Le ministre de la Communication, Hamid Grine, a appelé hier à Alger les médias à être "professionnels" lors de la couverture des prochaines joutes électorales nationales et locales. Le ministre de la Communication, Hamid Grine, a appelé hier à Alger les médias à être "professionnels" lors de la couverture des prochaines joutes électorales nationales et locales. Et pour réussir ce rendez-vous électoral, le ministre a fait savoir qu'il allait tenir, mardi, une rencontre avec la Haute instance indépendante de surveillance des élections au sujet de "l'expression directe à la Radio et à la Télévision et sur les différentes modalités de la couverture médiatique lors des prochaines législatives" "Soyez professionnels tout simplement", a-t-il déclaré à la presse, en marge d'une conférence sur "l'autorégulation du métier de journaliste, vers le professionnalisme" à l'Ecole supérieure de journalisme. En réponse à une question sur la couverture médiatique des prochaines législatives et locales a précisé que "ce ne sont pas toutes les chaînes privées qui sont autorisées à couvrir les prochaines élections". "Nous sommes dans la légalité et on ne va pas donner (des autorisations) à des chaînes de droit étranger", a-t-il tranché. M. Grine a indiqué que, pour l'instant, son département n'avait exclu aucune chaîne, relevant qu'après le dépôt des dossiers au niveau de l'Arav (Autorité de régulation de l'audiovisuel), "il y a un cahier des charges auquel ces chaînes devraient se conformer". Le ministre a fait état de l'existence de cinq chaînes disposant de "bureaux autorisés", ajoutant que pour les autres chaînes, "on aura la possibilité de discuter avec elles, s'il y a lieu de le faire, pour qu'il n'y ait pas de problèmes de diffamation ou d'injures lors des prochaines élections". "Il y a certaines mesures à l'égard des chaînes privées, mais je ne vais pas m'avancer plus à ce sujet", a-t-il souligné. S'agissant de la couverture des médias étrangers de ces élections, M. Grine a indiqué que "pour l'instant, il n'y a pas de demande à ce sujet". Interrogé sur la mise en place de l'Autorité de régulation de la presse écrite, il a réaffirmé qu'elle sera installée en 2017 et comportera en son sein une structure d'éthique et de déontologie. "On peut dire que Raouraoua a échoué en 2017" Hamid Grine a appelé, également à "dépassionner le débat" sur l'équipe nationale après l'échec de sa dernière participation à la Coupe d'Afrique des nations (CAN) et ses débuts difficiles dans les éliminatoires du Mondial 2018. Interrogé par la presse sur la responsabilité de Mohamed Raouraoua, le ministre de la Communication a estimé que le président de la FAF avait "réussi en 2014 mais on peut dire qu'il a échoué en 2017". Mais concernant l'équipe nationale, "c'est tout le monde qui a échoué", a-t-il ajouté en réponse à des questions de journalistes en marge d'une conférence sur le thème de "l'autorégulation du métier de journaliste vers le professionnalisme", animée par Sakher El-Khassawnah, enseignant de législations et déontologie des médias au Jordan Media Institute à Amman, en Jordanie. "Il faut évaluer l'équipe nationale de façon sereine. Elle nous a donné beaucoup de joie en 2014 et je comprends la déception qu'elle suscite aujourd'hui. Mais on ne doit pas passer d'un extrême à l'autre", a expliqué le ministre de la Communication. Concernant les critiques, parfois très sévères, dont a fait l'objet Mohamed Raouraoua et les joueurs de l'équipe nationale dans la presse, Hamid Grine a appelé à éviter l'insulte et la diffamation. Et pour réussir ce rendez-vous électoral, le ministre a fait savoir qu'il allait tenir, mardi, une rencontre avec la Haute instance indépendante de surveillance des élections au sujet de "l'expression directe à la Radio et à la Télévision et sur les différentes modalités de la couverture médiatique lors des prochaines législatives" "Soyez professionnels tout simplement", a-t-il déclaré à la presse, en marge d'une conférence sur "l'autorégulation du métier de journaliste, vers le professionnalisme" à l'Ecole supérieure de journalisme. En réponse à une question sur la couverture médiatique des prochaines législatives et locales a précisé que "ce ne sont pas toutes les chaînes privées qui sont autorisées à couvrir les prochaines élections". "Nous sommes dans la légalité et on ne va pas donner (des autorisations) à des chaînes de droit étranger", a-t-il tranché. M. Grine a indiqué que, pour l'instant, son département n'avait exclu aucune chaîne, relevant qu'après le dépôt des dossiers au niveau de l'Arav (Autorité de régulation de l'audiovisuel), "il y a un cahier des charges auquel ces chaînes devraient se conformer". Le ministre a fait état de l'existence de cinq chaînes disposant de "bureaux autorisés", ajoutant que pour les autres chaînes, "on aura la possibilité de discuter avec elles, s'il y a lieu de le faire, pour qu'il n'y ait pas de problèmes de diffamation ou d'injures lors des prochaines élections". "Il y a certaines mesures à l'égard des chaînes privées, mais je ne vais pas m'avancer plus à ce sujet", a-t-il souligné. S'agissant de la couverture des médias étrangers de ces élections, M. Grine a indiqué que "pour l'instant, il n'y a pas de demande à ce sujet". Interrogé sur la mise en place de l'Autorité de régulation de la presse écrite, il a réaffirmé qu'elle sera installée en 2017 et comportera en son sein une structure d'éthique et de déontologie. "On peut dire que Raouraoua a échoué en 2017" Hamid Grine a appelé, également à "dépassionner le débat" sur l'équipe nationale après l'échec de sa dernière participation à la Coupe d'Afrique des nations (CAN) et ses débuts difficiles dans les éliminatoires du Mondial 2018. Interrogé par la presse sur la responsabilité de Mohamed Raouraoua, le ministre de la Communication a estimé que le président de la FAF avait "réussi en 2014 mais on peut dire qu'il a échoué en 2017". Mais concernant l'équipe nationale, "c'est tout le monde qui a échoué", a-t-il ajouté en réponse à des questions de journalistes en marge d'une conférence sur le thème de "l'autorégulation du métier de journaliste vers le professionnalisme", animée par Sakher El-Khassawnah, enseignant de législations et déontologie des médias au Jordan Media Institute à Amman, en Jordanie. "Il faut évaluer l'équipe nationale de façon sereine. Elle nous a donné beaucoup de joie en 2014 et je comprends la déception qu'elle suscite aujourd'hui. Mais on ne doit pas passer d'un extrême à l'autre", a expliqué le ministre de la Communication. Concernant les critiques, parfois très sévères, dont a fait l'objet Mohamed Raouraoua et les joueurs de l'équipe nationale dans la presse, Hamid Grine a appelé à éviter l'insulte et la diffamation.