L a guerre larvée entre le président de la Fédération Algérienne de Football et son homologue, et néanmoins subalterne, de la Ligue de football professionnel, (LFP) Mahfoud Kerbadj, se prononce davantage avec un mensonge gros comme ça, qui n'honore point ses potentiels auteurs. Genèse. L a guerre larvée entre le président de la Fédération Algérienne de Football et son homologue, et néanmoins subalterne, de la Ligue de football professionnel, (LFP) Mahfoud Kerbadj, se prononce davantage avec un mensonge gros comme ça, qui n'honore point ses potentiels auteurs. Genèse. Lundi, le président de la FAF invite les présidents des ligues 1 et 2 pour un tour de table intéressant la maison. Deux figures de proue manquent à l'appel. Le président de l'ESS Hassan Hammar et, surtout, le patron de la LFP. Si des observateurs avertis ont mis cela sur le compte des rapports conflictuels latents entre les deux hommes et le premier responsable de la FAF, en revanche l'opinion se trouve interloquée par le motif invoqué, très officiellement, pour expliquer l'absence duplus concerné d'entre tous par la réunion :Mahfoud Kerbadj. En effet, et lors duconclave d'avant-hier, Kheirdine Zetchi adéploré l'absence du président de la LFP, endépit de "son invitation à la réunion» a-t-il ainsi soutenu, précisant qu' «il a été invitéà prendre part à ce conclave en sa qualitéd'acteur majeur du football national pourpermettre une discussion plus riche sur ledevenir de la pratique footballistique enAlgérie". Le même argument est repris dans le compte rendu de la réunion, publié sur le site officiel de la FAF. Mais hier,l'opinion, médusée, est alertée par un communiqué, signé Mahfoud Kerbadj et où il s'est dit "consterné" par ce qu'il susurred'être un gros mensonge, soutenant, à sontour que "La LFP n'a été destinataire d'aucuneinvitation à cette réunion, ni au présidentde la LFP ni à la Ligue".En définitive et au-delà de la gravité du faiten soi, et qui marque une rupture inexorable entre les deux hommes, se pose une question des plus légitimes : qui a menti, et ans quel intérêt ? Lundi, le président de la FAF invite les présidents des ligues 1 et 2 pour un tour de table intéressant la maison. Deux figures de proue manquent à l'appel. Le président de l'ESS Hassan Hammar et, surtout, le patron de la LFP. Si des observateurs avertis ont mis cela sur le compte des rapports conflictuels latents entre les deux hommes et le premier responsable de la FAF, en revanche l'opinion se trouve interloquée par le motif invoqué, très officiellement, pour expliquer l'absence duplus concerné d'entre tous par la réunion :Mahfoud Kerbadj. En effet, et lors duconclave d'avant-hier, Kheirdine Zetchi adéploré l'absence du président de la LFP, endépit de "son invitation à la réunion» a-t-il ainsi soutenu, précisant qu' «il a été invitéà prendre part à ce conclave en sa qualitéd'acteur majeur du football national pourpermettre une discussion plus riche sur ledevenir de la pratique footballistique enAlgérie". Le même argument est repris dans le compte rendu de la réunion, publié sur le site officiel de la FAF. Mais hier,l'opinion, médusée, est alertée par un communiqué, signé Mahfoud Kerbadj et où il s'est dit "consterné" par ce qu'il susurred'être un gros mensonge, soutenant, à sontour que "La LFP n'a été destinataire d'aucuneinvitation à cette réunion, ni au présidentde la LFP ni à la Ligue".En définitive et au-delà de la gravité du faiten soi, et qui marque une rupture inexorable entre les deux hommes, se pose une question des plus légitimes : qui a menti, et ans quel intérêt ?