Le Front des forces socialistes (FFS), s'apprête à tourner une autre page de son histoire en procédant à un autre changement au sommet du parti. Apparemment, le plus vieux parti de l'opposition peine à combler le vide qu'a laissé le "Zaim". Le Front des forces socialistes (FFS), s'apprête à tourner une autre page de son histoire en procédant à un autre changement au sommet du parti. Apparemment, le plus vieux parti de l'opposition peine à combler le vide qu'a laissé le "Zaim". Six mois avant, précisément le mois de mai dernier, le parti cher au défunt Aït Ahmed, a déjà changé de direction dans le but de sortir plus solide et plus fort politiquement. Il a saisi l'occasion du changement de direction pour affiner son projet politique, trancher son positionnement idéologique et renforcer ses rangs par de nouveaux profils. Mais malheureusement il n'a suffi que peu de temps pour la mise à l'écart d'Abdelmalek Bouchafa, pour céder ainsi sa place à son tour. Selon le site électronique Algérie patriotique, il sera remplacé, par l'actuel secrétaire national à la communication, Youcef Aouchiche, lequel a déjà occupé, en avril dernier, ce poste par intérim pour suppléer à l'absence de l'ex-premier secrétaire Mohamed Nebbou, pour des raisons de santé. Selon toujours la même source, la décision pourrait être annoncée ce weekend, à l'occasion de la tenue de la session ordinaire du conseil national du parti, la quatrième et dernière de l'année, qui ouvrira le débat sur la participation, bien que largement acquise, du FFS aux prochaines élections législatives. Quant à M. Bouchafa, il sera sûrement appelé à d'autres responsabilités au sein du parti. Une décision courageuse et forte à l'approche des élections législatives dont les vraies raisons restent sombres. Sûrement, la base et les éminents militants se poseront de multitudes questionnements auxquels, ils auront le droit de réponse de leurs inquiétudes et de leur sentiment, au moment où le parti a besoin de tout le monde. Mais selon toujours le même site, ce qui justifierait ce changement à la tête du plus vieux parti de l'opposition, c'est surtout le besoin d'insuffler au FFS une nouvelle dynamique pour qu'il soit prêt aux prochaines élections qui s'annoncent capitales pour la survie du parti. Au sein du plus vieux parti de l'opposition, en particulier dans les cercles proches de cette formation, le natif de Constantine, Abdelmalek Bouchafa, ne semble pas être le mieux indiqué pour mener campagne en Kabylie, susurre-ton. D'où ce besoin de recentrer désormais l'intérêt du parti sur cette région. Concurrencé sur son propre fief par l'entrée en lice de plusieurs acteurs politiques, le FFS veut se donner les moyens pour reconquérir le terrain perdu, tout en espérant réaliser des percées hors de la Kabylie. Le parti a, d'ailleurs, programmé une série de meetings dans les régions du Centre et de l'Est, le dernier en date étant le grand rassemblement organisé samedi dernier à Chlef. Le prochain conseil national sera aussi une occasion pour mettre fin à la récréation au sein du parti. Une mise en garde qui vise à freiner les ardeurs de quelques parlementaires pour leurs actions qui sortent du cadre du parti. Il est reproché à ces derniers de ne pas en avoir informé la direction de leur parti. Six mois avant, précisément le mois de mai dernier, le parti cher au défunt Aït Ahmed, a déjà changé de direction dans le but de sortir plus solide et plus fort politiquement. Il a saisi l'occasion du changement de direction pour affiner son projet politique, trancher son positionnement idéologique et renforcer ses rangs par de nouveaux profils. Mais malheureusement il n'a suffi que peu de temps pour la mise à l'écart d'Abdelmalek Bouchafa, pour céder ainsi sa place à son tour. Selon le site électronique Algérie patriotique, il sera remplacé, par l'actuel secrétaire national à la communication, Youcef Aouchiche, lequel a déjà occupé, en avril dernier, ce poste par intérim pour suppléer à l'absence de l'ex-premier secrétaire Mohamed Nebbou, pour des raisons de santé. Selon toujours la même source, la décision pourrait être annoncée ce weekend, à l'occasion de la tenue de la session ordinaire du conseil national du parti, la quatrième et dernière de l'année, qui ouvrira le débat sur la participation, bien que largement acquise, du FFS aux prochaines élections législatives. Quant à M. Bouchafa, il sera sûrement appelé à d'autres responsabilités au sein du parti. Une décision courageuse et forte à l'approche des élections législatives dont les vraies raisons restent sombres. Sûrement, la base et les éminents militants se poseront de multitudes questionnements auxquels, ils auront le droit de réponse de leurs inquiétudes et de leur sentiment, au moment où le parti a besoin de tout le monde. Mais selon toujours le même site, ce qui justifierait ce changement à la tête du plus vieux parti de l'opposition, c'est surtout le besoin d'insuffler au FFS une nouvelle dynamique pour qu'il soit prêt aux prochaines élections qui s'annoncent capitales pour la survie du parti. Au sein du plus vieux parti de l'opposition, en particulier dans les cercles proches de cette formation, le natif de Constantine, Abdelmalek Bouchafa, ne semble pas être le mieux indiqué pour mener campagne en Kabylie, susurre-ton. D'où ce besoin de recentrer désormais l'intérêt du parti sur cette région. Concurrencé sur son propre fief par l'entrée en lice de plusieurs acteurs politiques, le FFS veut se donner les moyens pour reconquérir le terrain perdu, tout en espérant réaliser des percées hors de la Kabylie. Le parti a, d'ailleurs, programmé une série de meetings dans les régions du Centre et de l'Est, le dernier en date étant le grand rassemblement organisé samedi dernier à Chlef. Le prochain conseil national sera aussi une occasion pour mettre fin à la récréation au sein du parti. Une mise en garde qui vise à freiner les ardeurs de quelques parlementaires pour leurs actions qui sortent du cadre du parti. Il est reproché à ces derniers de ne pas en avoir informé la direction de leur parti.