Emmanuel Macron, candidat à la présidentielle 2017 en France, a indiqué hier à Alger que le renforcement des relations entre l'Algérie et la France devrait se faire à travers des partenariats multisectoriels. Emmanuel Macron, candidat à la présidentielle 2017 en France, a indiqué hier à Alger que le renforcement des relations entre l'Algérie et la France devrait se faire à travers des partenariats multisectoriels. Le renforcement "de la relation entre l'Algérie et la France passe par une série de partenariats renforcés, un partenariat diplomatique et sécuritaire, académique, culturel, linguistique, éducatif et, également, par un partenariat économique", a t-il déclaré à la presse à l'issue d'un entretien avec le ministre de l'Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb. "Nous avons envisagé l'importance des dossiers relatifs aux énergies renouvelables, en particulier le solaire dans lequel beaucoup d'appels d'offres vont être passés, et également de la volonté qui est la nôtre de renforcer ce partenariat par les infrastructures et l'échange des talents", a-t-il poursuivi. Il a aussi estimé que des pistes de coopération sont possibles dans les domaines des infrastructures et de la construction, de la logistique et de l'industrie agroalimentaire. Macron a également eu un entretien avec le président du Forum des chefs d'entreprise (FCE), Ali Haddad, à l'issue duquel il a souligné à la presse que "la France et ses entreprises devraient contribuer à la diversification de l'économie algérienne". Evoquant le numérique, la candidat à la présidentielle française a relevé l'existence d'un partenariat "extrêmement vif en Algérie", deuxième marché francophone au monde après la France, avançant la possibilité de la création de "géants numériques" grâce à une coopération algéro-française. Soutenant qu'une part importante de la coopération repose aussi sur l'énergie, Macron a considéré que "l'Algérie a la vocation et la possibilité d'être le premier fournisseur d'énergie solaire au monde". De surcroît, il a fait savoir que lors de sa rencontre avec Haddad, "les deux parties se sont entretenues sur la capacité à développer l'entreprenariat avec un environnement d'affaires stable et ouvert, conjugué à une mobilité géographique entre les deux pays qui permettra d'atteindre ces objectifs économiques". Ce partenariat algéro-français, selon lui, "sera important à la fois pour l'Algérie en vue de diversifier son économie, et pour les entreprises françaises qui en profiteront pour développer leur vivacité". Pour Macron, ce partenariat est également important "dans le cadre d'une stratégie africaine que les deux pays doivent partager", l'Algérie étant, a-t-il poursuivi, "le premier pays d'Afrique et celui qui a vocation à travailler avec l'ensemble des pays du continent à travers, notamment, la mise en place de la route transsaharienne et la stratégie du pays en terme d'infrastructures de transport et énergétiques". A ce propos, Haddad a indiqué que le développement de ce partenariat gagnantgagnant "doit absolument passer par l'axe Paris-Alger-Johannesburg, l'Afrique étant le marché de demain". "Les entreprises algériennes ont besoin du savoir-faire, de la technologie et de la formation françaises", a estimé le président du FCE. Le renforcement "de la relation entre l'Algérie et la France passe par une série de partenariats renforcés, un partenariat diplomatique et sécuritaire, académique, culturel, linguistique, éducatif et, également, par un partenariat économique", a t-il déclaré à la presse à l'issue d'un entretien avec le ministre de l'Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb. "Nous avons envisagé l'importance des dossiers relatifs aux énergies renouvelables, en particulier le solaire dans lequel beaucoup d'appels d'offres vont être passés, et également de la volonté qui est la nôtre de renforcer ce partenariat par les infrastructures et l'échange des talents", a-t-il poursuivi. Il a aussi estimé que des pistes de coopération sont possibles dans les domaines des infrastructures et de la construction, de la logistique et de l'industrie agroalimentaire. Macron a également eu un entretien avec le président du Forum des chefs d'entreprise (FCE), Ali Haddad, à l'issue duquel il a souligné à la presse que "la France et ses entreprises devraient contribuer à la diversification de l'économie algérienne". Evoquant le numérique, la candidat à la présidentielle française a relevé l'existence d'un partenariat "extrêmement vif en Algérie", deuxième marché francophone au monde après la France, avançant la possibilité de la création de "géants numériques" grâce à une coopération algéro-française. Soutenant qu'une part importante de la coopération repose aussi sur l'énergie, Macron a considéré que "l'Algérie a la vocation et la possibilité d'être le premier fournisseur d'énergie solaire au monde". De surcroît, il a fait savoir que lors de sa rencontre avec Haddad, "les deux parties se sont entretenues sur la capacité à développer l'entreprenariat avec un environnement d'affaires stable et ouvert, conjugué à une mobilité géographique entre les deux pays qui permettra d'atteindre ces objectifs économiques". Ce partenariat algéro-français, selon lui, "sera important à la fois pour l'Algérie en vue de diversifier son économie, et pour les entreprises françaises qui en profiteront pour développer leur vivacité". Pour Macron, ce partenariat est également important "dans le cadre d'une stratégie africaine que les deux pays doivent partager", l'Algérie étant, a-t-il poursuivi, "le premier pays d'Afrique et celui qui a vocation à travailler avec l'ensemble des pays du continent à travers, notamment, la mise en place de la route transsaharienne et la stratégie du pays en terme d'infrastructures de transport et énergétiques". A ce propos, Haddad a indiqué que le développement de ce partenariat gagnantgagnant "doit absolument passer par l'axe Paris-Alger-Johannesburg, l'Afrique étant le marché de demain". "Les entreprises algériennes ont besoin du savoir-faire, de la technologie et de la formation françaises", a estimé le président du FCE.