Le plus vieux parti d'opposition traverse certainement une zone de fortes turbulences. Tous les clignotants sont au rouge. Le FFS est en effet en crise. Une crise désormais ouverte qui touche, de surcroît, l'état-major du parti. Le plus vieux parti d'opposition traverse certainement une zone de fortes turbulences. Tous les clignotants sont au rouge. Le FFS est en effet en crise. Une crise désormais ouverte qui touche, de surcroît, l'état-major du parti. La plus haute instance du parti le présidium en l'occurrence, s'est fissuré. Des dissensions opposent ses membres. Cette discorde, longtemps confinée à l'intérieur de cette structure, est désormais portée à la connaissance de l'opinion publique. En effet un des cinq membres du présidium, à savoir Rachid Halet, a rompu le silence en reconnaissant l'existence de profondes divergences au sein de la direction politique du FFS. Dans une déclaration à un quotidien il a avoué avoir des désaccords avec trois membres de cette instance. Il a ainsi cité les noms d'Ali Laskri, Cherifi Mohand Amokrane et Aziz Baloul. Mieux encore il a indiqué que cette querelle lui a valu d'être cité à comparaître devant la commission de règlement des conflits. Devant comparaître samedi dernier Rachid Halet a refusé de répondre à cette convocation. "J'ai refusé de passer devant cette commission, samedi dernier, pour des raisons que j'exposerai publiquement au moment opportun" dira-t-il. Et d'ajouter que "les membres de cette commission ne sont pas en cause, seul le congrès est habilité à trancher. Je me battrai jusqu'au bout, jusqu'au congrès national". Il s'est, par la suite, attaqué frontalement et nommément à Ali Laskri qu'il accuse d'exercer des pressions sur cette commission. "Je dénonce les pressions exercées sur cette commission. Je pense notamment à M. Laskri qui convoque, à tout bout de champ, le président de cette commission". Pour lui cela constitue une honte pour le parti. C'est une trahison du fonctionnement démocratique à l'intérieur du parti car considérant que "son problème est avec des personnes et non pas avec le FFS". Il a en outre accusé ses trois détracteurs de chercher "tout prix" à l'éliminer avant la tenue du congrès du parti. Par conséquent il a estimé qu'il s'agit d'un "coup de force au sein du parti". Autant dire qu'il s'agit de graves accusations qui indiquent clairement que le FFS est dans la tourmente. Cette crise profonde intervient à quelques jours seulement de la tenue d'une session du conseil national du parti, prévue les 9 et 10 décembre prochains. Une session au cours de laquelle le FFS devrait se prononcer sur sa participation ou non aux prochaines élections législatives. Il parait que la tendance penche en faveur de la participation à ce rendez-vous électoral tant tous les échos indiquent que c'est cette option qui a les faveurs au sein du parti. Le FFS ne fera certaineent pas exception puisque tous les partis de l'opposition, en tout cas ceux qui comptent sur l'échiquier, ont déjà annoncé leur participation. Rachid Halet n'a pas, cependant, révélé les dessous de cette crise même si certains observateurs ont fait le lien avec les élections. En tout cas il est certain que cette crise risque de porter un sérieux coup à la cohésion de ce parti qui risque fort bien, eu égard à la tournure des événements, de connaître une véritable scission.car les partisans de Rachid Halet menacent d'investir et d'occuper le siège national du parti le jour de la tenue du conseil national. La plus haute instance du parti le présidium en l'occurrence, s'est fissuré. Des dissensions opposent ses membres. Cette discorde, longtemps confinée à l'intérieur de cette structure, est désormais portée à la connaissance de l'opinion publique. En effet un des cinq membres du présidium, à savoir Rachid Halet, a rompu le silence en reconnaissant l'existence de profondes divergences au sein de la direction politique du FFS. Dans une déclaration à un quotidien il a avoué avoir des désaccords avec trois membres de cette instance. Il a ainsi cité les noms d'Ali Laskri, Cherifi Mohand Amokrane et Aziz Baloul. Mieux encore il a indiqué que cette querelle lui a valu d'être cité à comparaître devant la commission de règlement des conflits. Devant comparaître samedi dernier Rachid Halet a refusé de répondre à cette convocation. "J'ai refusé de passer devant cette commission, samedi dernier, pour des raisons que j'exposerai publiquement au moment opportun" dira-t-il. Et d'ajouter que "les membres de cette commission ne sont pas en cause, seul le congrès est habilité à trancher. Je me battrai jusqu'au bout, jusqu'au congrès national". Il s'est, par la suite, attaqué frontalement et nommément à Ali Laskri qu'il accuse d'exercer des pressions sur cette commission. "Je dénonce les pressions exercées sur cette commission. Je pense notamment à M. Laskri qui convoque, à tout bout de champ, le président de cette commission". Pour lui cela constitue une honte pour le parti. C'est une trahison du fonctionnement démocratique à l'intérieur du parti car considérant que "son problème est avec des personnes et non pas avec le FFS". Il a en outre accusé ses trois détracteurs de chercher "tout prix" à l'éliminer avant la tenue du congrès du parti. Par conséquent il a estimé qu'il s'agit d'un "coup de force au sein du parti". Autant dire qu'il s'agit de graves accusations qui indiquent clairement que le FFS est dans la tourmente. Cette crise profonde intervient à quelques jours seulement de la tenue d'une session du conseil national du parti, prévue les 9 et 10 décembre prochains. Une session au cours de laquelle le FFS devrait se prononcer sur sa participation ou non aux prochaines élections législatives. Il parait que la tendance penche en faveur de la participation à ce rendez-vous électoral tant tous les échos indiquent que c'est cette option qui a les faveurs au sein du parti. Le FFS ne fera certaineent pas exception puisque tous les partis de l'opposition, en tout cas ceux qui comptent sur l'échiquier, ont déjà annoncé leur participation. Rachid Halet n'a pas, cependant, révélé les dessous de cette crise même si certains observateurs ont fait le lien avec les élections. En tout cas il est certain que cette crise risque de porter un sérieux coup à la cohésion de ce parti qui risque fort bien, eu égard à la tournure des événements, de connaître une véritable scission.car les partisans de Rachid Halet menacent d'investir et d'occuper le siège national du parti le jour de la tenue du conseil national.