Maintenant que les noms des candidats aux élections législatives du 4 mai prochain sont connus d'aucun s'interrogent sur le nom du successeur de Mohamed Larbi Ould Khelifa. Maintenant que les noms des candidats aux élections législatives du 4 mai prochain sont connus d'aucun s'interrogent sur le nom du successeur de Mohamed Larbi Ould Khelifa. Qui sera le prochain président de l'Assemblée populaire nationale (APN) ? Une question d'autant plus pertinente et à juste titre d'ailleurs lorsque l'on sait que le nom du président sortant de l'APN ne figure sur aucune liste électorale du FLN, le parti auquel il appartient. En effet Ould Khelifa, qui a pourtant déposé en bonne et due forme sa candidature dans la kasma de Ben-Aknoun (Alger), a été débouté par la commission nationale électorale du vieux parti et son nom n'a pas été retenu comme candidat. Un véritable camouflet pour celui qui préside aux destinées de la chambre basse du Parlement depuis 2012. "Il ne m'a pas consulté avant de déposer sa candidature" dira le secrétaire général du parti, Djamal Ould Abbès, lorsqu'il a été interrogé sur ce précédent. En termes plus clairs Mohamed Larbi Ould Khelifa, qui est tout de même le troisième personnage de l'Etat, devait au préalable consulter la direction du parti, voire encore le président de la République qui assume aussi la charge de président du FLN, avant de déposer sa candidature en vue de succéder à sa propre personne à la tête de l'APN. Du coup, avec la chute de cette candidature, les spéculations vont bon train sur le nom de son successeur. Et contrairement aux fois précédentes où le tête de liste de la circonscription d'Alger était donné hyper favori pour présider l'APN cette fois-ci les observateurs sont loin d'être aussi catégoriques. Car Sid-Ahmed Feroukhi, ancien ministre de l'Agriculture et qui dirigera la liste du FLN a Alger, ne semble pas jouir de l'aura nécessaire pour occuper le poste de président de l'Assemblée. Cela outre le fait qu'il ne fait nullement l'unanimité au sein du FLN où on lui reproche de n'avoir jamais milité en son sein. On comprend dès lors pourquoi sa candidature a été une grosse surprise. Il est donc fort possible qu'il ne succédera pas à Oud Khelifa même s'il est tête de liste à Alger. Car depuis les élections législatives de 2002 celui qui a été tête de liste du FLN à Alger a toujours été intronisé à la tête de l'APN. C'était en effet le cas de Karim Younès en 2002, avant qu'il ne soit destitué de son poste au profit d'Amar Saadani suite au conflit opposant le président de la République à Ali Benflis. En 2007 c'est Abdelaziz Ziari qui a dirigé la liste FLN à Alger et qui a été élu président de l'APN alors qu'après les élections législatives de 2012 c'est Ould Khelifa qui a été choisi par les députés comme président de l'Assemblée. Il semble donc que l'on s'achemine vers la remise en cause de cette tradition. "Le futur président de l'APN ne sera pas forcément élu à Alger" dit-on au FLN. Mais alors qui sera le successeur de Mohamed Larbi Ould Khelifa ? Plusieurs noms sont avancés ça et là comme potentiels candidats au poste de président de l'APN. Certains observateurs avancent, ainsi, le nom de Tahar Hadjar, l'actuel ministre de l'Enseignement supérieur, qui est tête de liste FLN à Tiaret. Ce frère du tonitruant diplomate Abdelkader Hadjar semble jouir, dit-on, des faveurs de larges cercles au sein du parti. Un autre nom revient aussi avec insistance. Il s'agit de celui de Ghania Eddalia, l'actuelle ministre chargé des Relations avec le Parlement, qui occupe la tête de liste du FLN à Blida. Cela risque d'être une première si ce choix d'une femme est avalisé. Le nom de Hadj Laib est aussi retenu dans cette liste. Cet ancien député et ex-sénateur dirigera la liste du vieux parti