Quatre élèves d'un CEM de Bab-Ezzouar ont vu, hier, leur état de santé se dégrader tout de suite après avoir été vaccinés contre la rougeole et la rubéole. Ils ont été transférés en urgence vers une clinique. Quatre élèves d'un CEM de Bab-Ezzouar ont vu, hier, leur état de santé se dégrader tout de suite après avoir été vaccinés contre la rougeole et la rubéole. Ils ont été transférés en urgence vers une clinique. L'état "de santé de ces élèves demeure préoccupant", a indiqué une chaîne de télévision privée. Le correspondant de la chaîne à également souligné que l'accès aux chambres des patients a été interdit par les médecins et les agents de sécurité. Rappelons qu'une vive polémique a précédé la campagne de vaccination contre la rougeole et la rubéole. Pour cause, une décharge exigée par des directeurs d'établissements et dans laquelle les parents d'élèves s'engageaient à vacciner leurs enfants. L'Association nationale des parents d'élèves avait d'ailleurs dénoncé une procédure inhabituelle et "suspecte". Au même moment le directeur de la santé de la wilaya d'Alger, Mohamed Miraoui, a donné hier en toute confiance le coup d'envoi de cette campagne qui touchera deux niveaux des établissements éducatifs (cycles primaire et moyen) au profit des enfants âgés de 6 à 15 ans. "Cette campagne qui se poursuivra jusqu'au 15 mars permettra d'administrer le vaccin aux enfants issus des cycles primaire et moyen contre la rougeole et la rubéole et à interrompre le risque de transmission de ces deux maladies" a déclaré, M. Miraoui. Il a indiqué que des équipes médicales seront mobilisées au niveau de tous les établissements éducatifs concernés par l'opération, ajoutant que l'élève est tenu de rapporter son livret de santé avant l'opération de vaccination pour permettre aux médecins de connaître son état de santé. Plus de 600.000 élèves des cycles primaire et moyen de la wilaya d'Alger vont bénéficier de ces vaccins, a indiqué pour sa part Mme Lachab, chargée de la santé scolaire au niveau de la même direction. Le ministère de la Santé réagit Le ministère de la Santé a réagi hier à la polémique relative au lancement de la campagne de vaccination contre la rougeole et la rubéole. Le ministère de la Santé a, à cet effet, réagi en rassurant que "les symptômes apparus après l'administration du vaccin sont ordinaires" et ne constituent aucun danger. Par ailleurs, le ministère annonce l'ouverture d'une enquête pour identifier les personnes ayant soumis des fiches, donnant le choix aux parents de faire vacciner ou pas leurs enfants. "La vaccination contre la rougeole et la rubéole est importante pour la santé des élèves", justifie le ministère. Pour rappel, le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, avait annoncé mercredi passé, soit six jours seulement, dans un communiqué le lancement de cette campagne nationale de vaccination sans pour autant juger nécessaire d'informer l'opinion publique quant au rôle de ce vaccin, ni les effets secondaires que cela peut engendrer. Le ministère a seulement argumenté que cette campagne coïncidera avec la fin des examens du second trimestre et précédera le départ en vacances de printemps, de sorte à "en permettre le bon déroulement et à ne perturber en rien la scolarité des élèves", est-il précisé de même source. Elle concernera les enfants issus des cycles primaire et moyen fréquentant les établissements publics et privés, soit près de 7 millions d'élèves, et ce, "quel que soit leur statut vaccinal antérieur". Il s'agit du vaccin R-R préqualifié par l'OMS et des équipements nécessaires "en quantité suffisante" et enfin, l'organisation d'actions "de proximité d'information et de sensibilisation" des parents sur l'intérêt de cette campagne. Le ministère de la Santé a précisé que la campagne sera engagée "conformément aux recommandations de l'OMS et à l'avis du comité technique des experts de la vaccination". L'état "de santé de ces élèves demeure préoccupant", a indiqué une chaîne de télévision privée. Le correspondant de la chaîne à également souligné que l'accès aux chambres des patients a été interdit par les médecins et les agents de sécurité. Rappelons qu'une vive polémique a précédé la campagne de vaccination contre la rougeole et la rubéole. Pour cause, une décharge exigée par des directeurs d'établissements et dans laquelle les parents d'élèves s'engageaient à vacciner leurs enfants. L'Association nationale des parents d'élèves avait d'ailleurs dénoncé une procédure inhabituelle et "suspecte". Au même moment le directeur de la santé de la wilaya d'Alger, Mohamed Miraoui, a donné hier en toute confiance le coup d'envoi de cette campagne qui touchera deux niveaux des établissements éducatifs (cycles primaire et moyen) au profit des enfants âgés de 6 à 15 ans. "Cette campagne qui se poursuivra jusqu'au 15 mars permettra d'administrer le vaccin aux enfants issus des cycles primaire et moyen contre la rougeole et la rubéole et à interrompre le risque de transmission de ces deux maladies" a déclaré, M. Miraoui. Il a indiqué que des équipes médicales seront mobilisées au niveau de tous les établissements éducatifs concernés par l'opération, ajoutant que l'élève est tenu de rapporter son livret de santé avant l'opération de vaccination pour permettre aux médecins de connaître son état de santé. Plus de 600.000 élèves des cycles primaire et moyen de la wilaya d'Alger vont bénéficier de ces vaccins, a indiqué pour sa part Mme Lachab, chargée de la santé scolaire au niveau de la même direction. Le ministère de la Santé réagit Le ministère de la Santé a réagi hier à la polémique relative au lancement de la campagne de vaccination contre la rougeole et la rubéole. Le ministère de la Santé a, à cet effet, réagi en rassurant que "les symptômes apparus après l'administration du vaccin sont ordinaires" et ne constituent aucun danger. Par ailleurs, le ministère annonce l'ouverture d'une enquête pour identifier les personnes ayant soumis des fiches, donnant le choix aux parents de faire vacciner ou pas leurs enfants. "La vaccination contre la rougeole et la rubéole est importante pour la santé des élèves", justifie le ministère. Pour rappel, le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, avait annoncé mercredi passé, soit six jours seulement, dans un communiqué le lancement de cette campagne nationale de vaccination sans pour autant juger nécessaire d'informer l'opinion publique quant au rôle de ce vaccin, ni les effets secondaires que cela peut engendrer. Le ministère a seulement argumenté que cette campagne coïncidera avec la fin des examens du second trimestre et précédera le départ en vacances de printemps, de sorte à "en permettre le bon déroulement et à ne perturber en rien la scolarité des élèves", est-il précisé de même source. Elle concernera les enfants issus des cycles primaire et moyen fréquentant les établissements publics et privés, soit près de 7 millions d'élèves, et ce, "quel que soit leur statut vaccinal antérieur". Il s'agit du vaccin R-R préqualifié par l'OMS et des équipements nécessaires "en quantité suffisante" et enfin, l'organisation d'actions "de proximité d'information et de sensibilisation" des parents sur l'intérêt de cette campagne. Le ministère de la Santé a précisé que la campagne sera engagée "conformément aux recommandations de l'OMS et à l'avis du comité technique des experts de la vaccination".