A partir de demain dimanche, les banques vont basculer vers un système d'information numérisé leur permettant de réaliser leurs transactions dans des délais moindres, a annoncé, avant hier le P.-dg de la Banque de développement local (BDL), Mohamed Krim. A partir de demain dimanche, les banques vont basculer vers un système d'information numérisé leur permettant de réaliser leurs transactions dans des délais moindres, a annoncé, avant hier le P.-dg de la Banque de développement local (BDL), Mohamed Krim. Invité de la rédaction de la radio chaîne 3, M. Krim a précisé que ce système permettra aux établissements financiers de réaliser "des opérations de commerce extérieur en 24 heures et de satisfaire les demandes de crédits d'investissement en 15 ou 21 jours". Le défi à relever aujourd'hui, selon le premier responsable de la BDL, est de transformer l'économie nationale en uneéconomie productive et compétitive. "Nous sommes convaincu que ce n'est que par la croissance de la productivité que notre économie sera compétitive", a-t-il déclaré en affirmant que les banques ne se contentent pas de simples missions, mais visent à devenir des acteurs incontournables pour le succès du nouveau model de croissance. "Il faut, insiste-t-il, que les banques soient en parfaite adéquation avec la politique du gouvernement". Mohamed Krim considère que les banques sont, aujourd'hui, moins "frileuses" et autrement plus offensives en marquant leur présence par un accompagnement des entreprises plus efficace. "Crédit islamique" ou "crédit participatif" ? Interrogé sur le lancement du crédit "hallal", l'invité de la Chaîne 3 a indiqué que ce produit permettra à des citoyens de réaliser des transactions à l'aide de l'apport bancaire. Cependant, Krim a refusé de nommer ce produit "hallal" ou "islamique". Selon lui, il s'agit, plutôt, de "crédit participatif", c'est un "instrument bancaire qui peut être mis à la disposition de la clientèle et qui a une autre forme", précise le P.-dg de la BDL. Invité de la rédaction de la radio chaîne 3, M. Krim a précisé que ce système permettra aux établissements financiers de réaliser "des opérations de commerce extérieur en 24 heures et de satisfaire les demandes de crédits d'investissement en 15 ou 21 jours". Le défi à relever aujourd'hui, selon le premier responsable de la BDL, est de transformer l'économie nationale en uneéconomie productive et compétitive. "Nous sommes convaincu que ce n'est que par la croissance de la productivité que notre économie sera compétitive", a-t-il déclaré en affirmant que les banques ne se contentent pas de simples missions, mais visent à devenir des acteurs incontournables pour le succès du nouveau model de croissance. "Il faut, insiste-t-il, que les banques soient en parfaite adéquation avec la politique du gouvernement". Mohamed Krim considère que les banques sont, aujourd'hui, moins "frileuses" et autrement plus offensives en marquant leur présence par un accompagnement des entreprises plus efficace. "Crédit islamique" ou "crédit participatif" ? Interrogé sur le lancement du crédit "hallal", l'invité de la Chaîne 3 a indiqué que ce produit permettra à des citoyens de réaliser des transactions à l'aide de l'apport bancaire. Cependant, Krim a refusé de nommer ce produit "hallal" ou "islamique". Selon lui, il s'agit, plutôt, de "crédit participatif", c'est un "instrument bancaire qui peut être mis à la disposition de la clientèle et qui a une autre forme", précise le P.-dg de la BDL.