à Batna. D'autres noms sont cités mais ne sont, bien sûr, que des spéculations pour le moment car le choix du président de l'APN dépend avant tout du président Bouteflika. Qui sera le prochain président de l'Assemblée populaire nationale (APN) ? Une question d'autant plus pertinente et à juste titre d'ailleurs lorsque l'on sait que le nom du président sortant de l'APN ne figure sur aucune liste électorale du FLN, le parti auquel il appartient. En effet Ould Khelifa, qui a pourtant déposé en bonne et due forme sa candidature dans la kasma de Ben-Aknoun (Alger), a été débouté par la commission nationale électorale du vieux parti et son nom n'a pas été retenu comme candidat. Un véritable camouflet pour celui qui préside aux destinées de la chambre basse du Parlement depuis 2012. "Il ne m'a pas consulté avant de déposer sa candidature" dira le secrétaire général du parti, Djamal Ould Abbès, lorsqu'il a été interrogé sur ce précédent. En termes plus clairs Mohamed Larbi Ould Khelifa, qui est tout de même le troisième personnage de l'Etat, devait au préalable consulter la direction du parti, voire encore le président de la République qui assume aussi la charge de président du FLN, avant de déposer sa candidature en vue de succéder à sa propre personne à la tête de l'APN. Du coup, avec la chute de cette candidature, les spéculations vont bon train sur le nom de son successeur. Et contrairement aux fois précédentes où le tête de liste de la circonscription d'Alger était donné hyper favori pour présider l'APN cette fois-ci les observateurs sont loin d'être aussi catégoriques. Car Sid-Ahmed Feroukhi, ancien ministre de l'Agriculture et qui dirigera la liste du FLN a Alger, ne semble pas jouir de l'aura nécessaire pour occuper le poste de président de l'Assemblée. Cela outre le fait qu'il ne fait nullement l'unanimité au sein du FLN où on lui reproche de n'avoir jamais milité en son sein. On comprend dès lors pourquoi sa candidature a été une grosse surprise. Il est donc fort possible qu'il ne succédera pas à Oud Khelifa même s'il est tête de liste à Alger. Car depuis les élections législatives de 2002 celui qui a été tête de liste du FLN à Alger a toujours été intronisé à la tête de l'APN. C'était en effet le cas de Karim Younès en 2002, avant qu'il ne soit destitué de son poste au profit d'Amar Saadani suite au conflit opposant le président de la République à Ali Benflis. En 2007 c'est Abdelaziz Ziari qui a dirigé la liste FLN à Alger et qui a été élu président de l'APN alors qu'après les élections législatives de 2012 c'est Ould Khelifa qui a été choisi par les députés comme président de l'Assemblée. Il semble donc que l'on s'achemine vers la remise en cause de cette tradition. "Le futur président de l'APN ne sera pas forcément élu à Alger" dit-on au FLN. Mais alors qui sera le successeur de Mohamed Larbi Ould Khelifa ? Plusieurs noms sont avancés ça et là comme potentiels candidats au poste de président de l'APN. Certains observateurs avancent, ainsi, le nom de Tahar Hadjar, l'actuel ministre de l'Enseignement supérieur, qui est tête de liste FLN à Tiaret. Ce frère du tonitruant diplomate Abdelkader Hadjar semble jouir, dit-on, des faveurs de larges cercles au sein du parti. Un autre nom revient aussi avec insistance. Il s'agit de celui de Ghania Eddalia, l'actuelle ministre chargé des Relations avec le Parlement, qui occupe la tête de liste du FLN à Blida. Cela risque d'être une première si ce choix d'une femme est avalisé. Le nom de Hadj Laib est aussi retenu dans cette liste. Cet ancien député et ex-sénateur dirigera la liste du vieux parti à Batna. D'autres noms sont cités mais ne sont, bien sûr, que des spéculations pour le moment car le choix du président de l'APN dépend avant tout du président Bouteflika.