Le feuilleton du patron de l'ETRHB, Ali Haddad, qui tient en haleine l'opinion publique nationale ces derniers jours, n'est semble-t-il pas prêt de connaître son épilogue. Le feuilleton du patron de l'ETRHB, Ali Haddad, qui tient en haleine l'opinion publique nationale ces derniers jours, n'est semble-t-il pas prêt de connaître son épilogue. ContenuSon entreprise, l'ETRHB accusée par de nombreuses institutions et organismes publics de n'avoir pas honoré certaines obligations contractuelles et qui lui ont, par conséquent, adressés plusieurs mises en demeure, vient de sortir de son mutisme. Dans des encarts publicitaires publiés sur quelques journaux l'entreprise d'Ali Haddad rejette dans le fond et dans la forme le contenu des 9 mises en demeure dont elle a été destinataire. Aux menus détails l'ETRHB a, en effet, répondu à propos de nombreux projets concernant notamment des chantiers de réalisation, de routes, d'autoroutes et une ligne ferroviaire. Pour tous les projets, objets des mises en demeure, cette entreprise répond que les griefs des organismes et institutions publics sont "infondés" et "injustifiés". Dans chacune des 9 réponses l'ETRHB ne manque pas de préciser le montant exact du projet, les avances financières effectuées par les organismes publics ainsi que l'état d'avancement des travaux. Il ressort clairement, selon les explications fournies par l'entreprise, que les retards qu'accusent les chantiers de réalisation ou même l'arrêt de certains d'entre eux sont essentiellement dus à l'attitude de ces institutions publiques. En somme pour l'entreprise d'Ali Haddad c'est à chaque fois le maître d'ouvrage, donc l'Etat, qui est responsable de cette déplorable situation. L'ETRHB cite, entre autres, ses longues attentes pour l'approbation d'avenants, les arrêts répétitifs des travaux pour causes d'intempéries et d'approbation d'avenants. nDes retards de réalisation sont aussi dus aux contraintes liées aux expropriations des terres et aux réseaux électriques en reprochant au maître d'ouvrage de n'avoir pas, à temps, assaini certains dossiers quientravent la réalisation des projets. Mieuxencore cette entreprise annonce que les organismes publics se distinguent aussi par leurs retards de paiement. D'ailleurs, à ce propos, l'ETRHB révèle que les institutions publiques lui doivent lasomme de 12,3 milliards de dinars. L'Etat est ainsi accusé d'être un mauvais payeur. Pour mieux illustrer ces réponses de l'entreprise ETRHB citons l'exemple duprojet d'évitement de la ville deBoumerdès. Dans sa réponse à la mise endemeure l'entreprise d'Ali Haddad soutientque "le projet a connu un arrêt de 58 mois par ordre de service numéro 1 du 31 décmebre 2010 pour non libération d'empriseet oppositions des riverains. L'ODSde reprise n'a été notifié à l'entreprise qu'en date du 12 octobre 2015". Sur ceprojet, l'ETRHB affirme que "l'avancementphysique a atteint un taux de70 %" et précise que les "travaux d'enrobérestants sont subordonnés à l'achèvementde l'ouvrage d'art en cours de réalisationpar l'entreprise publique Sapta". En conséquencel'entreprise estime que la mise en demeure est "infondée et injustifiée".Notons que l'ETRHB a été destinataire,en date du 16 juillet dernier, de pas moinsde 9 mises en demeure émanant notamment d'organismes publics dessecteurs des travaux publics lui enjoignant de souscrire à ses obligations contractuels et d'achever les travaux de bréalisation de ces 9 projets. ContenuSon entreprise, l'ETRHB accusée par de nombreuses institutions et organismes publics de n'avoir pas honoré certaines obligations contractuelles et qui lui ont, par conséquent, adressés plusieurs mises en demeure, vient de sortir de son mutisme. Dans des encarts publicitaires publiés sur quelques journaux l'entreprise d'Ali Haddad rejette dans le fond et dans la forme le contenu des 9 mises en demeure dont elle a été destinataire. Aux menus détails l'ETRHB a, en effet, répondu à propos de nombreux projets concernant notamment des chantiers de réalisation, de routes, d'autoroutes et une ligne ferroviaire. Pour tous les projets, objets des mises en demeure, cette entreprise répond que les griefs des organismes et institutions publics sont "infondés" et "injustifiés". Dans chacune des 9 réponses l'ETRHB ne manque pas de préciser le montant exact du projet, les avances financières effectuées par les organismes publics ainsi que l'état d'avancement des travaux. Il ressort clairement, selon les explications fournies par l'entreprise, que les retards qu'accusent les chantiers de réalisation ou même l'arrêt de certains d'entre eux sont essentiellement dus à l'attitude de ces institutions publiques. En somme pour l'entreprise d'Ali Haddad c'est à chaque fois le maître d'ouvrage, donc l'Etat, qui est responsable de cette déplorable situation. L'ETRHB cite, entre autres, ses longues attentes pour l'approbation d'avenants, les arrêts répétitifs des travaux pour causes d'intempéries et d'approbation d'avenants. nDes retards de réalisation sont aussi dus aux contraintes liées aux expropriations des terres et aux réseaux électriques en reprochant au maître d'ouvrage de n'avoir pas, à temps, assaini certains dossiers quientravent la réalisation des projets. Mieuxencore cette entreprise annonce que les organismes publics se distinguent aussi par leurs retards de paiement. D'ailleurs, à ce propos, l'ETRHB révèle que les institutions publiques lui doivent lasomme de 12,3 milliards de dinars. L'Etat est ainsi accusé d'être un mauvais payeur. Pour mieux illustrer ces réponses de l'entreprise ETRHB citons l'exemple duprojet d'évitement de la ville deBoumerdès. Dans sa réponse à la mise endemeure l'entreprise d'Ali Haddad soutientque "le projet a connu un arrêt de 58 mois par ordre de service numéro 1 du 31 décmebre 2010 pour non libération d'empriseet oppositions des riverains. L'ODSde reprise n'a été notifié à l'entreprise qu'en date du 12 octobre 2015". Sur ceprojet, l'ETRHB affirme que "l'avancementphysique a atteint un taux de70 %" et précise que les "travaux d'enrobérestants sont subordonnés à l'achèvementde l'ouvrage d'art en cours de réalisationpar l'entreprise publique Sapta". En conséquencel'entreprise estime que la mise en demeure est "infondée et injustifiée".Notons que l'ETRHB a été destinataire,en date du 16 juillet dernier, de pas moinsde 9 mises en demeure émanant notamment d'organismes publics dessecteurs des travaux publics lui enjoignant de souscrire à ses obligations contractuels et d'achever les travaux de bréalisation de ces 9 projets.