La chute des cours du brut auquel l'Algérie, depuis deux ans, a impacté négativement le programme d'investissement du groupe pétrolier nationale, Sonatrach. Le contexte économique du pays étant difficile, Sonatrach a décidé de revoir son plan de développement dans son volet de raffinage. C'est le président directeur général du groupe pétrolier, Abdeloumen Ould Kaddour qui l'a fait savoir, hier, lors de sa tournée dans des champs pétroliers et gaziers de Hassi Messaoud et Gassi Touil. La chute des cours du brut auquel l'Algérie, depuis deux ans, a impacté négativement le programme d'investissement du groupe pétrolier nationale, Sonatrach. Le contexte économique du pays étant difficile, Sonatrach a décidé de revoir son plan de développement dans son volet de raffinage. C'est le président directeur général du groupe pétrolier, Abdeloumen Ould Kaddour qui l'a fait savoir, hier, lors de sa tournée dans des champs pétroliers et gaziers de Hassi Messaoud et Gassi Touil. Il a, à ce propos, a précisé que le groupe n'opérait pas une réorientation de sa stratégie mais prenait plutôt une prise en considération du contexte économique mondial avant de rappeler qu'"il y a deux ans, lorsque le baril de brut coûtait environs 150 dollars, Sonatrach avait planifié de construire cinq raffineries. Mais actuellement, avec un prix du baril entre 40 et 50 dollars, ce n'est pas évident".Pour Ould Kaddour, "le plus important est alors de construire nos deux raffineries essentielles pour répondre à nos besoins". Il a fait savoir que le projet d'une raffinerie à Hassi-Messaoud serait lancée avant la fin de l'année et que l'opération de la raffinerie de Tiaret sera lancée au début del'année prochaine. S'agissant de la raffineriede Sidi R'cine, le P.-dg du groupe adéclaré que "malheureusement" celle-ci est"l'arrêt" tout en soutenant que sa "repriseest en cours et j'espère qu'elle sera opérationnelleà la fin 2018". Ould Kaddour a,par ailleurs, estimé qu'il fallait "être fiersde ce qui se fait en Algérie par les entreprisesalgériennes: bien que l'engineering soit assuré par des entreprises étrangères, ilest bon de savoir que nous avons des capacités de développement locales". Dansce sens, il a observé que le partenariatrestait "un élément de développementéconomique incontournable", ajoutant que le groupe a besoin de partenaires qui disposent d'une technologie et d'un savoir-faire. Il a, à ce propos, a précisé que le groupe n'opérait pas une réorientation de sa stratégie mais prenait plutôt une prise en considération du contexte économique mondial avant de rappeler qu'"il y a deux ans, lorsque le baril de brut coûtait environs 150 dollars, Sonatrach avait planifié de construire cinq raffineries. Mais actuellement, avec un prix du baril entre 40 et 50 dollars, ce n'est pas évident".Pour Ould Kaddour, "le plus important est alors de construire nos deux raffineries essentielles pour répondre à nos besoins". Il a fait savoir que le projet d'une raffinerie à Hassi-Messaoud serait lancée avant la fin de l'année et que l'opération de la raffinerie de Tiaret sera lancée au début del'année prochaine. S'agissant de la raffineriede Sidi R'cine, le P.-dg du groupe adéclaré que "malheureusement" celle-ci est"l'arrêt" tout en soutenant que sa "repriseest en cours et j'espère qu'elle sera opérationnelleà la fin 2018". Ould Kaddour a,par ailleurs, estimé qu'il fallait "être fiersde ce qui se fait en Algérie par les entreprisesalgériennes: bien que l'engineering soit assuré par des entreprises étrangères, ilest bon de savoir que nous avons des capacités de développement locales". Dansce sens, il a observé que le partenariatrestait "un élément de développementéconomique incontournable", ajoutant que le groupe a besoin de partenaires qui disposent d'une technologie et d'un savoir-faire.