Le processus de renouvellement des instances sportives algériennes, entamé fin janvier, se poursuit toujours mais au ralenti. En effet, aux dernières nouvelles, plusieurs présidents de fédérations seront déclarés inéligibles dans les prochains jours. Le processus de renouvellement des instances sportives algériennes, entamé fin janvier, se poursuit toujours mais au ralenti. En effet, aux dernières nouvelles, plusieurs présidents de fédérations seront déclarés inéligibles dans les prochains jours. Comme ce fut le cas, donc, du mandat olympique précédent qui a pris fin en 2013 et bien d'autres, une dizaine de président de fédérations sportives algériennes en fin de mandat seront déclarés inéligibles.Plusieurs instances nationales ont organisé déjà leurs assemblées générales ordinaires. Mais l'organisation des assemblées générales élective aura lieu une fois que les services du ministère de la Jeunesse et des Sport valident ces bilans après, bien évidemment, leur étude. Le premier responsable du sport algérien, El Hadi Ould Ali, s'est montré catégorique dans ce registre et avoue que ‘'celui qui a échoué dans sa mission doit partir''. Le ministère a décidé de revoir sa politique et contrôler toutes les fédérations sportives. La mauvaise gestion pour certaines instances et l'échec des autres aux échéances internationales au cours du mandat olympique 2013- 2016 serait derrière cette déclaration d'inéligibilité à l'encontre de certains patrons de fédérations en fin de mandat. Pour la première instance nationale du sport, à sa tête le ministre El Hadi Ould Ali, les fédérations sportives algériennes avaient signé des contrats d'objectifs. Autrement dit, celui qui n'a pas atteint son objectif est appelé à céder sa place et ce, en dépit de l'approbation de son bilan par le bureau exécutif lors de l'assemblée générale ordinaire ‘'par complicité''. Des évaluations périodiques s'imposent Attendre la fin du mandat olympique pour faire une évaluation fera perdre au sport algérien des années encore et c'est aussi la déperdition des jeunes athlètes prometteurs. Les spécialistes en la matière suggèrent une évaluation périodique pour toutes les fédérations pour éviter tous ces échecs. Chaque année, les fédérations reçoivent des subventions de l'Etat, mais sur le plan des résultats, rien n'a changé. ‘'Les fédérations sportives s'engagent, en contrepartie de moyens financiers importants mis à leur disposition, à réaliser des résultats probants'', a indiqué le ministre de la Jeunesse et des Sports El Hadi Ould Ali. Chose que, malheureusement, la plupart des fédérations n'ont pas réalisés. L'Algérie a remporté deux médailles d'argent par Taoufik Makhloufi (800 et 1.500 m) aux Jeux Olympiques de Rio de Janeiro 2016 et des fédérations comme la boxe et le judo n'ont pas pu atteindre ces objectifs, sachant que l'ensemble des fédérations donnent des pronostics avant chaque compétition. Une chose est sûre, un sérieux travail de fond attend les responsables du sport algérien pour espérer atteindre les objectifs escomptés. Le ministère constitue pour l'instant la seule source financière de ses fédérations et il ouvre droit à des comptes pour elles. En tous les cas, le marasme du sport algérien ne date pas d'hier et l'actuel ministre de la Jeunesse et des Sports n'a pas de baguette magique surtout si les acteurs du sport en général n'adhérent pas. Comme ce fut le cas, donc, du mandat olympique précédent qui a pris fin en 2013 et bien d'autres, une dizaine de président de fédérations sportives algériennes en fin de mandat seront déclarés inéligibles.Plusieurs instances nationales ont organisé déjà leurs assemblées générales ordinaires. Mais l'organisation des assemblées générales élective aura lieu une fois que les services du ministère de la Jeunesse et des Sport valident ces bilans après, bien évidemment, leur étude. Le premier responsable du sport algérien, El Hadi Ould Ali, s'est montré catégorique dans ce registre et avoue que ‘'celui qui a échoué dans sa mission doit partir''. Le ministère a décidé de revoir sa politique et contrôler toutes les fédérations sportives. La mauvaise gestion pour certaines instances et l'échec des autres aux échéances internationales au cours du mandat olympique 2013- 2016 serait derrière cette déclaration d'inéligibilité à l'encontre de certains patrons de fédérations en fin de mandat. Pour la première instance nationale du sport, à sa tête le ministre El Hadi Ould Ali, les fédérations sportives algériennes avaient signé des contrats d'objectifs. Autrement dit, celui qui n'a pas atteint son objectif est appelé à céder sa place et ce, en dépit de l'approbation de son bilan par le bureau exécutif lors de l'assemblée générale ordinaire ‘'par complicité''. Des évaluations périodiques s'imposent Attendre la fin du mandat olympique pour faire une évaluation fera perdre au sport algérien des années encore et c'est aussi la déperdition des jeunes athlètes prometteurs. Les spécialistes en la matière suggèrent une évaluation périodique pour toutes les fédérations pour éviter tous ces échecs. Chaque année, les fédérations reçoivent des subventions de l'Etat, mais sur le plan des résultats, rien n'a changé. ‘'Les fédérations sportives s'engagent, en contrepartie de moyens financiers importants mis à leur disposition, à réaliser des résultats probants'', a indiqué le ministre de la Jeunesse et des Sports El Hadi Ould Ali. Chose que, malheureusement, la plupart des fédérations n'ont pas réalisés. L'Algérie a remporté deux médailles d'argent par Taoufik Makhloufi (800 et 1.500 m) aux Jeux Olympiques de Rio de Janeiro 2016 et des fédérations comme la boxe et le judo n'ont pas pu atteindre ces objectifs, sachant que l'ensemble des fédérations donnent des pronostics avant chaque compétition. Une chose est sûre, un sérieux travail de fond attend les responsables du sport algérien pour espérer atteindre les objectifs escomptés. Le ministère constitue pour l'instant la seule source financière de ses fédérations et il ouvre droit à des comptes pour elles. En tous les cas, le marasme du sport algérien ne date pas d'hier et l'actuel ministre de la Jeunesse et des Sports n'a pas de baguette magique surtout si les acteurs du sport en général n'adhérent pas.