Le président du Sénat français, Gérard Larcher, a affirmé hier à Paris qu'avec l'Algérie "nous pouvons trouver des réponses" au terrorisme, reconnaissant que la France a "trop mal perçu" la "décennie noire" en Algérie. Le président du Sénat français, Gérard Larcher, a affirmé hier à Paris qu'avec l'Algérie "nous pouvons trouver des réponses" au terrorisme, reconnaissant que la France a "trop mal perçu" la "décennie noire" en Algérie. "Avec l'Algérie, nous pouvons trouver des réponses pour surmonter le terrorisme", a-t-il dit, rappelant que "la France a trop mal perçu" la "décennie noire", période durant laquelle l'Algérie était confrontée au terrorisme. Dans son allocution à l'ouverture des travaux du 1er Forum algéro-français de haut niveau entre le Conseil de la nation et le Sénat français, Gérard Larcher a souligné par ailleurs que les relations bilatérales entre les deux pays ne sont pas "tributaires" d'une majorité politique ou de partis, soutenant que "ce n'est pas l'affaire de la droite, de la gauche ou du centre". Pour lui, la France et l'Algérie ont ouvert ensemble "une nouvelle ère" dans leurs relations et que face aux défis économiques, elles "doivent cheminer ensemble". Il a rappelé par ailleurs, durant sa dernière visite en Algérie, septembre 2015, l'audience que lui a accordée le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, au cours de laquelle, a-t-il dit, "j'ai apprécié sa sagesse, son sens de l'Etat, nourri par sa longue expérience, et son analyse des situations dans le monde qui est hors pair". La coopération économique en question Le président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah, a affirmé de son côté à Paris que la coopération économique, entre l'Algérie et la France, doit dépasser l'aspect commercial et favoriser l'investissement. "La situation est donc propice pour donner un nouvel élan à la coopération économique bilatérale. Une coopération qui doit dépasser l'aspect commercial et favoriser davantage l'investissement productif, le transfert technologique et la réalisation de pôles de compétitivité et de centres d'excellence", a souligné M. Bensalah dans une allocution à l'ouverture du 1er Forum algéro-français de haut niveau entre le Conseil de la nation et le Sénat français. Il a indiqué à cet effet que les entreprises françaises, "qui ont une bonne connaissance de l'économie algérienne et qui sont favorisées par des facteurs propres aux relations particulières" entre les deux pays, "sont les mieux placées pour saisir les nombreuses opportunités rendues possibles par l'énorme programme de développement en cours en Algérie, et ce à travers des partenariats gagnant-gagnant". "Ces efforts attendus des opérateurs français viendront consolider des relations économiques déjà solides entre nos deux pays, la France étant l'un des premiers partenaires de l'Algérie en termes d'échanges commerciaux et d'investissements", a-t-il ajouté. Le président du Conseil de la Nation, qui effectue une première visite officielle en France, a précisé dans ce cadre que les relations entre les deux pays "connaissent un saut, autant quantitatif que qualitatif unique", et ce grâce à l'engagement politique "déterminé" des présidents Abdelaziz Bouteflika et François Hollande qui "ont instauré un dialogue politique dense et fécond" entre les deux pays, "conforté par la régularité des échanges et consultations à différents niveaux et sur nombre de sujets d'intérêt commun". Il a également soutenu que le dialogue et les échanges, entre le Conseil de la nation et le Sénat français, "reflètent notre volonté commune d'aborder sereinement toutes les questions dans un esprit de confiance et de compréhension mutuelles, en vue de coordonner nos efforts et nos positions face aux grands problèmes et défis de notre époque". Coordination "réussie" entre l'Algérie et la France Le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, a affirmé, également hier à Paris, que l'Accord d'Alger pour la paix et la réconciliation au Mali est le résultat d'une coordination "réussie" des efforts de l'Algérie et de la France. "L'Accord pour la paix et la réconciliation au Mali, issu du processus d'Alger, est l'illustration et le résultat d'une coordination réussie des efforts de nos deux gouvernements et de toute la communauté internationale", a-t-il indiqué, dans une allocution à l'ouverture du 1er Forum algérofrançais de haut niveau entre le Conseil de la Nation et le Sénat français. L. B. Il a précisé que cet accord "s'inscrit dans une optique de réconciliation nationale, de respect de l'intégrité territoriale, de l'unité nationale et de la forme laïque et républicaine du Mali, mais aussi de prise en charge effective et adéquate des revendications légitimes des populations du Nord". Il a relevé que l'Algérie et la France