Sans faire toutefois état d'une infection, plusieurs médias s'étaient déjà inquiété début octobre d'un taux de mortalité anormalement élevé dans la zone de Sabkhat-el-Maleh. Sans faire toutefois état d'une infection, plusieurs médias s'étaient déjà inquiété début octobre d'un taux de mortalité anormalement élevé dans la zone de Sabkhat-el-Maleh. Une alerte à la grippe aviaire vient d'être lancée par l'Algérie. Pas moins de 892 oiseaux migrateurs sont morts dans le sud du pays à cause d'un virus de grippe aviaire hautement pathogène. Une information notifiée par le ministère de l'Agriculture et du Développement rural et de la Pêche à l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE). Selon la notification immédiate émise le 3 novembre 2016 par le docteur Ahmed Chawky Karim Boughalem, directeur des services vétérinaires, au ministère de l'Agriculture du Développement rural et de la Pêche, un foyer de grippe aviaire hautement pathogène à virus H7N1 a touché, le 20 octobre, 892 oiseaux migrateurs de différentes espèces (tadorne casarca, sarcelle marbrée, canard colvert et poules d'eaux) retrouvés morts dans la zone humide de Sabkhat-el-Maleh près d'El-Menia dans la wilaya de Ghardaïa. Le diagnostic, apprend-on de même source, a été confirmé par le Laboratoire central vétérinaire le 30 octobre 2016. Des mesures ont été appliquées, notamment le contrôle des déplacements à l'intérieur du pays : la traçabilité, l'abattage sanitaire, l'élimination officielle des carcasses, des sous-produits et des déchets et surveillance de l'intérieur du confinement et/ou la zone de protection. Sans faire état d'une infection,plusieurs médias s'étaient inquiété début octobre d'un taux de mortalité anormalement élevé dans la zone. "Plus d'un millier d'oiseaux sont morts depuis le début du mois de septembre sur les bords de Sebkhet-El-Malleh, une zone humide d'importance internationale classée depuis 2004 en vertu de la convention de Ramsar" notait le journal dans un article intitulé "Catastrophe écologique à Sebkhet-El-Maleh" Une alerte à la grippe aviaire vient d'être lancée par l'Algérie. Pas moins de 892 oiseaux migrateurs sont morts dans le sud du pays à cause d'un virus de grippe aviaire hautement pathogène. Une information notifiée par le ministère de l'Agriculture et du Développement rural et de la Pêche à l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE). Selon la notification immédiate émise le 3 novembre 2016 par le docteur Ahmed Chawky Karim Boughalem, directeur des services vétérinaires, au ministère de l'Agriculture du Développement rural et de la Pêche, un foyer de grippe aviaire hautement pathogène à virus H7N1 a touché, le 20 octobre, 892 oiseaux migrateurs de différentes espèces (tadorne casarca, sarcelle marbrée, canard colvert et poules d'eaux) retrouvés morts dans la zone humide de Sabkhat-el-Maleh près d'El-Menia dans la wilaya de Ghardaïa. Le diagnostic, apprend-on de même source, a été confirmé par le Laboratoire central vétérinaire le 30 octobre 2016. Des mesures ont été appliquées, notamment le contrôle des déplacements à l'intérieur du pays : la traçabilité, l'abattage sanitaire, l'élimination officielle des carcasses, des sous-produits et des déchets et surveillance de l'intérieur du confinement et/ou la zone de protection. Sans faire état d'une infection,plusieurs médias s'étaient inquiété début octobre d'un taux de mortalité anormalement élevé dans la zone. "Plus d'un millier d'oiseaux sont morts depuis le début du mois de septembre sur les bords de Sebkhet-El-Malleh, une zone humide d'importance internationale classée depuis 2004 en vertu de la convention de Ramsar" notait le journal dans un article intitulé "Catastrophe écologique à Sebkhet-El-Maleh"