Le Festival international du cinéma du Sahara Occidental "Fisahara", dont le coup d'envoi était annoncé pour le mardi le 11 du mois en cours, est finalement lancé finalement par le président de la république Sahraouie, Brahim Ghali, hier mercredi vingt quatre (24) heures après pour des raisons organiques. Le Festival international du cinéma du Sahara Occidental "Fisahara", dont le coup d'envoi était annoncé pour le mardi le 11 du mois en cours, est finalement lancé finalement par le président de la république Sahraouie, Brahim Ghali, hier mercredi vingt quatre (24) heures après pour des raisons organiques. Sous le slogan "des peuples sous le joug du colonialisme", la cérémonie d'ouverture a été marquée par la présence de plusieurs délégations représentant pas moins d'une vingtaine de pays à l'instar de l'Algérie, l'Arabie Saoudite, l(Iran, les Etats unis.... Cette 13e édition, qui coïncide avec la célébration du 41e anniversaires de l'unité nationale braquera donc ses projecteurs sur la crise humanitaire au Sahara occidental et qui tachera de mettre en lumière pas moins de 40 années de lutte pour la reconnaissance de leurs droits légitimes. Le président sahraoui, M. Brahim Ghali, qui a donné le coup d'envoi de la manifestation, a indiqué que « ce festival a prouvé, depuis sa création qu'il se tient, son droit d'existence, en dépit de toutes les contraintes, notamment la crise économique qui affecte les pays de plusieurs partenaires ». Cet événement consacre les principes des droits de l'Homme en braquant les projecteurs sur la réalité des violations sauvages et exactions subies par le peuple sahraoui, femmes, jeunes et vieillards, des mains de la police et de l'armée d'occupation marocaines, a-t-il ajouté. A travers son allocution, le président Brahim Ghali, n'a cessé de gratifier tous les pays soutenant la cause sahraouie, tels que l'Algerie et l'Afrique du sud tout en saisissant cette opportunité pour mettre le Conseil de sécurité devant ses responsabilités et cela, en prenant des mesures urgentes et décisives pour mettre fin à l'arrogance du royaume chérifien. Brahim Ghali, a également appelé à favoriser la reprise immédiate du processus de règlement initié par l'Organisation des Nations unies et l'Union africaine pour l'organisation d'un référendum d'autodétermination au Sahara occidental. Le Président a mis l'accent sur la nécessité de permettre à la mission des Nations unies d'accomplir sa mission dans les meilleurs délais. Ceci dans le sens de les laisser oeuvrer au retour de sa composante civile et le renforcement de ses capacités pour qu'elle puisse procéder au contrôle effectif de l'accord de cessez-le-feu et des droits de l'homme au Sahara occidental. Par ailleurs, le président sahraoui a estimé que la France, par son flagrant parti pris, notamment au Conseil de sécurité, en faveur du Maroc, contrevient aux dispositions de la légalité internationale et doit, par conséquent, assumer la responsabilité des tensions et menaces qui pèsent sur la sécurité et la stabilité de la région. De leurs cotés, les représentants des délégations étrangères participantes à ce festival ont réaffirmé leur solidarité et leur sympathie à l'égard de la question sahraouie, considérant cet évènement culturel international comme une occasion de renouveler leur solidarité avec la cause du peuple sahraoui. Quant à l'événement cinématographique, le cycle de projection sera au rendez-vous à partir de la soirée pour la présentation des 53 films programmés à ce festival, traitant de la question sahraouie. Outre ces représentions, un grand hommage a été rendu au défunt président Mohamed Abdelaziz qui a sacrifié toute sa vie pour l'indépendance de son pays. Des conférences, des ateliers, expositions, ainsi des soirées artistiques animées par de grands noms de la chanson internationale selon les organisateurs, tel que le célèbre groupe de musique rock espagnol «Vetusta Morla» qui animera le concert de clôture de cette nouvelle édition du Fisahara, seront aussi au menu. Parallèlement avec ce rendez-vous international, le Sahara Occidental s'apprête aussi à célébrer la journée nationale de la culture et de la Kheima à travers l'organisation de plusieurs activités artistiques et poétiques. Sous le slogan "des peuples sous le joug du colonialisme", la cérémonie d'ouverture a été marquée par la présence de plusieurs délégations représentant pas moins d'une vingtaine de pays à l'instar de l'Algérie, l'Arabie Saoudite, l(Iran, les Etats unis.... Cette 13e édition, qui coïncide avec la célébration du 41e anniversaires de l'unité nationale braquera donc ses projecteurs sur la crise humanitaire au Sahara occidental et qui tachera de mettre en lumière pas moins de 40 années de lutte pour la reconnaissance de leurs droits légitimes. Le président sahraoui, M. Brahim Ghali, qui a donné le coup d'envoi de la manifestation, a indiqué que « ce festival a prouvé, depuis sa création qu'il se tient, son droit d'existence, en dépit de toutes les contraintes, notamment la crise économique qui affecte les pays de plusieurs partenaires ». Cet événement consacre les principes des droits de l'Homme en braquant les projecteurs sur la réalité des violations sauvages et exactions subies par le peuple sahraoui, femmes, jeunes et vieillards, des mains de la police et de l'armée d'occupation marocaines, a-t-il ajouté. A travers son allocution, le président Brahim Ghali, n'a cessé de gratifier tous les pays soutenant la cause sahraouie, tels que l'Algerie et l'Afrique du sud tout en saisissant cette opportunité pour mettre le Conseil de sécurité devant ses responsabilités et cela, en prenant des mesures urgentes et décisives pour mettre fin à l'arrogance du royaume chérifien. Brahim Ghali, a également appelé à favoriser la reprise immédiate du processus de règlement initié par l'Organisation des Nations unies et l'Union africaine pour l'organisation d'un référendum d'autodétermination au Sahara occidental. Le Président a mis l'accent sur la nécessité de permettre à la mission des Nations unies d'accomplir sa mission dans les meilleurs délais. Ceci dans le sens de les laisser oeuvrer au retour de sa composante civile et le renforcement de ses capacités pour qu'elle puisse procéder au contrôle effectif de l'accord de cessez-le-feu et des droits de l'homme au Sahara occidental. Par ailleurs, le président sahraoui a estimé que la France, par son flagrant parti pris, notamment au Conseil de sécurité, en faveur du Maroc, contrevient aux dispositions de la légalité internationale et doit, par conséquent, assumer la responsabilité des tensions et menaces qui pèsent sur la sécurité et la stabilité de la région. De leurs cotés, les représentants des délégations étrangères participantes à ce festival ont réaffirmé leur solidarité et leur sympathie à l'égard de la question sahraouie, considérant cet évènement culturel international comme une occasion de renouveler leur solidarité avec la cause du peuple sahraoui. Quant à l'événement cinématographique, le cycle de projection sera au rendez-vous à partir de la soirée pour la présentation des 53 films programmés à ce festival, traitant de la question sahraouie. Outre ces représentions, un grand hommage a été rendu au défunt président Mohamed Abdelaziz qui a sacrifié toute sa vie pour l'indépendance de son pays. Des conférences, des ateliers, expositions, ainsi des soirées artistiques animées par de grands noms de la chanson internationale selon les organisateurs, tel que le célèbre groupe de musique rock espagnol «Vetusta Morla» qui animera le concert de clôture de cette nouvelle édition du Fisahara, seront aussi au menu. Parallèlement avec ce rendez-vous international, le Sahara Occidental s'apprête aussi à célébrer la journée nationale de la culture et de la Kheima à travers l'organisation de plusieurs activités artistiques et poétiques.