travaillent "étroitement" pour la résolution "pacifique" des conflits au Sahel et ailleurs en promouvant des solutions politiques "à travers notamment le dialogue inclusif et en associant la communauté internationale". "Avec l'Algérie, nous pouvons trouver des réponses pour surmonter le terrorisme", a-t-il dit, rappelant que "la France a trop mal perçu" la "décennie noire", période durant laquelle l'Algérie était confrontée au terrorisme. Dans son allocution à l'ouverture des travaux du 1er Forum algéro-français de haut niveau entre le Conseil de la nation et le Sénat français, Gérard Larcher a souligné par ailleurs que les relations bilatérales entre les deux pays ne sont pas "tributaires" d'une majorité politique ou de partis, soutenant que "ce n'est pas l'affaire de la droite, de la gauche ou du centre". Pour lui, la France et l'Algérie ont ouvert ensemble "une nouvelle ère" dans leurs relations et que face aux défis économiques, elles "doivent cheminer ensemble". Il a rappelé par ailleurs, durant sa dernière visite en Algérie, septembre 2015, l'audience que lui a accordée le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, au cours de laquelle, a-t-il dit, "j'ai apprécié sa sagesse, son sens de l'Etat, nourri par sa longue expérience, et son analyse des situations dans le monde qui est hors pair". La coopération économique en question Le président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah, a affirmé de son côté à Paris que la coopération économique, entre l'Algérie et la France, doit dépasser l'aspect commercial et favoriser l'investissement. "La situation est donc propice pour donner un nouvel élan à la coopération économique bilatérale. Une coopération qui doit dépasser l'aspect commercial et favoriser davantage l'investissement productif, le transfert technologique et la réalisation de pôles de compétitivité et de centres d'excellence", a souligné M. Bensalah dans une allocution à l'ouverture du 1er Forum algéro-français de haut niveau entre le Conseil de la nation et le Sénat français. Il a indiqué à cet effet que les entreprises françaises, "qui ont une bonne connaissance de l'économie algérienne et qui sont favorisées par des facteurs propres aux relations particulières" entre les deux pays, "sont les mieux placées pour saisir les nombreuses opportunités rendues possibles par l'énorme programme de développement en cours en Algérie, et ce à travers des partenariats gagnant-gagnant". "Ces efforts attendus des opérateurs français viendront consolider des relations économiques déjà solides entre nos deux pays, la France étant l'un des premiers partenaires de l'Algérie en termes d'échanges commerciaux et d'investissements", a-t-il ajouté. Le président du Conseil de la Nation, qui effectue une première visite officielle en France, a précisé dans ce cadre que les relations entre les deux pays "connaissent un saut, autant quantitatif que qualitatif unique", et ce grâce à l'engagement politique "déterminé" des présidents Abdelaziz Bouteflika et François Hollande qui "ont instauré un dialogue politique dense et fécond" entre les deux pays, "conforté par la régularité des échanges et consultations à différents niveaux et sur nombre de sujets d'intérêt commun". Il a également soutenu que le dialogue et les échanges, entre le Conseil de la nation et le Sénat français, "reflètent notre volonté commune d'aborder sereinement toutes les questions dans un esprit de confiance et de compréhension mutuelles, en vue de coordonner nos efforts et nos positions face aux grands problèmes et défis de notre époque". Coordination "réussie" entre l'Algérie et la France Le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, a affirmé, également hier à Paris, que l'Accord d'Alger pour la paix et la réconciliation au Mali est le résultat d'une coordination "réussie" des efforts de l'Algérie et de la France. "L'Accord pour la paix et la réconciliation au Mali, issu du processus d'Alger, est l'illustration et le résultat d'une coordination réussie des efforts de nos deux gouvernements et de toute la communauté internationale", a-t-il indiqué, dans une allocution à l'ouverture du 1er Forum algérofrançais de haut niveau entre le Conseil de la Nation et le Sénat français. L. B. Il a précisé que cet accord "s'inscrit dans une optique de réconciliation nationale, de respect de l'intégrité territoriale, de l'unité nationale et de la forme laïque et républicaine du Mali, mais aussi de prise en charge effective et adéquate des revendications légitimes des populations du Nord". Il a relevé que l'Algérie et la France travaillent "étroitement" pour la résolution "pacifique" des conflits au Sahel et ailleurs en promouvant des solutions politiques "à travers notamment le dialogue inclusif et en associant la communauté internationale".