Le dossier de la réforme du baccalauréat va être soumis au Conseil des ministres, a annoncé hier la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, soulignant que les points relatifs au contrôle continu, à la diminution du nombre de jours à l'examen et à la nature des épreuves "n'ont pas fait l'objet d'opposition". Le dossier de la réforme du baccalauréat va être soumis au Conseil des ministres, a annoncé hier la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, soulignant que les points relatifs au contrôle continu, à la diminution du nombre de jours à l'examen et à la nature des épreuves "n'ont pas fait l'objet d'opposition". Le dossier des réformes du baccalauréat "va être soumis en Conseil des ministres et là où il n'y a pas eu d'opposition clairement affirmée ce sont les points sur le contrôle continu, le nombre de jours (qui passe de 5 à 3) et à la nature des épreuves", a indiqué Nouria Benghabrit à la Radio nationale Elle a expliqué qu'il y a eu un débat "riche" sur le programme de la réforme, notamment l'accord pour passer de 5 à 3 jours pour l'examen du Bac, le principe de prendre en compte le contrôle continu ainsi que de revisiter les modalités de conception des sujets. La ministre a annoncé, également, que l'examen de fin de premier cycle (examen de 5e année primaire) ne sera pas supprimé. "L'examen de la 5e année restera mais l'élève le passera au niveau de son établissement, ce qui est une nouveauté" depuis cette année, a-t-elle ajouté. Mme Benghebrit a indiqué, par ailleurs, que la réforme du secteur touchera aussi l'Office national des examens et concours (Onec). "La réforme de l'Onec est totalement engagée. Un certain nombre de mesures ont été prises dont notamment l'organisation et l'amélioration de cette instance y compris sur les plans matériel et de sécurisation", a déclaré la ministre. Les nouveaux manuels scolaires répondent aux normes internationales Sur un autre plan, Mme Benghebrit a indiqué que le manuel scolaire de deuxième génération, sur le plan pédagogique, "répond aux normes internationales du point de vue conception et homologation". Les nouveaux manuels scolaires, notamment ceux des 1res années primaire et moyen, sont passés, avant leur impression, par la commission nationale des programmes et par la commission d'homologation, puis ils ont été soumis à des experts indépendants pour être, enfin, homologués, a-t-elle expliqué. "Tous les efforts ont été faits pour que ces manuels soient aux normes internationales. Nous avons également ouvert une adresse mail "[email protected]" dédiée aux remarques et critiques par rapport à ces nouveaux manuels", a-t-elle poursuivi. La ministre a affirmé, par ailleurs, que toutes les mesures ont été prises pour faire de l'année scolaire 2016-2017 une année de "stabilité et de tranquillité". "Toutes les mesures ont été prises par le ministère de l'Education nationale, avec toute la solidarité gouvernementale et l'accompagnement du Premier ministre, pour faire de cette année une année de stabilité", a-t-elle précisé. "Nous avons eu un certain nombre de dérogations essentielles qui vont nous permettre d'assurer un fonctionnement tranquille du système éducatif notamment au niveau du recrutement, de la formation des enseignants et de la retraite", a-t-elle ajouté. La ministre a indiqué que son secteur s'est engagé dans un processus dont "l'enjeu est de développer la qualité de l'enseignement qui passe forcément par celui de l'accompagnement et de la formation de l'enseignant". Le dossier des réformes du baccalauréat "va être soumis en Conseil des ministres et là où il n'y a pas eu d'opposition clairement affirmée ce sont les points sur le contrôle continu, le nombre de jours (qui passe de 5 à 3) et à la nature des épreuves", a indiqué Nouria Benghabrit à la Radio nationale Elle a expliqué qu'il y a eu un débat "riche" sur le programme de la réforme, notamment l'accord pour passer de 5 à 3 jours pour l'examen du Bac, le principe de prendre en compte le contrôle continu ainsi que de revisiter les modalités de conception des sujets. La ministre a annoncé, également, que l'examen de fin de premier cycle (examen de 5e année primaire) ne sera pas supprimé. "L'examen de la 5e année restera mais l'élève le passera au niveau de son établissement, ce qui est une nouveauté" depuis cette année, a-t-elle ajouté. Mme Benghebrit a indiqué, par ailleurs, que la réforme du secteur touchera aussi l'Office national des examens et concours (Onec). "La réforme de l'Onec est totalement engagée. Un certain nombre de mesures ont été prises dont notamment l'organisation et l'amélioration de cette instance y compris sur les plans matériel et de sécurisation", a déclaré la ministre. Les nouveaux manuels scolaires répondent aux normes internationales Sur un autre plan, Mme Benghebrit a indiqué que le manuel scolaire de deuxième génération, sur le plan pédagogique, "répond aux normes internationales du point de vue conception et homologation". Les nouveaux manuels scolaires, notamment ceux des 1res années primaire et moyen, sont passés, avant leur impression, par la commission nationale des programmes et par la commission d'homologation, puis ils ont été soumis à des experts indépendants pour être, enfin, homologués, a-t-elle expliqué. "Tous les efforts ont été faits pour que ces manuels soient aux normes internationales. Nous avons également ouvert une adresse mail "[email protected]" dédiée aux remarques et critiques par rapport à ces nouveaux manuels", a-t-elle poursuivi. La ministre a affirmé, par ailleurs, que toutes les mesures ont été prises pour faire de l'année scolaire 2016-2017 une année de "stabilité et de tranquillité". "Toutes les mesures ont été prises par le ministère de l'Education nationale, avec toute la solidarité gouvernementale et l'accompagnement du Premier ministre, pour faire de cette année une année de stabilité", a-t-elle précisé. "Nous avons eu un certain nombre de dérogations essentielles qui vont nous permettre d'assurer un fonctionnement tranquille du système éducatif notamment au niveau du recrutement, de la formation des enseignants et de la retraite", a-t-elle ajouté. La ministre a indiqué que son secteur s'est engagé dans un processus dont "l'enjeu est de développer la qualité de l'enseignement qui passe forcément par celui de l'accompagnement et de la formation de l'enseignant".