Le ministère de l'Education nationale compte fermer les "écoles coraniques" dès l'année prochaine. La raison invoquée est l'impossibilité de vérifier les programmes qui y sont dispensés ainsi que le niveau de qualification des enseignants. Le ministère de l'Education nationale compte fermer les "écoles coraniques" dès l'année prochaine. La raison invoquée est l'impossibilité de vérifier les programmes qui y sont dispensés ainsi que le niveau de qualification des enseignants. Selon plusieurs sources, le département de Noria Benghebrit a adressé récemment aux différentes directions de l'Education des 48 wilayas un courrier dans lequel elle leur demande d'effectuer, en collaboration avec les directions des Affaires religieuses et des Wakfs, un recensement des enfants de 4 et 5 ans inscrits au niveau des "classes" au niveau des différentes mosquées. L'objectif est de les réaffecter vers l'école publique (préscolaire). Des postes budgétaires seront dégagés pour couvrir la demande, indique-t-on de même source. Le ministère a décidé, il y a plus d'une année, de généraliser les classes préscolaires. L'existence de ces "écoles" au niveau des mosquées poserait problème vis à vis des lois algériennes qui fixent un programme scolaire unifié pour tous. Si certaines familles y envoient leurs enfants par conviction, d'autres sont contraintes de le faire, vu l'absence de classes préscolaires au niveau des écoles primaires publiques. Il faut dire que ces "écoles coraniques" sont peu contrôlées, notamment pour ce qui est des qualifications des enseignants. Selon plusieurs sources, le département de Noria Benghebrit a adressé récemment aux différentes directions de l'Education des 48 wilayas un courrier dans lequel elle leur demande d'effectuer, en collaboration avec les directions des Affaires religieuses et des Wakfs, un recensement des enfants de 4 et 5 ans inscrits au niveau des "classes" au niveau des différentes mosquées. L'objectif est de les réaffecter vers l'école publique (préscolaire). Des postes budgétaires seront dégagés pour couvrir la demande, indique-t-on de même source. Le ministère a décidé, il y a plus d'une année, de généraliser les classes préscolaires. L'existence de ces "écoles" au niveau des mosquées poserait problème vis à vis des lois algériennes qui fixent un programme scolaire unifié pour tous. Si certaines familles y envoient leurs enfants par conviction, d'autres sont contraintes de le faire, vu l'absence de classes préscolaires au niveau des écoles primaires publiques. Il faut dire que ces "écoles coraniques" sont peu contrôlées, notamment pour ce qui est des qualifications des enseignants.