Les ministres FLN candidats aux prochaines élections législatives du 4 mai n'utiliseront pas les moyens de l'Etat durant la campagne électorale, a assuré, hier Djamel Ould Abbès. Les ministres FLN candidats aux prochaines élections législatives du 4 mai n'utiliseront pas les moyens de l'Etat durant la campagne électorale, a assuré, hier Djamel Ould Abbès. "Les ministres d'obédience FLN, candidats aux prochaines législatives, n'utiliseront pas les moyens de l'Etat dans leur campagne électorale prévue pour le 4 mai, conformément à la loi en vigueur qui interdit ce genre de pratique", a affirmé le secrétaire général du FLN à l'issue de l'installation des structures du Conseil de la Nation. Djamel Ould Abbès a également précisé que les ministres n'étaient pas obligés de démissionner pour participer aux législatives. "Mais ils se retireront deux mois avant la tenue des élections et la gestion de leur départements sera confiée aux secrétaires généraux ou à d'autres ministres intérimaires", a-t-il dit. En ce qui concerne la candidature du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, il a rappelé encore une fois que "l'engagement de Sellal est étroitement lié au Président de la République, en ce sens qu'il occupe le poste de Premier ministre et non celui de ministre". Le secrétaire général du FLN a affirmé que l'examen des 6.200 dossiers de candidats par la commission nationale des candidatures s'achèvera dans un "délai n'excédant pas les six jours". "Les ministres d'obédience FLN, candidats aux prochaines législatives, n'utiliseront pas les moyens de l'Etat dans leur campagne électorale prévue pour le 4 mai, conformément à la loi en vigueur qui interdit ce genre de pratique", a affirmé le secrétaire général du FLN à l'issue de l'installation des structures du Conseil de la Nation. Djamel Ould Abbès a également précisé que les ministres n'étaient pas obligés de démissionner pour participer aux législatives. "Mais ils se retireront deux mois avant la tenue des élections et la gestion de leur départements sera confiée aux secrétaires généraux ou à d'autres ministres intérimaires", a-t-il dit. En ce qui concerne la candidature du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, il a rappelé encore une fois que "l'engagement de Sellal est étroitement lié au Président de la République, en ce sens qu'il occupe le poste de Premier ministre et non celui de ministre". Le secrétaire général du FLN a affirmé que l'examen des 6.200 dossiers de candidats par la commission nationale des candidatures s'achèvera dans un "délai n'excédant pas les six jours".