Le club phare de Lavigerie continue à vivre une situation délicate avec ce bras de fer qui s'accentue entre les deux ‘'présidents'' de l'USM Harrach, Mohamed Laïb et Abdelkader Mana. Le club phare de Lavigerie continue à vivre une situation délicate avec ce bras de fer qui s'accentue entre les deux ‘'présidents'' de l'USM Harrach, Mohamed Laïb et Abdelkader Mana. Après les graves déclarations d'Abdelkader Mana, c'est au tour de son rival Mohamed Laïb de faire de graves révélations. "Quand je suis parti j'ai laissé 8 milliards dans le compte du club. Je reviens et je trouve l'USMH avec 10 milliards de dettes. Dans les déclarations de Mana il existe énormément de choses fausses. D'abord, pour éclairer l'opinion publique, je tiens à dire que l'entraîneur Boualem Charef ne perçoit pas un salaire de 254 millions comme cela a été dit par Mana. Je lui donne 132 millions, alors qu'il atteint les 150 sous l'ère de Mana. Le plus grave, c'est le fait de me qualifier d'homme étranger", a expliqué Mohamed Laïb. Ce dernier s'est exprimé également sur l'effectif et avoue "ce n'est pas avec cet effectif qu'El-Harrach va évoluer en Ligue 1. Je crains une situation plus compliquée que celle vécue la saison dernière", a-t-il avoué. Pour ce qui concerne la gestion du club, Mohamed Laïb confirme qu'il ne compte pas s'en mêler en ce moment. "Pour l'intérêt du club, je me contente des procédures administratives. Moi et tous mes collaborateurs nous sommes en train de préparer tous les documents qui concernent le club et prendre les mesures qui s'imposent, dont l'ouverture du capital", a déclaré Mohamed Laïb. Il y a lieu de signaler qu'une réunion avait été organisée il y a deux semaines par Laïb et quelques actionnaires du club. Les présents ont décidé de rappeler l'entraîneur Boualem Charef pour prendre les destinées techniques du club. "Il ne faut pas avoir la mémoire courte. Charef a beaucoup donné pour l'USM Harrach, c'est l'avis des spécialiste", a indiqué Laïb. Mais, tout ce qui a été décidé lors de cette réunion est tombé à l'eau. L'autre président Abdelkader Mana, qui était en France, a vite rallié Alger pour défendre son statut. "Je suis le président légitime de l'USM Harrach et tous les documents le confirment. Je suis un enfant d'El-Harrach et j'ai travaillé avec toutes les générations précédentes. J'ai l'accord de la majorité des membres du conseil d'administration et je suis le premier responsable de l'USM Harrach. La justice m'a donné raison en se fixant sur la date de l'assemblée générale pour le mois d'août prochain. J'invite tout le monde à y prendre part y compris Laïb", a indiqué, de son côté, Abdelkader Mana. Ce dernier a déjà officialisé avec l'entraîneur Younes Ifticen lequel a débuté cette semaine sa mission à la tête de la barre technique des Harrachis. Mais, rappelonsle, rien n'indique qu'il travaillera dans la sérénité la plus totale. Cette absence de consensus entre Laïb et Mana continuera à provoquer la crise sur tous les plans, avec le constat amer qui se résume en une seule phrase : "Rien ne va plus dans la maison harrachie." Ce bras de fer s'est déjà répercuté sur l'équipe et continuera encore à le faire si ses auteurs principaux persistent dans leur entêtement. Après les graves déclarations d'Abdelkader Mana, c'est au tour de son rival Mohamed Laïb de faire de graves révélations. "Quand je suis parti j'ai laissé 8 milliards dans le compte du club. Je reviens et je trouve l'USMH avec 10 milliards de dettes. Dans les déclarations de Mana il existe énormément de choses fausses. D'abord, pour éclairer l'opinion publique, je tiens à dire que l'entraîneur Boualem Charef ne perçoit pas un salaire de 254 millions comme cela a été dit par Mana. Je lui donne 132 millions, alors qu'il atteint les 150 sous l'ère de Mana. Le plus grave, c'est le fait de me qualifier d'homme étranger", a expliqué Mohamed Laïb. Ce dernier s'est exprimé également sur l'effectif et avoue "ce n'est pas avec cet effectif qu'El-Harrach va évoluer en Ligue 1. Je crains une situation plus compliquée que celle vécue la saison dernière", a-t-il avoué. Pour ce qui concerne la gestion du club, Mohamed Laïb confirme qu'il ne compte pas s'en mêler en ce moment. "Pour l'intérêt du club, je me contente des procédures administratives. Moi et tous mes collaborateurs nous sommes en train de préparer tous les documents qui concernent le club et prendre les mesures qui s'imposent, dont l'ouverture du capital", a déclaré Mohamed Laïb. Il y a lieu de signaler qu'une réunion avait été organisée il y a deux semaines par Laïb et quelques actionnaires du club. Les présents ont décidé de rappeler l'entraîneur Boualem Charef pour prendre les destinées techniques du club. "Il ne faut pas avoir la mémoire courte. Charef a beaucoup donné pour l'USM Harrach, c'est l'avis des spécialiste", a indiqué Laïb. Mais, tout ce qui a été décidé lors de cette réunion est tombé à l'eau. L'autre président Abdelkader Mana, qui était en France, a vite rallié Alger pour défendre son statut. "Je suis le président légitime de l'USM Harrach et tous les documents le confirment. Je suis un enfant d'El-Harrach et j'ai travaillé avec toutes les générations précédentes. J'ai l'accord de la majorité des membres du conseil d'administration et je suis le premier responsable de l'USM Harrach. La justice m'a donné raison en se fixant sur la date de l'assemblée générale pour le mois d'août prochain. J'invite tout le monde à y prendre part y compris Laïb", a indiqué, de son côté, Abdelkader Mana. Ce dernier a déjà officialisé avec l'entraîneur Younes Ifticen lequel a débuté cette semaine sa mission à la tête de la barre technique des Harrachis. Mais, rappelonsle, rien n'indique qu'il travaillera dans la sérénité la plus totale. Cette absence de consensus entre Laïb et Mana continuera à provoquer la crise sur tous les plans, avec le constat amer qui se résume en une seule phrase : "Rien ne va plus dans la maison harrachie." Ce bras de fer s'est déjà répercuté sur l'équipe et continuera encore à le faire si ses auteurs principaux persistent dans leur entêtement.