Abdelghani Hamel ne partage pas l'avis d'Ahmed Ouyahia sur les réfugiés africains. Abdelghani Hamel ne partage pas l'avis d'Ahmed Ouyahia sur les réfugiés africains. Pour le Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN),les réfugiés africains en Algérie n'ont pas commis de dépassements graves. Interrogé hier sur d'éventuels dépassements de la part des réfugiés, le chef de la police a minimiséla situation. "Il y a des dépassements (dela part des réfugiés) mais c'est quelque chose deléger. Ce n'est pas quelque chose qu'on peutqualifier de phénomène", a-t-il dit.Pour lui, la question des réfugiés est "avant toutpolitique. Il appartient aux politiques de prendre les décisions. Nous les appliquerons", a-t-il dit. Ces déclarations viennent démentir cellesd'Ahmed Ouyhia. "Ces étrangers en séjour irrégulier sont source de crime, de drogue et deplusieurs autres fléaux", a affirmé, le 9 juilletdernier, le directeur de cabinet de la présidencede la République. Des propos qui ont provoquéune vague d'indignation à travers le pays et des réactions à l'étranger Pour le Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN),les réfugiés africains en Algérie n'ont pas commis de dépassements graves. Interrogé hier sur d'éventuels dépassements de la part des réfugiés, le chef de la police a minimiséla situation. "Il y a des dépassements (dela part des réfugiés) mais c'est quelque chose deléger. Ce n'est pas quelque chose qu'on peutqualifier de phénomène", a-t-il dit.Pour lui, la question des réfugiés est "avant toutpolitique. Il appartient aux politiques de prendre les décisions. Nous les appliquerons", a-t-il dit. Ces déclarations viennent démentir cellesd'Ahmed Ouyhia. "Ces étrangers en séjour irrégulier sont source de crime, de drogue et deplusieurs autres fléaux", a affirmé, le 9 juilletdernier, le directeur de cabinet de la présidencede la République. Des propos qui ont provoquéune vague d'indignation à travers le pays et des réactions à l'étranger