500 affaires liées à la cybercriminalité ont été traitées au niveau national depuis le début de l'année, à indiqué le colonel Azzeddine Azzeddine de la Gendarmerie nationale en marge des travaux de conférence nationale sur la cybercriminalité et la sécurité des données, organisée à l'université des sciences et technologies d'Oran Mohamed-Boudiaf (USTOMB). 500 affaires liées à la cybercriminalité ont été traitées au niveau national depuis le début de l'année, à indiqué le colonel Azzeddine Azzeddine de la Gendarmerie nationale en marge des travaux de conférence nationale sur la cybercriminalité et la sécurité des données, organisée à l'université des sciences et technologies d'Oran Mohamed-Boudiaf (USTOMB). Dans une communication abordant "L'aspect juridique de la lutte contre la cybercriminalité en Algérie", ce spécialiste a souligné que ce genre de crime est en évolution dans le pays, à l'instar de tous les pays dans le monde, en adéquation avec l'essor continu des technologies d'information et de communication, ce qui nécessite une législation adaptée à cette évolution. Donnant un aperçu sur la législation algérienne en matière de lutte contre la cybercriminalité, le colonel Azzeddine a insisté sur l'importance d'une loi sur le commerce électronique, ainsi sur l'introduction en parallèle de textes juridiques de lutte contre la cybercriminalité ciblant les sites commerciaux "e-commerce", surtout que l'Algérie est en phase de développer ce genre de commerce. Il a également mis l'accent sur la nécessité de protéger les enfants contre les risques d'internet, faisant remarquer qu'il y a des vides juridiques concernant dans ce domaine et appelant à sensibiliser sur les dangers de la cybercriminalité et à oeuvrer à la combattre. L'universitaire Younès Garar, expert en TIC, a insisté, pour sa part, sur l'importance de former des équipes spécialisées en matière de sécurité des données au niveau des administrations et des entreprises économiques pour les protéger contre des attaques des hackers et le piratage électronique, de s'appuyer sur des compétences algériennes dans le cadre de la stratégie nationale de lutte contre la cybercriminalité et d'orienter les recherches universitaires vers domaine. Dans une communication "Sécurité des données: perspectives et enjeux", il a mis l'accent sur l'importance de dénoncer toute attaque et piratage électronique, de fournir des informations et de diffuser la culture de la sécurité des données. Organisée par l'Association nationale des enseignants et chercheurs algériens dont le siège est domicilié à l'université "USTO-MB", cette rencontre a programmé des communications traitant, entre autres, de la sécurité des données, de la cybercriminalité dans la loi algérienne, de la protection des enfants contre les dangers des réseaux sociaux et du rôle de la police dans la lutte contre la cybercriminalité. Dans une communication abordant "L'aspect juridique de la lutte contre la cybercriminalité en Algérie", ce spécialiste a souligné que ce genre de crime est en évolution dans le pays, à l'instar de tous les pays dans le monde, en adéquation avec l'essor continu des technologies d'information et de communication, ce qui nécessite une législation adaptée à cette évolution. Donnant un aperçu sur la législation algérienne en matière de lutte contre la cybercriminalité, le colonel Azzeddine a insisté sur l'importance d'une loi sur le commerce électronique, ainsi sur l'introduction en parallèle de textes juridiques de lutte contre la cybercriminalité ciblant les sites commerciaux "e-commerce", surtout que l'Algérie est en phase de développer ce genre de commerce. Il a également mis l'accent sur la nécessité de protéger les enfants contre les risques d'internet, faisant remarquer qu'il y a des vides juridiques concernant dans ce domaine et appelant à sensibiliser sur les dangers de la cybercriminalité et à oeuvrer à la combattre. L'universitaire Younès Garar, expert en TIC, a insisté, pour sa part, sur l'importance de former des équipes spécialisées en matière de sécurité des données au niveau des administrations et des entreprises économiques pour les protéger contre des attaques des hackers et le piratage électronique, de s'appuyer sur des compétences algériennes dans le cadre de la stratégie nationale de lutte contre la cybercriminalité et d'orienter les recherches universitaires vers domaine. Dans une communication "Sécurité des données: perspectives et enjeux", il a mis l'accent sur l'importance de dénoncer toute attaque et piratage électronique, de fournir des informations et de diffuser la culture de la sécurité des données. Organisée par l'Association nationale des enseignants et chercheurs algériens dont le siège est domicilié à l'université "USTO-MB", cette rencontre a programmé des communications traitant, entre autres, de la sécurité des données, de la cybercriminalité dans la loi algérienne, de la protection des enfants contre les dangers des réseaux sociaux et du rôle de la police dans la lutte contre la cybercriminalité.