La groupe Sonatrach a remporté une victoire dans un arbitrage international contre la société Medex petroleum North Africa (Medex) sur des contrats de recherche et d'exploitation des hydrocarbures sur les périmètres Bourarhat Nord et Erg Issaouane, apprend-on auprès de Sonatrach. La groupe Sonatrach a remporté une victoire dans un arbitrage international contre la société Medex petroleum North Africa (Medex) sur des contrats de recherche et d'exploitation des hydrocarbures sur les périmètres Bourarhat Nord et Erg Issaouane, apprend-on auprès de Sonatrach. Sonatrach avait introduit une procédure d'arbitrage en 2015 devant un tribunal arbitral pour réclamer la résiliation des contrats avec Medex, en application du Règlement d'arbitrage de la Commission des Nations Unies pour le droit international commercial (CNUDCI), et ce, "à cause des défaillances de Medex dans l'exécution de ses obligations au titre de ces contrats", explique mardi le groupe Sonatrach dans un communiqué. Le tribunal arbitral a rendu sa sentence lundi 12 décembre en cours, "donnant raison au groupe national (Sonatrach) et a prononcé la résiliation des contrats sur les périmètres Bourarhat Nord et Erg Issaouane, conclus avec la société Medex et aux torts exclusifs de cette dernière, à compter de la date de la sentence", précise la même source. Suite à cette décision du tribunal arbitral, "Sonatrach reprendra incessamment la conduite et l'exécution des opérations pétrolières sur ces deux périmètres, qui produiront un volume prouvé d'huile de 15.500 barils/jour, de 3,7 millions st m3/jour de gaz de vente, de 8.680 barils/jour de condensat et de 500 tonnes/jour de GPL". Dans ce dossier d'arbitrage international, Sonatrach était accompagné par une équipe d'avocats du cabinet Quinnemanuel, Urquhart et Sullivan (basé à Paris). Des agents de sécurité de Sonatrach en grève de la faim Des agents de sécurité de la Société nationale d'hydrocarbures (DSP) opérant dans le sud du pays, maintiennent leurs actions de protestation en durcissant leur mouvement de contestation. Après des sit-in et des rassemblements qui ont laissé de marbre les responsables, les agents de sécurité ont décidé d'entamer une grève de la faim, à l'appui de leur plateforme de revendications. Les agents de sécurité grévistes exigent en l'occurrence la concrétisation des promesses des responsables de la société sur le terrain, notamment l'amélioration des conditions socioprofessionnelles. Pour les protestataires, cette action extrême, la grève de la faim demeure la seule alternative pour mettre la direction devant le fait accompli. "Cette grève de la faim est illimitée jusqu'à ce que la direction prenne en compte nos revendications, qui sont le changement des horaires de travail de (3/1) à (4/4), de meilleures conditions de travail et notre statut comme travailleurs au sein de Sonatrach", a affirmé l'un des agents (DSP) à Algerie1, en soulignant que "nous subissons une discrimination quotidienne de la part de la direction qui refuse de nous donner ce qui nous revient de droit, et pour laquelle nous ne faisons pas partie de la famille Sonatrach même si nos fiches de paie sont cachetées de ses acronymes. On en a marre, il faut que cela change !", s'est insurgé notre interlocuteur joint par téléphone. Sonatrach avait introduit une procédure d'arbitrage en 2015 devant un tribunal arbitral pour réclamer la résiliation des contrats avec Medex, en application du Règlement d'arbitrage de la Commission des Nations Unies pour le droit international commercial (CNUDCI), et ce, "à cause des défaillances de Medex dans l'exécution de ses obligations au titre de ces contrats", explique mardi le groupe Sonatrach dans un communiqué. Le tribunal arbitral a rendu sa sentence lundi 12 décembre en cours, "donnant raison au groupe national (Sonatrach) et a prononcé la résiliation des contrats sur les périmètres Bourarhat Nord et Erg Issaouane, conclus avec la société Medex et aux torts exclusifs de cette dernière, à compter de la date de la sentence", précise la même source. Suite à cette décision du tribunal arbitral, "Sonatrach reprendra incessamment la conduite et l'exécution des opérations pétrolières sur ces deux périmètres, qui produiront un volume prouvé d'huile de 15.500 barils/jour, de 3,7 millions st m3/jour de gaz de vente, de 8.680 barils/jour de condensat et de 500 tonnes/jour de GPL". Dans ce dossier d'arbitrage international, Sonatrach était accompagné par une équipe d'avocats du cabinet Quinnemanuel, Urquhart et Sullivan (basé à Paris). Des agents de sécurité de Sonatrach en grève de la faim Des agents de sécurité de la Société nationale d'hydrocarbures (DSP) opérant dans le sud du pays, maintiennent leurs actions de protestation en durcissant leur mouvement de contestation. Après des sit-in et des rassemblements qui ont laissé de marbre les responsables, les agents de sécurité ont décidé d'entamer une grève de la faim, à l'appui de leur plateforme de revendications. Les agents de sécurité grévistes exigent en l'occurrence la concrétisation des promesses des responsables de la société sur le terrain, notamment l'amélioration des conditions socioprofessionnelles. Pour les protestataires, cette action extrême, la grève de la faim demeure la seule alternative pour mettre la direction devant le fait accompli. "Cette grève de la faim est illimitée jusqu'à ce que la direction prenne en compte nos revendications, qui sont le changement des horaires de travail de (3/1) à (4/4), de meilleures conditions de travail et notre statut comme travailleurs au sein de Sonatrach", a affirmé l'un des agents (DSP) à Algerie1, en soulignant que "nous subissons une discrimination quotidienne de la part de la direction qui refuse de nous donner ce qui nous revient de droit, et pour laquelle nous ne faisons pas partie de la famille Sonatrach même si nos fiches de paie sont cachetées de ses acronymes. On en a marre, il faut que cela change !", s'est insurgé notre interlocuteur joint par téléphone.