Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a appelé hier "à la résistance face aux soubresauts de la crise financière actuelle" et méditer "sur les sacrifices de nos aïeux afin de sortir, encore une fois, triomphants de notre situation financière difficile". Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a appelé hier "à la résistance face aux soubresauts de la crise financière actuelle" et méditer "sur les sacrifices de nos aïeux afin de sortir, encore une fois, triomphants de notre situation financière difficile". Dans un message à l'occasion du double anniversaire du 24 février, marquant la création de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) en 1956 et la nationalisation des hydrocarbures en 1971, lu en son nom par le conseiller à la présidence de la République, Mohamed Ali Boughazi, à Djelfa, lieu des festivités, le Président de la République a lancé un appel à à la « résistance » pour « triompher » de la situation financière « difficile ». « Si je m'arrête avec vous à travers ce message, sur les stations de gloire et d'édification et les situations de crise et d'épreuve qui ont été suivies d'un départ nouveau et fort sur la voie de la construction et de la prospérité, c'est en fait, pour vous faire parvenir un appel d'espoir en les potentialités de l'Algérie. Un appel à la résistance face aux soubresauts de la crise financière actuelle, un appel à la méditation sur les sacrifices de nos aïeux afin de sortir, encore une fois, triomphants de notre situation financière difficile », a affirmé Bouteflika après avoir évoqué les moments de gloire du pays mais aussi les épreuves et les multiples réalisations. « Vous êtes, frères et soeurs travailleurs, conscients que notre pays subit aujourd'hui les retombées d'une crise économique qui secoue les pays avancés accompagnée d'un recul des cours du pétrole et des fluctuations de son marché mondial. Et ce, malgré les initiatives de notre pays qui ont permis récemment d'apporter une légère amélioration des prix des hydrocarbures. Et si les causes des difficultés financières actuelles de notre Etat étaient exogènes, elles ne sont pas sans impact sur la cadence du développement », a-t-il admis en qualifiant de « clairvoyantes » les mesures qui ont permis, selon lui, de contenir « l'impact » de cette crise. « Accepter les réformes » « L'Etat se doit de poursuivre et d'accélérer l'exécution de nos programmes nationaux de réformes initiés dans les différents secteurs économiques et administratifs », a-t-il insisté par ailleurs en invitant les travailleurs à « accepter les réformes » pour faire évoluer l'économie nationale et attirer l'investissement étranger et de ne pas écouter ceux qui prêchent les discours pessimistes, selon lui. « Nous devons faire évoluer notre vision du capitalisme national intègre et du partenariat étranger équitable en tant que partenaires stratégiques des travailleurs pour le développement économique, et partant accepter plus aisément les réformes nécessaires pour l'amélioration des conditions l'investissement dans notre pays », a-t-il affirmé. « Du fait de ce saut qualitatif, il nous incombe aujourd'hui de garantir l'avenir de notre économie et le développement de notre pays et de ne pas prêter attention aux thèses dogmatiques et discours pessimistes. Un saut qui, je le rappelle encore, implique que nous méditions les positions de notre peuple et ses combats menés par le passé pour la liberté d'abord et le développement ensuite afin de nous en inspirer ». Dans un message à l'occasion du double anniversaire du 24 février, marquant la création de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) en 1956 et la nationalisation des hydrocarbures en 1971, lu en son nom par le conseiller à la présidence de la République, Mohamed Ali Boughazi, à Djelfa, lieu des festivités, le Président de la République a lancé un appel à à la « résistance » pour « triompher » de la situation financière « difficile ». « Si je m'arrête avec vous à travers ce message, sur les stations de gloire et d'édification et les situations de crise et d'épreuve qui ont été suivies d'un départ nouveau et fort sur la voie de la construction et de la prospérité, c'est en fait, pour vous faire parvenir un appel d'espoir en les potentialités de l'Algérie. Un appel à la résistance face aux soubresauts de la crise financière actuelle, un appel à la méditation sur les sacrifices de nos aïeux afin de sortir, encore une fois, triomphants de notre situation financière difficile », a affirmé Bouteflika après avoir évoqué les moments de gloire du pays mais aussi les épreuves et les multiples réalisations. « Vous êtes, frères et soeurs travailleurs, conscients que notre pays subit aujourd'hui les retombées d'une crise économique qui secoue les pays avancés accompagnée d'un recul des cours du pétrole et des fluctuations de son marché mondial. Et ce, malgré les initiatives de notre pays qui ont permis récemment d'apporter une légère amélioration des prix des hydrocarbures. Et si les causes des difficultés financières actuelles de notre Etat étaient exogènes, elles ne sont pas sans impact sur la cadence du développement », a-t-il admis en qualifiant de « clairvoyantes » les mesures qui ont permis, selon lui, de contenir « l'impact » de cette crise. « Accepter les réformes » « L'Etat se doit de poursuivre et d'accélérer l'exécution de nos programmes nationaux de réformes initiés dans les différents secteurs économiques et administratifs », a-t-il insisté par ailleurs en invitant les travailleurs à « accepter les réformes » pour faire évoluer l'économie nationale et attirer l'investissement étranger et de ne pas écouter ceux qui prêchent les discours pessimistes, selon lui. « Nous devons faire évoluer notre vision du capitalisme national intègre et du partenariat étranger équitable en tant que partenaires stratégiques des travailleurs pour le développement économique, et partant accepter plus aisément les réformes nécessaires pour l'amélioration des conditions l'investissement dans notre pays », a-t-il affirmé. « Du fait de ce saut qualitatif, il nous incombe aujourd'hui de garantir l'avenir de notre économie et le développement de notre pays et de ne pas prêter attention aux thèses dogmatiques et discours pessimistes. Un saut qui, je le rappelle encore, implique que nous méditions les positions de notre peuple et ses combats menés par le passé pour la liberté d'abord et le développement ensuite afin de nous en inspirer ».