Tenus en échec sur leurs bases, les Crabes ont désormais l'esprit tourné vers la manche retour, qui aura lieu dimanche 25 septembre à 22h au complexe sportif Prince- Moulay-al-Hassan de Rabat. Tenus en échec sur leurs bases, les Crabes ont désormais l'esprit tourné vers la manche retour, qui aura lieu dimanche 25 septembre à 22h au complexe sportif Prince- Moulay-al-Hassan de Rabat. Ayant éprouvé d'énormes difficultés sur leurs bases de l'Unité maghrébine face à une coriace équipe marocaine du FUS Rabat, le Mouloudia de Béjaïa n'aura pas la tâche facile lors de la manche retour. L'équipe visiteuse, qui n'est autre que le champion du Maroc de la saison écoulée, a dominé la partie de bout en bout, mais sans pour autant atteindre les filets de l'excellent gardien béjaoui, Rahmani. Les Crabes, même s'ils on eu droit à un soutien sans précédent de leurs supporters, manquaient de réalisme et le staff technique a enregistré d'énormes déchets au sein de l'équipe. Ce qui a encore compliqué la tâche des Béjaouis, c'est la sortie du défenseur Lakhdari sur carton rouge à la 79' minute de jeu. En infériorité numérique, le Mouloudia de Béjaïa n'a fait que préserver sa cage vierge, en attendant la manche retour. N'empêche, les joueurs sont déterminés à mettre de côté cette manche aller et se concentrer sur le match retour qui se jouera dans moins d'une semaine. Le staff technique, à sa tête l'entraîneur Nacer Sandjak, croit dur comme fer à un exploit en terre marocaine. Pour le technicien béjaoui un match de football se joue sur le terrain et pendant 90 minutes. Mais ce n'est pas évident contre cette équipe marocaine emmenée par l'entraîneur Walid Regragui. "Dans ce genre de confrontation en aller retour, tout peut arriver. Après une mi-temps chez nous, nous allons disputer l'autre mi-temps au Maroc. Nous l'avons déjà fait par le passé. Les longs déplacements en Afrique noire ont permis aux joueurs d'acquérir une certaine expérience. C'est vrai qu'on aurait pu l'emporter à domicile avec un score large pour aborder la manche retour avec moins de pression, mais tout reste jouable. On défendra nos chances jusqu'au bout. Une chose est sûre, la sortie de Lakhdari a chamboulé tous nos plans", a indiqué l'entraîneur du MO Bejaia Nacer Sandjak. Au delà du résultat technique de cette rencontre à domicile, le premier responsable de la barre technique de cette formation phare de Djurdjura, Nacer Sandjak, a encore une fois constaté quelques lacunes. Le staff technique aura devant lui quatre jours pour remédier aux lacunes. Le départ pour la capitale marocaine, Rabat, devrait avoir lieu vendredi. Mais avant, le premier responsable à la barre technique des Crabes tentera de profiter de tout son temps pour apporter les réglages qui s'imposent. Le Mouloudia de Béjaïa, seule représentant algérien sur la scène continentale, n'a désormais d'autre préoccupation que ce match retour de dimanche prochain. Les coéquipiers de Fawzi Rahal sont appelés à retrousser les manches et redoubler d'efforts aux entraînements pour espérer se qualifier à une finale historique. Avec un peu plus de concentration, les poulains de Nacer Sandjak peuvent atteindre cet objectif. Dans l'autre demi-finale, les Tunisiens de l'Etoile Sportive de Sahel ont été tenus en échec par le Tout Puissant Mazembe (1-1) sur leurs bases du stade olympique de Sousse. Ayant éprouvé d'énormes difficultés sur leurs bases de l'Unité maghrébine face à une coriace équipe marocaine du FUS Rabat, le Mouloudia de Béjaïa n'aura pas la tâche facile lors de la manche retour. L'équipe visiteuse, qui n'est autre que le champion du Maroc de la saison écoulée, a dominé la partie de bout en bout, mais sans pour autant atteindre les filets de l'excellent gardien béjaoui, Rahmani. Les Crabes, même s'ils on eu droit à un soutien sans précédent de leurs supporters, manquaient de réalisme et le staff technique a enregistré d'énormes déchets au sein de l'équipe. Ce qui a encore compliqué la tâche des Béjaouis, c'est la sortie du défenseur Lakhdari sur carton rouge à la 79' minute de jeu. En infériorité numérique, le Mouloudia de Béjaïa n'a fait que préserver sa cage vierge, en attendant la manche retour. N'empêche, les joueurs sont déterminés à mettre de côté cette manche aller et se concentrer sur le match retour qui se jouera dans moins d'une semaine. Le staff technique, à sa tête l'entraîneur Nacer Sandjak, croit dur comme fer à un exploit en terre marocaine. Pour le technicien béjaoui un match de football se joue sur le terrain et pendant 90 minutes. Mais ce n'est pas évident contre cette équipe marocaine emmenée par l'entraîneur Walid Regragui. "Dans ce genre de confrontation en aller retour, tout peut arriver. Après une mi-temps chez nous, nous allons disputer l'autre mi-temps au Maroc. Nous l'avons déjà fait par le passé. Les longs déplacements en Afrique noire ont permis aux joueurs d'acquérir une certaine expérience. C'est vrai qu'on aurait pu l'emporter à domicile avec un score large pour aborder la manche retour avec moins de pression, mais tout reste jouable. On défendra nos chances jusqu'au bout. Une chose est sûre, la sortie de Lakhdari a chamboulé tous nos plans", a indiqué l'entraîneur du MO Bejaia Nacer Sandjak. Au delà du résultat technique de cette rencontre à domicile, le premier responsable de la barre technique de cette formation phare de Djurdjura, Nacer Sandjak, a encore une fois constaté quelques lacunes. Le staff technique aura devant lui quatre jours pour remédier aux lacunes. Le départ pour la capitale marocaine, Rabat, devrait avoir lieu vendredi. Mais avant, le premier responsable à la barre technique des Crabes tentera de profiter de tout son temps pour apporter les réglages qui s'imposent. Le Mouloudia de Béjaïa, seule représentant algérien sur la scène continentale, n'a désormais d'autre préoccupation que ce match retour de dimanche prochain. Les coéquipiers de Fawzi Rahal sont appelés à retrousser les manches et redoubler d'efforts aux entraînements pour espérer se qualifier à une finale historique. Avec un peu plus de concentration, les poulains de Nacer Sandjak peuvent atteindre cet objectif. Dans l'autre demi-finale, les Tunisiens de l'Etoile Sportive de Sahel ont été tenus en échec par le Tout Puissant Mazembe (1-1) sur leurs bases du stade olympique de Sousse.