Une caravane nationale de sensibilisation et de prévention contre l'intoxication corpionique sera lancée samedi à travers plusieurs wilayas du pays, a indiqué avant-hier le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Une caravane nationale de sensibilisation et de prévention contre l'intoxication corpionique sera lancée samedi à travers plusieurs wilayas du pays, a indiqué avant-hier le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Le coup d'envoi de cette caravane sera donné à partir de l'Institut pasteur de Dely Ibrahim (Alger) et sillonnera les wilayas de Djelfa, Laghouat, Ghardaïa, Médéa et Tiaret jusqu'au 19 mai 2017, précise la même source. Cette caravane, organisée par le ministère de la Santé en collaboration avec l'Institut Pasteur d'Algérie, a pour objectif la prévention contre l'envenimation scorpionique à travers des actions de sensibilisation, de communication et d'éducation, at- on expliqué, ajoutant que ces actions cibleront particulièrement les écoliers, les nomades et les populations à risque dans les Hauts-Plateaux et le sud du pays. Il s'agit également de se rapprocher des populations des zones les plus touchées par l'envenimation scorpionique pour les sensibiliser sur l'intérêt du ramassage de scorpions et les mesures préventives à prendre, à travers une interaction directe avec ces populations exposées. La caravane se dirigera vers la wilaya de Djelfa en passant par les localités du sud de Médéa et de Tiaret. Elle poursuivra son itinéraire vers la wilaya de Laghouat durant la journée du 16 mai puis vers Ghardaïa les 17 et 18 mai. Une première sortie de cette caravane s'est déroulée du 22 au 28 avril dernier au niveau des wilayas de Biskra, M'sila et Batna. Les piqûres de scorpions constituent un problème de santé publique en Algérie, du fait de leur morbidité et malgré les efforts consentis, elles demeurent à des niveaux "relativement élevés", note le ministère de la Santé, rappelant qu'en 2016, il a été enregistré 43.150 piqûres ayant fait 47 morts, contre 46.762 en 2015 ayant causé le décès de 38 personnes. "La prise en charge de cette problématique relève d'une démarche multisectorielle soutenue et d'actions en matière de prévention d'une part et d'amélioration de la qualité de la prise en charge des cas d'envenimation scorpionique d'autre part", explique la même source. Le coup d'envoi de cette caravane sera donné à partir de l'Institut pasteur de Dely Ibrahim (Alger) et sillonnera les wilayas de Djelfa, Laghouat, Ghardaïa, Médéa et Tiaret jusqu'au 19 mai 2017, précise la même source. Cette caravane, organisée par le ministère de la Santé en collaboration avec l'Institut Pasteur d'Algérie, a pour objectif la prévention contre l'envenimation scorpionique à travers des actions de sensibilisation, de communication et d'éducation, at- on expliqué, ajoutant que ces actions cibleront particulièrement les écoliers, les nomades et les populations à risque dans les Hauts-Plateaux et le sud du pays. Il s'agit également de se rapprocher des populations des zones les plus touchées par l'envenimation scorpionique pour les sensibiliser sur l'intérêt du ramassage de scorpions et les mesures préventives à prendre, à travers une interaction directe avec ces populations exposées. La caravane se dirigera vers la wilaya de Djelfa en passant par les localités du sud de Médéa et de Tiaret. Elle poursuivra son itinéraire vers la wilaya de Laghouat durant la journée du 16 mai puis vers Ghardaïa les 17 et 18 mai. Une première sortie de cette caravane s'est déroulée du 22 au 28 avril dernier au niveau des wilayas de Biskra, M'sila et Batna. Les piqûres de scorpions constituent un problème de santé publique en Algérie, du fait de leur morbidité et malgré les efforts consentis, elles demeurent à des niveaux "relativement élevés", note le ministère de la Santé, rappelant qu'en 2016, il a été enregistré 43.150 piqûres ayant fait 47 morts, contre 46.762 en 2015 ayant causé le décès de 38 personnes. "La prise en charge de cette problématique relève d'une démarche multisectorielle soutenue et d'actions en matière de prévention d'une part et d'amélioration de la qualité de la prise en charge des cas d'envenimation scorpionique d'autre part", explique la même source.