"Les mosquées ne doivent pas être impliquées dans la campagne électorale aux législatives du 4 mai 2017". C'est ce qu'a indiqué Mohamed Aissa, ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, après avoir enjoint, à toutes les directions des affaires du culte sur tout le territoire national, l'application stricte de cette directive. "Les mosquées ne doivent pas être impliquées dans la campagne électorale aux législatives du 4 mai 2017". C'est ce qu'a indiqué Mohamed Aissa, ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, après avoir enjoint, à toutes les directions des affaires du culte sur tout le territoire national, l'application stricte de cette directive. Le ministre des Affaires religieuses qui s'exprimait, avant-hier en marge d'une séance du Conseil de la Nation, dédiée aux questions orales, a insisté sur l'interdiction faite aux imams et autres enseignants du Coran de faire usage des tribunes des mosquées pour s'impliquer en faveur de tel ou tel candidat. Mohamed Aïssa a tenu à souligner que les lieux de culte devaient rester neutres, exhortant les imams "à respecter les lois de la République et les règles éthiques et à observer la totale neutralité vis à vis de la campagne électorale pour les élections législatives prévues en mai prochain". a-t-il souligné. Par ailleurs,le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aissa a expliqué que l'interdiction des activités de la secte d'Al Ahmadiya en Algérie était basée sur une "fatwa décrétée par le Haut Conseil islamique (HCI) dans les années 70. Les Conseils scientifiques "ont décidé de se référer à la fatwa décrétée dans les années 70 par le HCI et le défunt cheikh Ahmed Hamani, qualifiant cette secte de groupe égaré et en dehors de l'Islam", a indiqué Mohamed Aissa dans une déclaration, en marge de la séance des questions orales du Conseil de la Nation. "L'Algérie rejoint les pays du monde arabo-musulman et Al-Azhar, considérant ces individus comme n'appartenant pas à l'Islam, ni aux doctrines islamiques et même de profanes", a-t-il dit. "L'Algérie qui croit profondément à la liberté du culte et à la libre pratique des rites pour les religions monothéistes, consacrés par la loi algérienne, appelle les personnes non musulmanes à soumettre une demande au ministère des Affaires religieuses pour les autoriser à exercer leur rites religieux, mais si ces personnes sont musulmanes, les ulémas se sont déjà prononcés à ce sujet", a-t-il estimé. Ce groupe oeuvrait à "former une organisation propre pour se renforcer et revendiquer la protection internationale, mais les services de sécurité les ont démasqués et ont empêché leurs activités", a-t-il précisé. Le ministre des Affaires religieuses qui s'exprimait, avant-hier en marge d'une séance du Conseil de la Nation, dédiée aux questions orales, a insisté sur l'interdiction faite aux imams et autres enseignants du Coran de faire usage des tribunes des mosquées pour s'impliquer en faveur de tel ou tel candidat. Mohamed Aïssa a tenu à souligner que les lieux de culte devaient rester neutres, exhortant les imams "à respecter les lois de la République et les règles éthiques et à observer la totale neutralité vis à vis de la campagne électorale pour les élections législatives prévues en mai prochain". a-t-il souligné. Par ailleurs,le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aissa a expliqué que l'interdiction des activités de la secte d'Al Ahmadiya en Algérie était basée sur une "fatwa décrétée par le Haut Conseil islamique (HCI) dans les années 70. Les Conseils scientifiques "ont décidé de se référer à la fatwa décrétée dans les années 70 par le HCI et le défunt cheikh Ahmed Hamani, qualifiant cette secte de groupe égaré et en dehors de l'Islam", a indiqué Mohamed Aissa dans une déclaration, en marge de la séance des questions orales du Conseil de la Nation. "L'Algérie rejoint les pays du monde arabo-musulman et Al-Azhar, considérant ces individus comme n'appartenant pas à l'Islam, ni aux doctrines islamiques et même de profanes", a-t-il dit. "L'Algérie qui croit profondément à la liberté du culte et à la libre pratique des rites pour les religions monothéistes, consacrés par la loi algérienne, appelle les personnes non musulmanes à soumettre une demande au ministère des Affaires religieuses pour les autoriser à exercer leur rites religieux, mais si ces personnes sont musulmanes, les ulémas se sont déjà prononcés à ce sujet", a-t-il estimé. Ce groupe oeuvrait à "former une organisation propre pour se renforcer et revendiquer la protection internationale, mais les services de sécurité les ont démasqués et ont empêché leurs activités", a-t-il précisé.