Plusieurs milliers de travailleurs ont pris part, hier à Tizi-Ouzou, à la marche nationale de la Coordination des syndicats autonomes. Selon les initiateurs de la marche, 14 syndicats dont le Cnapest, l'UNPEF, le SNTE, le Satef et le Snapap ont participé à cette action de protestation qui s'est ébranlée de la placette de l'ex-mairie du centre-ville de Tizi-Ouzou pour se diriger vers le siège de la wilaya. Plusieurs milliers de travailleurs ont pris part, hier à Tizi-Ouzou, à la marche nationale de la Coordination des syndicats autonomes. Selon les initiateurs de la marche, 14 syndicats dont le Cnapest, l'UNPEF, le SNTE, le Satef et le Snapap ont participé à cette action de protestation qui s'est ébranlée de la placette de l'ex-mairie du centre-ville de Tizi-Ouzou pour se diriger vers le siège de la wilaya. Ils étaient environ 6.000 travailleurs à répondre à l'appel de la Coordination des syndicats autonomes qui a mis en avant trois principaux mots d'ordre, à savoir le retrait de la loi sur la retraite, l'annulation de la réforme de la loi sur le travail et la dénonciation de la dégradation du pouvoir d'achat du citoyen algérien en général et des travailleurs de la Fonction publique en particulier. À travers son action, la Coordination des syndicats autonomes veut également, selon ses représentants, démontrer que "l'UGTA n'est pas représentative de tous les travailleurs algériens et qu'il y a lieu donc d'associer leurs syndicats au dialogue social et aux dossiers traitant de la situation des travailleurs". "Pour une justice sociale", "Oui à l'annulation de la loi sur la retraite", "Oui à l'annulation de la loi sur le travail", "Austérité pour le peuple et gaspillage pour les députés", lit-on sur les pancartes et banderoles déployées tout au long de cette marche. À son arrivée devant le siège de la wilaya, la foule a observé un rassemblement. Sur place, les représentants syndicaux ont qualifié la nouvelle loi sur le travail d'une "loi d'esclavagisme, une loi de la honte, und loi qui n'a d'autre objectif que d'affamer le peuple algérien". Des représentants de certains syndicats ont dénoncé les tentatives d'intimidation des manifestants dont un nombre important, venu des wilayas de l'intérieur du pays, a été empêché de participer à la marche, qui a reçu le soutien du FFS et du RCD. Ils étaient environ 6.000 travailleurs à répondre à l'appel de la Coordination des syndicats autonomes qui a mis en avant trois principaux mots d'ordre, à savoir le retrait de la loi sur la retraite, l'annulation de la réforme de la loi sur le travail et la dénonciation de la dégradation du pouvoir d'achat du citoyen algérien en général et des travailleurs de la Fonction publique en particulier. À travers son action, la Coordination des syndicats autonomes veut également, selon ses représentants, démontrer que "l'UGTA n'est pas représentative de tous les travailleurs algériens et qu'il y a lieu donc d'associer leurs syndicats au dialogue social et aux dossiers traitant de la situation des travailleurs". "Pour une justice sociale", "Oui à l'annulation de la loi sur la retraite", "Oui à l'annulation de la loi sur le travail", "Austérité pour le peuple et gaspillage pour les députés", lit-on sur les pancartes et banderoles déployées tout au long de cette marche. À son arrivée devant le siège de la wilaya, la foule a observé un rassemblement. Sur place, les représentants syndicaux ont qualifié la nouvelle loi sur le travail d'une "loi d'esclavagisme, une loi de la honte, und loi qui n'a d'autre objectif que d'affamer le peuple algérien". Des représentants de certains syndicats ont dénoncé les tentatives d'intimidation des manifestants dont un nombre important, venu des wilayas de l'intérieur du pays, a été empêché de participer à la marche, qui a reçu le soutien du FFS et du RCD.