront soient poursuivis en justice ou bien leurs propriétés confisquées et ne pourront obtenir la décision de terminer les travaux qu'après une sanction sous forme d'amende. Mais d'aucuns estiment que l'opération sera graduelle vu que les moyens de contrôle au niveau national ont besoin d'une grande mobilisation de ressources humaines. Le pari sera-t-il tenu ?