Les services de la wilaya d'Alger et le ministère de l'Intérieur sont décidés à donner un coup de balai à l'anarchie qui sévit actuellement. Les parkings sauvages seront éliminés et les aires de stationnement balisées. Les services de la wilaya d'Alger et le ministère de l'Intérieur sont décidés à donner un coup de balai à l'anarchie qui sévit actuellement. Les parkings sauvages seront éliminés et les aires de stationnement balisées. La direction de l'urbanisme de la wilaya d'Alger veut cette fois frapper fort. Tout parking sauvage est désormais illicite. Les services de sécurité ont le feu vert pour démanteler ces aires aménagées selon le bon vouloir de "gardiens" qui s'autoproclament comme tel sans autorisation officielle. Tout au long de cette semaine, plus de 25 parkings anarchiques ont été supprimés. Après avoir constaté le nombre de plaintes suite à des agressions contre les automobilistes, les autorités ont décidé de mettre un terme à ces comportements où l'incivisme reste le point noir. En effet, des "gardiens" de parkings menacent les automobilistes leur réclamant de payer à l'avance un tribut contre le stationnement. Les tarifs sont jugés, les prix étant calculés selon "l'humeur" du marché et dépassent les 200 DA dans certains quartiers. De nombreux cas d'agressions ont été relevées contre des automobilistes ces derniers temps. Dans le centre-ville, des bandes de jeunes imposent leurs tarifs en bombant le torse et s'armant de bâtons et de gourdins lorsqu'ils constatent que les conducteurs ne veulent pas payer. Une situation qui dure depuis des années et qui a fini par céder des prérogatives de stationnement à des jeunes chômeurs, dont certains ont des antécédents judicaires. Le wali d'Alger, Abdelkader Zoukh, avait déclaré que "les stationnement sur la voie publique est du ressort des autorités et de la loi sur la circulation routière". C'est cette loi sur le trafic et la circulation routière qui a été récemment votée à l'APN et opérationnelle il y a quelques jours qui règlemente le stationnement et sa durée conformément aux usages standards dans le monde. Quand aux parkings, seuls les services habilités ont le droit de désigner les endroits et aires de stationnements nécessaires et légaux. Certaines APC ont commencé à délivrer des autorisations à des jeunes qui sont munis de badges et blousons pour "gérer" les stationnements. Quand aux tarifs ils sont fixes et ne dépassent pas les 50 DA. Ces gardiens ont l'obligation d'assurer la sécurité des véhicules pendant la durée du stationnement. Les voies publiques pour un tel usage doivent être signalées aux automobilistes afin de prendre leur disposition pour un éventuel stationnement. Il faut rappeler que la construction de plusieurs parkings à étages est en cours de réalisation. Les plus importants, au nombre de 10, à l'échelle de la capitale et sa périphérie peuvent avoir des capacités de stationnement de 1.000 à 2.000 véhicules. Les plus grands parkings seront aménagés l'année prochaine pour une capacité de 10.000 véhicules. Ces réalisations ont certes pris du retard mais le ministre des Transports, Boudjemaâ Talai, a considéré que "ces parkings seront opérationnels pendant le 1er trimestre ou au plus tard le 2e trimestre de l'année 2017". La direction de l'urbanisme de la wilaya d'Alger veut cette fois frapper fort. Tout parking sauvage est désormais illicite. Les services de sécurité ont le feu vert pour démanteler ces aires aménagées selon le bon vouloir de "gardiens" qui s'autoproclament comme tel sans autorisation officielle. Tout au long de cette semaine, plus de 25 parkings anarchiques ont été supprimés. Après avoir constaté le nombre de plaintes suite à des agressions contre les automobilistes, les autorités ont décidé de mettre un terme à ces comportements où l'incivisme reste le point noir. En effet, des "gardiens" de parkings menacent les automobilistes leur réclamant de payer à l'avance un tribut contre le stationnement. Les tarifs sont jugés, les prix étant calculés selon "l'humeur" du marché et dépassent les 200 DA dans certains quartiers. De nombreux cas d'agressions ont été relevées contre des automobilistes ces derniers temps. Dans le centre-ville, des bandes de jeunes imposent leurs tarifs en bombant le torse et s'armant de bâtons et de gourdins lorsqu'ils constatent que les conducteurs ne veulent pas payer. Une situation qui dure depuis des années et qui a fini par céder des prérogatives de stationnement à des jeunes chômeurs, dont certains ont des antécédents judicaires. Le wali d'Alger, Abdelkader Zoukh, avait déclaré que "les stationnement sur la voie publique est du ressort des autorités et de la loi sur la circulation routière". C'est cette loi sur le trafic et la circulation routière qui a été récemment votée à l'APN et opérationnelle il y a quelques jours qui règlemente le stationnement et sa durée conformément aux usages standards dans le monde. Quand aux parkings, seuls les services habilités ont le droit de désigner les endroits et aires de stationnements nécessaires et légaux. Certaines APC ont commencé à délivrer des autorisations à des jeunes qui sont munis de badges et blousons pour "gérer" les stationnements. Quand aux tarifs ils sont fixes et ne dépassent pas les 50 DA. Ces gardiens ont l'obligation d'assurer la sécurité des véhicules pendant la durée du stationnement. Les voies publiques pour un tel usage doivent être signalées aux automobilistes afin de prendre leur disposition pour un éventuel stationnement. Il faut rappeler que la construction de plusieurs parkings à étages est en cours de réalisation. Les plus importants, au nombre de 10, à l'échelle de la capitale et sa périphérie peuvent avoir des capacités de stationnement de 1.000 à 2.000 véhicules. Les plus grands parkings seront aménagés l'année prochaine pour une capacité de 10.000 véhicules. Ces réalisations ont certes pris du retard mais le ministre des Transports, Boudjemaâ Talai, a considéré que "ces parkings seront opérationnels pendant le 1er trimestre ou au plus tard le 2e trimestre de l'année 2017".