La ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Iman-Houda Faraoun, a indiqué à l'APN, que l'enveloppe dédiée à son secteur pour l'année 2017 a enregistré un recul de 142 millions de dinars, par rapport au budget de l'année en cours. La ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Iman-Houda Faraoun, a indiqué à l'APN, que l'enveloppe dédiée à son secteur pour l'année 2017 a enregistré un recul de 142 millions de dinars, par rapport au budget de l'année en cours. "Le budget de fonctionnement du secteur estimé à 2,432 milliards DA a reculé cette année de 142 millions de dinars, par rapport à celui de l'exercice en cours", a indiqué Mme Faraoun, lors de son exposé devant la commission des finances et du budget de l'APN, dans le cadre de l'examen du projet de loi de finances 2017. Dans un exposé devant la commission des finances et du budget de l'Assemblée populaire nationale sur le budget du secteur, dans le cadre de l'examen du projet de loi de finances 2017, la ministre a indiqué que "le budget de fonctionnement de son secteur estimé à 2,432 milliards DA a reculé cette année de 142 millions de dinars par rapport à celui de l'exercice en cours". Ce budget est "très faible" et il est principalement destiné à la prise en charge des "dépenses de fonctionnement de la direction centrale du ministère, de ses services décentralisés, ainsi que des deux établissements de formation sous tutelle" précise la ministre. Concernant le budget de l'équipement, la ministre a indiqué qu'au vu de la situation économique actuelle "la loi de finances 2017 n'a alloué aucun crédit au profit du secteur, qui continuera à réaliser, ajoute la ministre, les projets inscrits au titre du programme en cours". Ces projets concernent essentiellement le projet de raccordement en fibre optique "Alger-Oran- Valence", la réalisation d'une étude pour la réalisation du siège de l'autorité gouvernementale de la certification électronique, ainsi que l'acquisition d'équipements et logiciels relatifs à la certification électronique, et la réhabilitation et la modernisation de l'Institut national de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication d'Alger. De leur côté, les députés ont soulevé plusieurs préoccupations, notamment celles relatives au projet de raccordement en fibres optiques, les investissements d'Algérie Télécom ainsi que les prestations postales telles que les liquidités au niveau des agences postales. "Le dialogue reste ouvert avec les syndicats" Iman-Houda Faraoun a affirmé également que le dialogue reste "ouvert" avec les syndicats du secteur concernant le projet de code des postes et communications électroniques. Dans une déclaration à la presse à l'issue de son exposé sur le budget du secteur présenté devant la commission des finances de l'Assemblée populaire nationale, la ministre a indiqué que le dialogue "se poursuivait" entre son département et la Fédération des travailleurs de la poste et des technologies de l'information et de la communication affiliée à l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), en témoigne, a-t-elle dit, "la rencontre tenue entre les deux parties dimanche matin". La ministre Houda-Iman Faraoun a indiqué que "la rencontre a permis aux deux parties d'aboutir à un accord pour l'organisation d'ateliers de travail" consacrés à ce projet, précisant que "les propositions des syndicats ne sont pas parvenues à temps au ministère". Par ailleurs, la ministre a tenu à rassurer les travailleurs du secteur concernant l'examen dudit projet qui impliquera les représentants du syndicat pour pouvoir "cerner les lacunes". "Le budget de fonctionnement du secteur estimé à 2,432 milliards DA a reculé cette année de 142 millions de dinars, par rapport à celui de l'exercice en cours", a indiqué Mme Faraoun, lors de son exposé devant la commission des finances et du budget de l'APN, dans le cadre de l'examen du projet de loi de finances 2017. Dans un exposé devant la commission des finances et du budget de l'Assemblée populaire nationale sur le budget du secteur, dans le cadre de l'examen du projet de loi de finances 2017, la ministre a indiqué que "le budget de fonctionnement de son secteur estimé à 2,432 milliards DA a reculé cette année de 142 millions de dinars par rapport à celui de l'exercice en cours". Ce budget est "très faible" et il est principalement destiné à la prise en charge des "dépenses de fonctionnement de la direction centrale du ministère, de ses services décentralisés, ainsi que des deux établissements de formation sous tutelle" précise la ministre. Concernant le budget de l'équipement, la ministre a indiqué qu'au vu de la situation économique actuelle "la loi de finances 2017 n'a alloué aucun crédit au profit du secteur, qui continuera à réaliser, ajoute la ministre, les projets inscrits au titre du programme en cours". Ces projets concernent essentiellement le projet de raccordement en fibre optique "Alger-Oran- Valence", la réalisation d'une étude pour la réalisation du siège de l'autorité gouvernementale de la certification électronique, ainsi que l'acquisition d'équipements et logiciels relatifs à la certification électronique, et la réhabilitation et la modernisation de l'Institut national de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication d'Alger. De leur côté, les députés ont soulevé plusieurs préoccupations, notamment celles relatives au projet de raccordement en fibres optiques, les investissements d'Algérie Télécom ainsi que les prestations postales telles que les liquidités au niveau des agences postales. "Le dialogue reste ouvert avec les syndicats" Iman-Houda Faraoun a affirmé également que le dialogue reste "ouvert" avec les syndicats du secteur concernant le projet de code des postes et communications électroniques. Dans une déclaration à la presse à l'issue de son exposé sur le budget du secteur présenté devant la commission des finances de l'Assemblée populaire nationale, la ministre a indiqué que le dialogue "se poursuivait" entre son département et la Fédération des travailleurs de la poste et des technologies de l'information et de la communication affiliée à l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), en témoigne, a-t-elle dit, "la rencontre tenue entre les deux parties dimanche matin". La ministre Houda-Iman Faraoun a indiqué que "la rencontre a permis aux deux parties d'aboutir à un accord pour l'organisation d'ateliers de travail" consacrés à ce projet, précisant que "les propositions des syndicats ne sont pas parvenues à temps au ministère". Par ailleurs, la ministre a tenu à rassurer les travailleurs du secteur concernant l'examen dudit projet qui impliquera les représentants du syndicat pour pouvoir "cerner les lacunes".