L'Algérie a enregistré des succès diplomatiques retentissants à Addis-Abeba lors des travaux du 28ème sommet de l'Union africaine qui témoignent de son rôle de leadership et de son engagement envers le développement et l'intégration du continent. L'Algérie a enregistré des succès diplomatiques retentissants à Addis-Abeba lors des travaux du 28ème sommet de l'Union africaine qui témoignent de son rôle de leadership et de son engagement envers le développement et l'intégration du continent. Ainsi, lors des travaux de ce sommet, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, connu pour son engagement pour le développement, la paix et la sécurité en Afrique, a été élu par ses pairs africains, vice-président de l'UA pour l'année 2017. Le second succès de la diplomatie algérienne est la réélection de Smaïl Chergui, à la majorité absolue, pour un nouveau mandat comme commissaire à la paix et à la sécurité de l'UA, un des postes les plus stratégiques de la Commission de l'Union, en signe de reconnaissance à ses efforts lors de son premier mandat. Pour le ministre des Affaires maghrébines, de l'Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, Abdelkader Messahel, la réélection de Smaïl Chergui est une "grande victoire" pour l'Algérie et une "reconnaissance" de ses efforts en faveur de la paix et de la sécurité dans le continent. "Cette réélection est également une reconnaissance à l'action du président de la République, Abdelaziz Bouteflika qui s'est beaucoup investi dans les questions de paix et de sécurité en Afrique", a-t-il souligné. Fatima-Zahra Karadja a été également élue membre du Panel des éminentes personnalités du Mécanisme africain d'évaluation par les pairs (Maep), un instrument chargé de promouvoir la bonne gouvernance dans le continent. L'élection de Mme Karadja est intervenue lors du 26e forum des chefs d'Etat et de gouvernement du Maep. Après son élection, Mme Karadja a avoué être persuadée que l'Algérie "a aujourd'hui le devoir de profiter de ses compétences et de ses ressources humaines pour s'injecter dans toutes les structures de l'Union africaine pour pouvoir préserver son rôle de leadership dans le continent". Lors de ce sommet du Maep, Mustapha Mekideche, qui occupait le poste de président du Panel des éminentes personnalités du mécanisme a été distingué pour ses efforts à la tête de ce panel. "C'est un hommage pour le pays et pour le président de la République qui est membre fondateur de ce mécanisme", a-t-il déclaré à la presse en réaction à cette distinction. A toutes ces élections vient s'ajouter celle de la magistrate algérienne, Chafika Bensaoula, à une large majorité en tant que juge à la Cour africaine des droits de l'Homme et des peuples. Tout ces acquis de l'Algérie sont en adéquation avec son rôle de leader sur la scène africaine où l'Algérie n'a jamais cessé de déployer des efforts en faveur du développement de l'Afrique et de son unité dans la paix et la sécurité et pour faire entendre la voix du continent sur les différentes problématiques et questions qui intéressent la communauté internationale. Alpha Condé rend hommage à Bouteflika Le président guinéen et président en exercice de l'Union africaine (UA), Alpha Condé, a rendu hier à Addis- Abeba un vibrant hommage au président de la République, Abdelaziz Bouteflika et à son engagement "indéfectible" en faveur des causes africaines. Le président guinéen, qui intervenait lors de la cérémonie de clôture du 28e sommet de l'UA, a rappelé que Bouteflika a "été le plus jeune président de l'Assemblée générale des Nations unies et qu'en cette qualité il avait grandement contribué à la libération du continent africain et à la défense de ses causes justes". A titre d'exemple, Il a cité son fort soutien aux Sud-Africains sous l'égide de l'ANC (African National Congress), dans leur lutte contre le régime de l'apartheid. Ainsi, lors des travaux de ce sommet, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, connu pour son engagement pour le développement, la paix et la sécurité en Afrique, a été élu par ses pairs africains, vice-président de l'UA pour l'année 2017. Le second succès de la diplomatie algérienne est la réélection de Smaïl Chergui, à la majorité absolue, pour un nouveau mandat comme commissaire à la paix et à la sécurité de l'UA, un des postes les plus stratégiques de la Commission de l'Union, en signe de reconnaissance à ses efforts lors de son premier mandat. Pour le ministre des Affaires maghrébines, de l'Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, Abdelkader Messahel, la réélection de Smaïl Chergui est une "grande victoire" pour l'Algérie et une "reconnaissance" de ses efforts en faveur de la paix et de la sécurité dans le continent. "Cette réélection est également une reconnaissance à l'action du président de la République, Abdelaziz Bouteflika qui s'est beaucoup investi dans les questions de paix et de sécurité en Afrique", a-t-il souligné. Fatima-Zahra Karadja a été également élue membre du Panel des éminentes personnalités du Mécanisme africain d'évaluation par les pairs (Maep), un instrument chargé de promouvoir la bonne gouvernance dans le continent. L'élection de Mme Karadja est intervenue lors du 26e forum des chefs d'Etat et de gouvernement du Maep. Après son élection, Mme Karadja a avoué être persuadée que l'Algérie "a aujourd'hui le devoir de profiter de ses compétences et de ses ressources humaines pour s'injecter dans toutes les structures de l'Union africaine pour pouvoir préserver son rôle de leadership dans le continent". Lors de ce sommet du Maep, Mustapha Mekideche, qui occupait le poste de président du Panel des éminentes personnalités du mécanisme a été distingué pour ses efforts à la tête de ce panel. "C'est un hommage pour le pays et pour le président de la République qui est membre fondateur de ce mécanisme", a-t-il déclaré à la presse en réaction à cette distinction. A toutes ces élections vient s'ajouter celle de la magistrate algérienne, Chafika Bensaoula, à une large majorité en tant que juge à la Cour africaine des droits de l'Homme et des peuples. Tout ces acquis de l'Algérie sont en adéquation avec son rôle de leader sur la scène africaine où l'Algérie n'a jamais cessé de déployer des efforts en faveur du développement de l'Afrique et de son unité dans la paix et la sécurité et pour faire entendre la voix du continent sur les différentes problématiques et questions qui intéressent la communauté internationale. Alpha Condé rend hommage à Bouteflika Le président guinéen et président en exercice de l'Union africaine (UA), Alpha Condé, a rendu hier à Addis- Abeba un vibrant hommage au président de la République, Abdelaziz Bouteflika et à son engagement "indéfectible" en faveur des causes africaines. Le président guinéen, qui intervenait lors de la cérémonie de clôture du 28e sommet de l'UA, a rappelé que Bouteflika a "été le plus jeune président de l'Assemblée générale des Nations unies et qu'en cette qualité il avait grandement contribué à la libération du continent africain et à la défense de ses causes justes". A titre d'exemple, Il a cité son fort soutien aux Sud-Africains sous l'égide de l'ANC (African National Congress), dans leur lutte contre le régime de l'apartheid.