L'opération de retrait des convocations pour l'examen de la session spéciale de l'examen du baccalauréat qui aura lieu entre le 13 et le 17 juillet prochain débutera à partir de demain 4 juillet, a annoncé l'inspecteur général au ministère de l'Education nationale, Nedjadi Messeguem sur le plateau d'une chaîne de télévision privée. L'opération de retrait des convocations pour l'examen de la session spéciale de l'examen du baccalauréat qui aura lieu entre le 13 et le 17 juillet prochain débutera à partir de demain 4 juillet, a annoncé l'inspecteur général au ministère de l'Education nationale, Nedjadi Messeguem sur le plateau d'une chaîne de télévision privée. Pour cette année encore, le retrait des convocations se fera par le biais du Net. Les candidats à cet examen devront donc accéder au site Internet de l'Office national des examens et des concours (Onec) : (http://bac.onec.dz) et retirer le document en question. L'invité de cette chaîne de télévision, le représentant du ministère de l'Education nationale a précisé que l'on parle du baccalauréat 2017 et non d'une session principale ou d'une session spéciale quand il s'agit des résultats. A propos de ce point précis, le même interlocuteur, a déclaré que les résultats des deux sessions de l'examen du baccalauréat seront dévoilés avant la fin de juillet courant. Entre-temps le ministère se chargera d'une mission particulière, à savoir veiller à réunir tous les moyens, tant humains, matériels que sécuritaires pour assurer le bon déroulement de l'examen. Une mission qu'il semble prendre à coeur au vu de ce qu'elle a fait couler commeencre. Tels que les jugements sévères de quelques syndicats autonomes qui ont exprimé leur mécontentement et leur déception. C'est le cas du secrétaire général du Snapest, qui déclare que c'est une "catastrophe". Le secrétaire généraldu Satef, à son tour, dénonce une décision, qui "souille le baccalauréat". Quant au Conseil des lycées d'Algérie (Cla), ce dernier, fustige une "honte nationale". Alors pour relâcher la pression ou pousser un coup de gueule, beaucoup se sont défoulés sur les réseaux sociaux. Pour rappel, cette session qui concerne en tout 103.000 candidats, selon les chiffres révélés par des syndicats, à la suite de leur réunion avec la ministre de l'Education, est une session pour les candidatsqui n'ont pas pu passerleurs examens à cause du retard qu'ils ont mis pour rejoindre les centres d'examens. Le Premier ministre avait indiqué, que c'est "le président de la République qui a pris la decision de son organisation et ce, après avoir entendu les doléances des parents d'élèves et là, il a ordonné au gouvernement de préparer une session spéciale pour ces retardataires", écartant ainsi la tenue d'une session spéciale pour tout le baccalauréat. Pour cette année encore, le retrait des convocations se fera par le biais du Net. Les candidats à cet examen devront donc accéder au site Internet de l'Office national des examens et des concours (Onec) : (http://bac.onec.dz) et retirer le document en question. L'invité de cette chaîne de télévision, le représentant du ministère de l'Education nationale a précisé que l'on parle du baccalauréat 2017 et non d'une session principale ou d'une session spéciale quand il s'agit des résultats. A propos de ce point précis, le même interlocuteur, a déclaré que les résultats des deux sessions de l'examen du baccalauréat seront dévoilés avant la fin de juillet courant. Entre-temps le ministère se chargera d'une mission particulière, à savoir veiller à réunir tous les moyens, tant humains, matériels que sécuritaires pour assurer le bon déroulement de l'examen. Une mission qu'il semble prendre à coeur au vu de ce qu'elle a fait couler commeencre. Tels que les jugements sévères de quelques syndicats autonomes qui ont exprimé leur mécontentement et leur déception. C'est le cas du secrétaire général du Snapest, qui déclare que c'est une "catastrophe". Le secrétaire généraldu Satef, à son tour, dénonce une décision, qui "souille le baccalauréat". Quant au Conseil des lycées d'Algérie (Cla), ce dernier, fustige une "honte nationale". Alors pour relâcher la pression ou pousser un coup de gueule, beaucoup se sont défoulés sur les réseaux sociaux. Pour rappel, cette session qui concerne en tout 103.000 candidats, selon les chiffres révélés par des syndicats, à la suite de leur réunion avec la ministre de l'Education, est une session pour les candidatsqui n'ont pas pu passerleurs examens à cause du retard qu'ils ont mis pour rejoindre les centres d'examens. Le Premier ministre avait indiqué, que c'est "le président de la République qui a pris la decision de son organisation et ce, après avoir entendu les doléances des parents d'élèves et là, il a ordonné au gouvernement de préparer une session spéciale pour ces retardataires", écartant ainsi la tenue d'une session spéciale pour tout le baccalauréat.