La campagne électorale a pris fin avant-hier à minuit. A pris également fin, du coup, la couverture médiatique de toute activité partisane. Cela en vertu de la loi qui impose un "silence électoral" pour permettre aux citoyens de voter en toute conscience. La campagne électorale a pris fin avant-hier à minuit. A pris également fin, du coup, la couverture médiatique de toute activité partisane. Cela en vertu de la loi qui impose un "silence électoral" pour permettre aux citoyens de voter en toute conscience. L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (Arav) a rappelé, avant-hier dans un communiqué ceci : "A trois jours du vote, l'Arav rappelle qu'il est interdit à toutes les chaînes de télévision et de radio, aussi bien publiques que privées, de continuer à couvrir la campagne électorale sous quelque forme que ce soit, conformément aux articles 173, 174 et 181 de la loi organique numéro 16-10 du 25 août 2016, relative au régime électoral". L'arbitre de l'audiovisuel algérien invite par conséquent tous les responsables des médias audiovisuels à "bannir, durant ces trois jours de silence, toute forme de propagande ou de couverture politique, toute diffusion d'émission directe, toute opération de sondage et toute publication de résultat avant la fermeture du dernier bureau de vote." Quid des conférences de presse que de nombreux partis politiques comptaient animer pour faire leur évaluation de la campagne éléctorale ? Seront-elles maintenues ? Mais quel intérêt sans couvertures médiatiques ? Par ailleurs, l'Arav, qui n'aura pas eu à intervenir tout au long de cette campagne a jugé que cette dernière s'est déroulée dans "le respect des lois de la République, ainsi que des recommandations formulées dans ses communiqués", relevant que "l'équité, la neutralité ont prévalu dans le contenu des programmes qui ont été diffusés depuis le début de la campagne à ce jour et ce, au nom du pluralisme des courants de pensée et d'opinion." Tout en se félicitant du "climat de compétition électorale entre des candidats soucieux du respect de la dignité des personnes et de leurs libertés, ainsi que des principes de diversité et d'expression plurielle". L'Arav affirme que c'est "dans cet objectif qu'elle oeuvre avec l'ensemble de ses partenaires à assurer la continuité de ce processus et sa consolidation jusqu'à son aboutissement final". L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (Arav) a rappelé, avant-hier dans un communiqué ceci : "A trois jours du vote, l'Arav rappelle qu'il est interdit à toutes les chaînes de télévision et de radio, aussi bien publiques que privées, de continuer à couvrir la campagne électorale sous quelque forme que ce soit, conformément aux articles 173, 174 et 181 de la loi organique numéro 16-10 du 25 août 2016, relative au régime électoral". L'arbitre de l'audiovisuel algérien invite par conséquent tous les responsables des médias audiovisuels à "bannir, durant ces trois jours de silence, toute forme de propagande ou de couverture politique, toute diffusion d'émission directe, toute opération de sondage et toute publication de résultat avant la fermeture du dernier bureau de vote." Quid des conférences de presse que de nombreux partis politiques comptaient animer pour faire leur évaluation de la campagne éléctorale ? Seront-elles maintenues ? Mais quel intérêt sans couvertures médiatiques ? Par ailleurs, l'Arav, qui n'aura pas eu à intervenir tout au long de cette campagne a jugé que cette dernière s'est déroulée dans "le respect des lois de la République, ainsi que des recommandations formulées dans ses communiqués", relevant que "l'équité, la neutralité ont prévalu dans le contenu des programmes qui ont été diffusés depuis le début de la campagne à ce jour et ce, au nom du pluralisme des courants de pensée et d'opinion." Tout en se félicitant du "climat de compétition électorale entre des candidats soucieux du respect de la dignité des personnes et de leurs libertés, ainsi que des principes de diversité et d'expression plurielle". L'Arav affirme que c'est "dans cet objectif qu'elle oeuvre avec l'ensemble de ses partenaires à assurer la continuité de ce processus et sa consolidation jusqu'à son aboutissement final".