Les élections législatives, prévues au printemps 2017, ne seront ni annulées ni reportées. C'est là l'affirmation du ministre de l'Intérieur, Noureddine Bedoui. "Les élections législatives auront lieu comme prévu" dira, en effet, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales hier lors d'une conférence de presse tenue en marge de la rencontre gouvernement, walis. Les élections législatives, prévues au printemps 2017, ne seront ni annulées ni reportées. C'est là l'affirmation du ministre de l'Intérieur, Noureddine Bedoui. "Les élections législatives auront lieu comme prévu" dira, en effet, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales hier lors d'une conférence de presse tenue en marge de la rencontre gouvernement, walis. Nouredine Bedoui, qui, en l'absence pour cause d'agenda chargé du Premier ministre Abdelmalek Sellal, a clôturé la rencontre gouvernement - walis, a aussi essayé de donner des gages aux partis de l'opposition s'agissant du déroulement dans la transparence totale de ce scrutin législatif qui est attendu avec grand intérêt par l'opinion publique. Refusant de parler de partis politiques de l'opposition puisque il a préféré les qualifier de "partenaires politiques", le ministre de l'Intérieur dira que "la plus grande garantie c'est la constitution qui contient des mécanismes dont la haute autorité de surveillance des élections". Pour le ministre cette haute instance, qui "est unique au monde jouit d'une totale indépendance par rapport à l'administration et notamment sur le plan financier". Par conséquent le ministre estime que son département va juste oeuvrer à la "concrétisation des valeurs de la Constitution". Cela dit, interrogé sur la date de ces élections législatives, Nouredine Bedoui a clairement indiqué que cela "ne dépend pas de son ministère" puisque, a-t-il précisé, "c'est le président de la République qui fixe la date". Au chapitre des annonces le ministre de l'Intérieur a révélé l'existence d'un projet de création d'une police de proximité qui sera bientôt présenté au gouvernement. Le conférencier a évoqué cette question lorsque il a été interrogé sur l'amélioration de la sécurité des citoyens. Il a rebondi pour évoquer la situation sécuritaire d'une manière globale. "Les opérations menées par l'ANP dans le sud du pays, avec l'interception des armes, l'arrestation des terroristes et des narcotrafiquants est une preuve irréfutable de l'efficacité de la démarche" dira Bedoui. Mais lors de ce point de presse , circonstance oblige, il a beaucoup été question de la rencontre gouvernement-walis et du développement local. Sur l'application des recommandations de cette rencontre en général et des réformes qui vont être instituées pour booster le développement local, le ministre a, d'emblée, annoncé que "nous allons proposer au premier ministre la mise en oeuvre d'un mécanisme pour l'application des réformes". Il a aussi réitéré la volonté du gouvernement d'amender le code communal et le code de wilaya et ce pour donner plus de prérogatives aux élus. Cette réforme sera présentée dans quelques semaines ou mois au gouvernement. Cette nouvelle vision par le biais de laquelle le gouvernement compte insuffler une nouvelle dynamique au développement local repose aussi sur la promotion de la décentralisation ce qui permettra aux collectivités locales d'avoir plus de prérogatives. Pour ce faire, le ministre, qui a admis que les pouvoirs publics ont quelque peu failli, a indiqué qu'"aujourd'hui on veut de véritables managers". Dans la foulée il a révélé que les pouvoirs publics comptent octroyer davantage de pouvoirs aux secrétaires généraux des communes . "Le président de l'APC sera surtout un poste politique" a-t-il souligné. Notons que cette rencontre gouvernement- walis, dont c'est la 7e édition, a clos hier ses travaux par une série de recommandations. Des recommandations qui portent essentiellement sur la réforme de la fiscalité locale et la promotion de l'investissement au niveau local. Nouredine Bedoui, qui, en l'absence pour cause d'agenda chargé du Premier ministre Abdelmalek Sellal, a clôturé la rencontre gouvernement - walis, a aussi essayé de donner des gages aux partis de l'opposition s'agissant du déroulement dans la transparence totale de ce scrutin législatif qui est attendu avec grand intérêt par l'opinion publique. Refusant de parler de partis politiques de l'opposition puisque il a préféré les qualifier de "partenaires politiques", le ministre de l'Intérieur dira que "la plus grande garantie c'est la constitution qui contient des mécanismes dont la haute autorité de surveillance des élections". Pour le ministre cette haute instance, qui "est unique au monde jouit d'une totale indépendance par rapport à l'administration et notamment sur le plan financier". Par conséquent le ministre estime que son département va juste oeuvrer à la "concrétisation des valeurs de la Constitution". Cela dit, interrogé sur la date de ces élections législatives, Nouredine Bedoui a clairement indiqué que cela "ne dépend pas de son ministère" puisque, a-t-il précisé, "c'est le président de la République qui fixe la date". Au chapitre des annonces le ministre de l'Intérieur a révélé l'existence d'un projet de création d'une police de proximité qui sera bientôt présenté au gouvernement. Le conférencier a évoqué cette question lorsque il a été interrogé sur l'amélioration de la sécurité des citoyens. Il a rebondi pour évoquer la situation sécuritaire d'une manière globale. "Les opérations menées par l'ANP dans le sud du pays, avec l'interception des armes, l'arrestation des terroristes et des narcotrafiquants est une preuve irréfutable de l'efficacité de la démarche" dira Bedoui. Mais lors de ce point de presse , circonstance oblige, il a beaucoup été question de la rencontre gouvernement-walis et du développement local. Sur l'application des recommandations de cette rencontre en général et des réformes qui vont être instituées pour booster le développement local, le ministre a, d'emblée, annoncé que "nous allons proposer au premier ministre la mise en oeuvre d'un mécanisme pour l'application des réformes". Il a aussi réitéré la volonté du gouvernement d'amender le code communal et le code de wilaya et ce pour donner plus de prérogatives aux élus. Cette réforme sera présentée dans quelques semaines ou mois au gouvernement. Cette nouvelle vision par le biais de laquelle le gouvernement compte insuffler une nouvelle dynamique au développement local repose aussi sur la promotion de la décentralisation ce qui permettra aux collectivités locales d'avoir plus de prérogatives. Pour ce faire, le ministre, qui a admis que les pouvoirs publics ont quelque peu failli, a indiqué qu'"aujourd'hui on veut de véritables managers". Dans la foulée il a révélé que les pouvoirs publics comptent octroyer davantage de pouvoirs aux secrétaires généraux des communes . "Le président de l'APC sera surtout un poste politique" a-t-il souligné. Notons que cette rencontre gouvernement- walis, dont c'est la 7e édition, a clos hier ses travaux par une série de recommandations. Des recommandations qui portent essentiellement sur la réforme de la fiscalité locale et la promotion de l'investissement au niveau local.