Le ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière a ordonné le retrait des pharmacies du complément alimentaire "RHB" supposant atténuer les complications liées au diabète, affirment plusieurs médias. Le ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière a ordonné le retrait des pharmacies du complément alimentaire "RHB" supposant atténuer les complications liées au diabète, affirment plusieurs médias. Slim Belkessam, chargé de presse au ministère de la Santé, a affirmé au quotidien arabophone El Khabar que le ministère, qui a informé son inventeur Toufik Zaibat de cette décision, a ordonné à tous ses services affiliés de la mettre en oeuvre. Le même responsable a expliqué que cette décision est "une mesure de précaution" qui vient s'ajouter à la mise en garde mercredi dernier du ministère du Commerce, qui a appelé à "retirer immédiatement le produit des pharmacies", en attendant les résultats des analyses. Slim Belkessam a expliqué au quotidien El Khabar que la décision du ministère de la Santé de retirer "RHB" est motivée par la surmédiatisation "trompeuse" dont a bénéficié ce produit. Des citoyens ignorent que "Rahmet Rabi est un complément alimentaire et abandonnent le traitement par insuline", explique-t-il. La même source ajoute que la tutelle n'a reçu "aucun dossier de la part de Toufik Zaibat et la législation actuelle ne lui permet pas d'intervenir dans la commercialisation". Le chargé de communication du ministère de la Santé n'a pas manqué de revenir sur la rencontre de Toufik Zaibat avec Abdelmalek Boudiaf, affirmant que le ministre "tentait juste de promouvoir les compétences algériennes". La direction générale des pharmacies réagit La direction générale des pharmacies et équipements de santé avait d'ores et déjà demandé l'arrêt immédiat de la commercialisation du produit dénommé RHB Rahmat Rabi. "J'ai l'honneur de vous demander de veiller à l'arrêt immédiat de la commercialisation du produit cité en objet", précise le directeur général de l'organisme dans une correspondance envoyée en date du 10 décembre. "La plus grande importance est accordée à l'exécution de la présente", précise-t-il avant de demander d'être "destinataire d'un rapport concernant les mesures prises dans ce cadre". Lors de sa visite à Tizi-Ouzou, le ministre de la Santé, Abdelmalek Boudiaf a parlé d'un faux débat en évoquant la polémique suscitée par le remède Rahmat Rabi. Slim Belkessam, chargé de presse au ministère de la Santé, a affirmé au quotidien arabophone El Khabar que le ministère, qui a informé son inventeur Toufik Zaibat de cette décision, a ordonné à tous ses services affiliés de la mettre en oeuvre. Le même responsable a expliqué que cette décision est "une mesure de précaution" qui vient s'ajouter à la mise en garde mercredi dernier du ministère du Commerce, qui a appelé à "retirer immédiatement le produit des pharmacies", en attendant les résultats des analyses. Slim Belkessam a expliqué au quotidien El Khabar que la décision du ministère de la Santé de retirer "RHB" est motivée par la surmédiatisation "trompeuse" dont a bénéficié ce produit. Des citoyens ignorent que "Rahmet Rabi est un complément alimentaire et abandonnent le traitement par insuline", explique-t-il. La même source ajoute que la tutelle n'a reçu "aucun dossier de la part de Toufik Zaibat et la législation actuelle ne lui permet pas d'intervenir dans la commercialisation". Le chargé de communication du ministère de la Santé n'a pas manqué de revenir sur la rencontre de Toufik Zaibat avec Abdelmalek Boudiaf, affirmant que le ministre "tentait juste de promouvoir les compétences algériennes". La direction générale des pharmacies réagit La direction générale des pharmacies et équipements de santé avait d'ores et déjà demandé l'arrêt immédiat de la commercialisation du produit dénommé RHB Rahmat Rabi. "J'ai l'honneur de vous demander de veiller à l'arrêt immédiat de la commercialisation du produit cité en objet", précise le directeur général de l'organisme dans une correspondance envoyée en date du 10 décembre. "La plus grande importance est accordée à l'exécution de la présente", précise-t-il avant de demander d'être "destinataire d'un rapport concernant les mesures prises dans ce cadre". Lors de sa visite à Tizi-Ouzou, le ministre de la Santé, Abdelmalek Boudiaf a parlé d'un faux débat en évoquant la polémique suscitée par le remède Rahmat Rabi.