Le moudjahid Ahmed Zmirli s'est éteint hier à l'âge de 93 ans au CHU Nedir -Mohamed de Tizi- Ouzou après une semaine d'hospitalisation, a-ton appris auprès de sa famille. Le moudjahid Ahmed Zmirli s'est éteint hier à l'âge de 93 ans au CHU Nedir -Mohamed de Tizi- Ouzou après une semaine d'hospitalisation, a-ton appris auprès de sa famille. "Il ne souffrait d'aucune maladie chronique" selon sa fille, Kahina, qui a précisé que son père a été admis au CHU pour dégradation de son état de santé dû à la vieillesse et a rendu l'âme dans la matinée de samedi. Son enterrement aura lieu demain dimanche au cimetière de M'douha, au chef-lieu de wilaya, tandis que la veillée funèbrese déroulera au domicile mortuaire à Tizi-Ouzou, a-t-on appris de même source. Ahmed Zmirli avait entamé son militantisme dans la mouvement national au sein de l'association des Scouts musulmans algériens en 1938, avant de rejoindre le Parti du peuple algérien puis le Front de libération national après le déclenchement de la guerre de Libération nationale. Il a été arrêté en 1958 et emprisonné dans plusieurs maisons d'arrêt. Après l'Indépendance, il occupa plusieurs postes de responsabilité, notamment celui de wali de Tizi-Ouzou, entre 1964 et 1966. "Il ne souffrait d'aucune maladie chronique" selon sa fille, Kahina, qui a précisé que son père a été admis au CHU pour dégradation de son état de santé dû à la vieillesse et a rendu l'âme dans la matinée de samedi. Son enterrement aura lieu demain dimanche au cimetière de M'douha, au chef-lieu de wilaya, tandis que la veillée funèbrese déroulera au domicile mortuaire à Tizi-Ouzou, a-t-on appris de même source. Ahmed Zmirli avait entamé son militantisme dans la mouvement national au sein de l'association des Scouts musulmans algériens en 1938, avant de rejoindre le Parti du peuple algérien puis le Front de libération national après le déclenchement de la guerre de Libération nationale. Il a été arrêté en 1958 et emprisonné dans plusieurs maisons d'arrêt. Après l'Indépendance, il occupa plusieurs postes de responsabilité, notamment celui de wali de Tizi-Ouzou, entre 1964 et 1966.
