En dépit des efforts consentis par le gouvernement en vue de lutter contre la spéculation notamment à travers l'implication du citoyen, le ministre du Commerce par intérim, Abdelmadjid Tebboune, a tout de même mis en évidence hier à Oran, la "faiblesse" des moyens pour contrer ce phénomène. En dépit des efforts consentis par le gouvernement en vue de lutter contre la spéculation notamment à travers l'implication du citoyen, le ministre du Commerce par intérim, Abdelmadjid Tebboune, a tout de même mis en évidence hier à Oran, la "faiblesse" des moyens pour contrer ce phénomène. "Nous luttons contre la spéculation avec les moyens, dont nous disposons", a indiqué le ministre, en marge de la visite de travail du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, à Oran. Ainsi, ce dernier a fait part du nombre insuffisant de contrôleurs qui est de 10.000 sur le plan national "alors les besoins sont estimés à 200.000 contrôleurs", a-t- il deploré. Le nombre de commerçants étant de 3.250.000 à l'échelle nationale, Teboune a estimé qu'il est "impossible de contrôler chacun d'eux", avec les effectifs dont dispose son secteur. "Nous luttons contre la spéculation avec les moyens, dont nous disposons", a indiqué le ministre, en marge de la visite de travail du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, à Oran. Ainsi, ce dernier a fait part du nombre insuffisant de contrôleurs qui est de 10.000 sur le plan national "alors les besoins sont estimés à 200.000 contrôleurs", a-t- il deploré. Le nombre de commerçants étant de 3.250.000 à l'échelle nationale, Teboune a estimé qu'il est "impossible de contrôler chacun d'eux", avec les effectifs dont dispose son secteur.