Lors d'une opération de l'Armée nationale populaire (ANP) menée dans la forêt d'Errich à Bouira, a été condamné dimanche par la cour de Bouira à la prison à perpétuité. Il s'agit du sanguinaire "Derradj Slimane, dit Abou Ishak, qui a rejoint le maquis en 1998 et qui a comparu dimanche devant la justice. Lors d'une opération de l'Armée nationale populaire (ANP) menée dans la forêt d'Errich à Bouira, a été condamné dimanche par la cour de Bouira à la prison à perpétuité. Il s'agit du sanguinaire "Derradj Slimane, dit Abou Ishak, qui a rejoint le maquis en 1998 et qui a comparu dimanche devant la justice. Celle-ci l'a condamné à la prison à perpétuité pour son implication dans plusieurs affaires terroristes et d'insécurité", a précisé la même source à l'APS. Originaire de la localité d'Ouled-Bouchia le mis en cause est accusé notamment de "constitution de groupe armé visant à semer le chaos, de kidnapping, de port d'armes illégalement et de constitution d'un arsenal de guerre ayant pour but de semer la terreur en milieu urbain", a-t-on précisé. Le juge l'a reconnu coupable de l'attentat terroriste perpétré le 21 juin 2012 en plein centre-ville de Bouira, ayant coûté la vie à un policier et blessé deux autres. Au cours de son audition, l'accusé a plaidé non coupable. Ses avocats ont, quant à eux, plaidé la relaxe pure et simple, tout en jugeant que leur client était "manipulé" par de tierces personnes, nommant deux de ses oncles qui étaient eux aussi des terrorises, a expliqué la même source. Celle-ci l'a condamné à la prison à perpétuité pour son implication dans plusieurs affaires terroristes et d'insécurité", a précisé la même source à l'APS. Originaire de la localité d'Ouled-Bouchia le mis en cause est accusé notamment de "constitution de groupe armé visant à semer le chaos, de kidnapping, de port d'armes illégalement et de constitution d'un arsenal de guerre ayant pour but de semer la terreur en milieu urbain", a-t-on précisé. Le juge l'a reconnu coupable de l'attentat terroriste perpétré le 21 juin 2012 en plein centre-ville de Bouira, ayant coûté la vie à un policier et blessé deux autres. Au cours de son audition, l'accusé a plaidé non coupable. Ses avocats ont, quant à eux, plaidé la relaxe pure et simple, tout en jugeant que leur client était "manipulé" par de tierces personnes, nommant deux de ses oncles qui étaient eux aussi des terrorises, a expliqué la même source.