L'auteure présumée de l'agression contre l'enfant Jugurtha Hamama a été présentée au parquet de Tizi-Ouzou et placée sous contrôle judiciaire, selon un communiqué diffusé ce avant-hier par le tribunal de Larbaâ n'Ath Irathen. L'auteure présumée de l'agression contre l'enfant Jugurtha Hamama a été présentée au parquet de Tizi-Ouzou et placée sous contrôle judiciaire, selon un communiqué diffusé ce avant-hier par le tribunal de Larbaâ n'Ath Irathen. Le 8 septembre, Jugurtha, 7 ans, a été agressé à l'arme blanche dans son village, Taboukert, dans la commune de Tizi- Rached (20 km à l'est de Tizi-Ouzou), par la dénommée R. Dj, lui causant des blessures graves au niveau de la tête ayant nécessité son hospitalisation et une intervention chirurgicale, selon des sources hospitalières. La mise en cause dans cette affaire a été interpellée suite à une plainte déposée par le père de l'enfant en date du 10 septembre courant. Présentée devant le parquet de Larbaâ n'Ath Irathen, le lendemain, elle a été placée sous contrôle judiciaire pour le chef d'accusation de tentative d'homicide. Selon les premiers résultats de l'enquête qui se poursuit, " cette agression est liée à un différend entre la famille de la victime et celle de la présumée auteure de l'agression", selon le même communiqué qui précise qu'"il ne s'agit donc nullement d'une affaire d'enlèvement". Le 8 septembre, Jugurtha, 7 ans, a été agressé à l'arme blanche dans son village, Taboukert, dans la commune de Tizi- Rached (20 km à l'est de Tizi-Ouzou), par la dénommée R. Dj, lui causant des blessures graves au niveau de la tête ayant nécessité son hospitalisation et une intervention chirurgicale, selon des sources hospitalières. La mise en cause dans cette affaire a été interpellée suite à une plainte déposée par le père de l'enfant en date du 10 septembre courant. Présentée devant le parquet de Larbaâ n'Ath Irathen, le lendemain, elle a été placée sous contrôle judiciaire pour le chef d'accusation de tentative d'homicide. Selon les premiers résultats de l'enquête qui se poursuit, " cette agression est liée à un différend entre la famille de la victime et celle de la présumée auteure de l'agression", selon le même communiqué qui précise qu'"il ne s'agit donc nullement d'une affaire d'enlèvement".