Le RCD s'en prend une nouvelle fois aux autorités. Ce parti a en effet dénoncé hier les autorités de la wilaya de Tamanrasset accusées d'avoir interdit les activités des structures locales du parti. Dans un communiqué, rendu public hier, le RCD accuse directement le Secrétaire général de la wilaya qui aurait agi ainsi "au motif de risques sur l'ordre public". Le RCD s'en prend une nouvelle fois aux autorités. Ce parti a en effet dénoncé hier les autorités de la wilaya de Tamanrasset accusées d'avoir interdit les activités des structures locales du parti. Dans un communiqué, rendu public hier, le RCD accuse directement le Secrétaire général de la wilaya qui aurait agi ainsi "au motif de risques sur l'ordre public". Le RCD note que "cette interdiction a été formulée dans une correspondance envoyée à son bureau régional et ce après la tenue d'une réunion de l'aile jeunesse à la maison de jeunes de la ville". Selon ce communiqué le Secrétaire général de la wilaya aurait évoqué dans sa correspondance des "comportements (qui) portent atteinte à la réputation de la formation politique à laquelle vous appartenez (RCD) d'une part et (qui) portent atteinte aussi à l'ordre public et sont passibles de poursuites judiciaires". (..) "L'administration prendra en compte ces comportements et ne s'engagera à délivrer aucune espèce d'autorisation pour tout type de réunion que vous projetteriez d'organiser". Pour le RCD, il s'agit d'une sorte d'état d'exception à son encontre décidé par un Secrétaire général d'une wilaya où la "Constitution et les lois sont suspendues pour empêcher les activités du RCD". Le parti revient, par la suite, sur l'activité à la suite de laquelle est intervenue l'interdiction signifiée par le Secrétaire générale de la wilaya. La parti annonce qu'il s'agit d'une conférence sur le thème : "Le rôle de la jeunesse dans le combat politique". Au cours de la rencontre, les militants ont abordé "L'isolement et l'abandon de la région", le "Problème des diplômés chômeurs" et "L'absence d'une politique de développement pour la région". Le RCD note que "cette interdiction a été formulée dans une correspondance envoyée à son bureau régional et ce après la tenue d'une réunion de l'aile jeunesse à la maison de jeunes de la ville". Selon ce communiqué le Secrétaire général de la wilaya aurait évoqué dans sa correspondance des "comportements (qui) portent atteinte à la réputation de la formation politique à laquelle vous appartenez (RCD) d'une part et (qui) portent atteinte aussi à l'ordre public et sont passibles de poursuites judiciaires". (..) "L'administration prendra en compte ces comportements et ne s'engagera à délivrer aucune espèce d'autorisation pour tout type de réunion que vous projetteriez d'organiser". Pour le RCD, il s'agit d'une sorte d'état d'exception à son encontre décidé par un Secrétaire général d'une wilaya où la "Constitution et les lois sont suspendues pour empêcher les activités du RCD". Le parti revient, par la suite, sur l'activité à la suite de laquelle est intervenue l'interdiction signifiée par le Secrétaire générale de la wilaya. La parti annonce qu'il s'agit d'une conférence sur le thème : "Le rôle de la jeunesse dans le combat politique". Au cours de la rencontre, les militants ont abordé "L'isolement et l'abandon de la région", le "Problème des diplômés chômeurs" et "L'absence d'une politique de développement pour la région".