Le ministère de l'Education nationale a ordonné le "retrait immédiat" du livre scolaire de géographie de première année moyenne, à cause d'une carte du monde dans laquelle ne figure pas la Palestine mais l'occupation israélienne. Le ministère de l'Education nationale a ordonné le "retrait immédiat" du livre scolaire de géographie de première année moyenne, à cause d'une carte du monde dans laquelle ne figure pas la Palestine mais l'occupation israélienne. Dans un communiqué publié sur le site internet de la tutelle, Nouria Benghebrit a annoncé l'ouverture d'une enquête. Elle a affirmé que la responsabilité de cette bourde incombe à l'éditeur. Le livre scolaire de géographie pour la première année du cycle d'enseignement moyen contient à la 65e page une carte du monde dans laquelle figure "Israël" à la place de la Palestine. L'erreur a vite provoqué un tollé jeudi 15 septembre sur les réseaux sociaux et les médias, qui "criaient au scandale", se disant indignés que "Benghabrit ait reconnu l'Etat d'Israël". Sur Facebook et Twitter, les internautes exigeaient le retrait de ce livr. De quoi pousser la ministre de l'Education à réagir et ordonner "le retrait immédiat" de ce livre, dans un communiqué. La tutelle, qui a souligné que cette erreur incombe à l'Entreprise nationale des arts graphiques (Enag), a demandé la rectification de cette carte. Nouria Benghebrit a également annoncé l'ouverture d'une enquête à propos de cette affaire, réitérant la culpabilité de l'éditeur. L'affaire a déjà pris une tournure politique avec la réaction de Abderrezak Makri, président du Mouvement de société de paix qui a vu, dans le retrait du livre litigieux, un "grand flop". Makri a annoncé sur sa page Facebook la mise en place d'une commission composée de "spécialistes" qui vont examiner tous les livres scolaires et les étudier "un à un". Cette commission, a-t-il indiqué, examinera les livres et fera un rapport global sur les "aspects identitaires et pédagogiques". Elle collaborera avec "tous les organismes et personnalités qui s'intéressent à ce sujet". Dans un communiqué publié sur le site internet de la tutelle, Nouria Benghebrit a annoncé l'ouverture d'une enquête. Elle a affirmé que la responsabilité de cette bourde incombe à l'éditeur. Le livre scolaire de géographie pour la première année du cycle d'enseignement moyen contient à la 65e page une carte du monde dans laquelle figure "Israël" à la place de la Palestine. L'erreur a vite provoqué un tollé jeudi 15 septembre sur les réseaux sociaux et les médias, qui "criaient au scandale", se disant indignés que "Benghabrit ait reconnu l'Etat d'Israël". Sur Facebook et Twitter, les internautes exigeaient le retrait de ce livr. De quoi pousser la ministre de l'Education à réagir et ordonner "le retrait immédiat" de ce livre, dans un communiqué. La tutelle, qui a souligné que cette erreur incombe à l'Entreprise nationale des arts graphiques (Enag), a demandé la rectification de cette carte. Nouria Benghebrit a également annoncé l'ouverture d'une enquête à propos de cette affaire, réitérant la culpabilité de l'éditeur. L'affaire a déjà pris une tournure politique avec la réaction de Abderrezak Makri, président du Mouvement de société de paix qui a vu, dans le retrait du livre litigieux, un "grand flop". Makri a annoncé sur sa page Facebook la mise en place d'une commission composée de "spécialistes" qui vont examiner tous les livres scolaires et les étudier "un à un". Cette commission, a-t-il indiqué, examinera les livres et fera un rapport global sur les "aspects identitaires et pédagogiques". Elle collaborera avec "tous les organismes et personnalités qui s'intéressent à ce sujet".