La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a affirmé hier que les allégations d'un propriétaire d'un bus de transport urbain à Barika (Batna), que véhicule une vidéo circulant sur Facebook, selon lesquelles il aurait été agressé par des éléments de la police "sont dénuées de tout fondement", soulignant que les mis en cause avaient été déférés à la Justice pour outrage à agents de la force publique en service. La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a affirmé hier que les allégations d'un propriétaire d'un bus de transport urbain à Barika (Batna), que véhicule une vidéo circulant sur Facebook, selon lesquelles il aurait été agressé par des éléments de la police "sont dénuées de tout fondement", soulignant que les mis en cause avaient été déférés à la Justice pour outrage à agents de la force publique en service. "Après avoir commis une infraction au code de la route, le propriétaire du bus a refusé d'obtempérer à l'agent de police", indique la DGSN dans un communiqué. "Une fois arrêté, le mis en cause, aidé de son acolyte, à commencé à crier et à proférer des insultes et des menaces à l'égard les agents de l'ordre public, les accusant de l'agresser physiquement", ajoute la même source. L'enquête a démontré que les deux mis en cause n'avaient pas été agressés par les éléments de police, comme ils l'avaient prétendu. "Après constitution d'un dossier pénal, les deux mis en cause ont été transférés devant les autorités judiciaires territorialement compétentes, lesquelles ont émis un mandat de dépôt à leur encontre pour outrage à agents de la force publique en service". La DGSN appelle les citoyens et les usagers des réseaux sociaux à "ne pas se laisser entrainer par de telles allégations tendancieuses qui visent à semer l'anarchie et à porter atteinte à l'ordre public, sans en vérifier la véracité". "Après avoir commis une infraction au code de la route, le propriétaire du bus a refusé d'obtempérer à l'agent de police", indique la DGSN dans un communiqué. "Une fois arrêté, le mis en cause, aidé de son acolyte, à commencé à crier et à proférer des insultes et des menaces à l'égard les agents de l'ordre public, les accusant de l'agresser physiquement", ajoute la même source. L'enquête a démontré que les deux mis en cause n'avaient pas été agressés par les éléments de police, comme ils l'avaient prétendu. "Après constitution d'un dossier pénal, les deux mis en cause ont été transférés devant les autorités judiciaires territorialement compétentes, lesquelles ont émis un mandat de dépôt à leur encontre pour outrage à agents de la force publique en service". La DGSN appelle les citoyens et les usagers des réseaux sociaux à "ne pas se laisser entrainer par de telles allégations tendancieuses qui visent à semer l'anarchie et à porter atteinte à l'ordre public, sans en vérifier la véracité".