L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (Arav) a, de nouveau, adressé une mise en garde aux chaînes de télévision. Cette fois-ci le rappel à l'ordre de l'institution, que préside Zouaoui Benhamadai, porte sur les informations relatives aux rapts d'enfants. L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (Arav) a, de nouveau, adressé une mise en garde aux chaînes de télévision. Cette fois-ci le rappel à l'ordre de l'institution, que préside Zouaoui Benhamadai, porte sur les informations relatives aux rapts d'enfants. L'Arav fait certainement allusion à la dernière affaire du kidnapping de la petite Nihal retrouvée hélas morte quelques jours seulement après son enlèvement. Cette institution a ainsi, appelé les médias audiovisuels à traiter les informations ou les images relatives aux rapts d'enfants "en se fiant exclusivement, comme l'exige la loi, au communiqué du procureur de la République compétent", avant toute diffusion d'image ou d'information. "L'Autorité appelle à une observance des valeurs et des règles professionnelles en plaçant les événements dans leur juste contexte et en se fiant exclusivement, comme l'exige la loi, au communiqué du procureur de la République compétent, qui lui-même travaille en coordination avec les services de sécurité, avant toute diffusion d'image ou d'information de façon à éviter tout ce qui est de nature à perturber le cours de l'enquête et de la recherche", a précisé hier un communiqué de l'Arav, signé par son président, Zouaoui Benhamadi. L'Arav a relevé que cette démarche "vise à permettre aux professionnels de l'information de traiter ce genre d'événements avec le sens de la raison et de la responsabilité". Se disant interpellée par les actes "ignobles et inadmissible" dont sont victimes des enfants, l'Arav en appelle à toutes les parties impliquées dans la diffusion de l'information à observer "une rigueur toujours plus grande dans le traitement de ces informations de très haute sensibilité humaine". L'Arav valorise, à son juste titre, le plan national "Alerte rapt/disparition d'enfants" pour mieux veiller au respect des lois de la République en vigueur, notamment la loi 14-04 relative à l'activité audiovisuelle qui reprend dans son article 48 les dispositions se rapportant à l'objectivité et à la transparence dans le traitement de l'information et la couverture des événements ainsi que Les dispositions de la loi organique relatives à l'information et celle 15-12 relative à la protection de l'enfant ainsi que les conventions et traités internationaux. Tout en relevant le caractère "spécifique" de la couverture médiatique de ce genre d'événements, l'Autorité invite tous les professionnels à éviter le style sensationnel, les interviews et autres entretiens incitateurs pouvant porter atteinte aux libertés individuelles. L'Arav dénonce et condamne "fermement ces actes inqualifiables qui vont à l'encontre des valeurs humaines et civilisationnelles de notre société" et invite tous les professionnels du secteur à donner "tout son sens" et sa "vigueur" à l'instructio n du premier ministre relative au plan d'"Alerte rapt/disparition d'enfants de façon à mieux contribuer à sauver la vie de l'enfant en danger". L'Arav fait certainement allusion à la dernière affaire du kidnapping de la petite Nihal retrouvée hélas morte quelques jours seulement après son enlèvement. Cette institution a ainsi, appelé les médias audiovisuels à traiter les informations ou les images relatives aux rapts d'enfants "en se fiant exclusivement, comme l'exige la loi, au communiqué du procureur de la République compétent", avant toute diffusion d'image ou d'information. "L'Autorité appelle à une observance des valeurs et des règles professionnelles en plaçant les événements dans leur juste contexte et en se fiant exclusivement, comme l'exige la loi, au communiqué du procureur de la République compétent, qui lui-même travaille en coordination avec les services de sécurité, avant toute diffusion d'image ou d'information de façon à éviter tout ce qui est de nature à perturber le cours de l'enquête et de la recherche", a précisé hier un communiqué de l'Arav, signé par son président, Zouaoui Benhamadi. L'Arav a relevé que cette démarche "vise à permettre aux professionnels de l'information de traiter ce genre d'événements avec le sens de la raison et de la responsabilité". Se disant interpellée par les actes "ignobles et inadmissible" dont sont victimes des enfants, l'Arav en appelle à toutes les parties impliquées dans la diffusion de l'information à observer "une rigueur toujours plus grande dans le traitement de ces informations de très haute sensibilité humaine". L'Arav valorise, à son juste titre, le plan national "Alerte rapt/disparition d'enfants" pour mieux veiller au respect des lois de la République en vigueur, notamment la loi 14-04 relative à l'activité audiovisuelle qui reprend dans son article 48 les dispositions se rapportant à l'objectivité et à la transparence dans le traitement de l'information et la couverture des événements ainsi que Les dispositions de la loi organique relatives à l'information et celle 15-12 relative à la protection de l'enfant ainsi que les conventions et traités internationaux. Tout en relevant le caractère "spécifique" de la couverture médiatique de ce genre d'événements, l'Autorité invite tous les professionnels à éviter le style sensationnel, les interviews et autres entretiens incitateurs pouvant porter atteinte aux libertés individuelles. L'Arav dénonce et condamne "fermement ces actes inqualifiables qui vont à l'encontre des valeurs humaines et civilisationnelles de notre société" et invite tous les professionnels du secteur à donner "tout son sens" et sa "vigueur" à l'instructio n du premier ministre relative au plan d'"Alerte rapt/disparition d'enfants de façon à mieux contribuer à sauver la vie de l'enfant en danger".