Encore une fois c'est le secrétaire général du parti du Front de libération nationale(FLN) qui est monté au créneau pour dire haut et fort que c'est le président de la République, Abdelaziz Bouteflika , et personne d'autre qui est bel et bien au gouvernail. Encore une fois c'est le secrétaire général du parti du Front de libération nationale(FLN) qui est monté au créneau pour dire haut et fort que c'est le président de la République, Abdelaziz Bouteflika , et personne d'autre qui est bel et bien au gouvernail. Djamal Ould Abbès dément ainsi toutes les rumeurs selon lesquelles le chef de l'Etat, malade et affaibli, ne gouverne plus le pays et que, par voie de conséquence, certaines personnes gouvernent en son nom. "Je jure par Dieu que c'est le président Bouteflika qui dirige le pays, qui prend les décisions, malgré tout ce qui ce dit ça et là" a en effet martelé hier Ould Abbès lors d'une conférence de presse organisée en marge d'une réunion avec les mouhafadhs du parti consacrée à la préparation des prochaines élections locales. "Les dernières instructions au sujet des marchandises bloquées au port d'Alger, sont une preuve irréfragable que le président Bouteflika suit de près tout ce qui se passe au pays" insiste encore Ould Abbès qui faisait référence à la directive adressée aux banques par le ministère du Commerce, par le biais de l'Association des professionnelle des banques et des établissements financiers (Abef), leur enjoignant la "libération sans délais" des marchandises bloquées par les services douaniers dans les ports algériens . Interrogé sur la polémique provoquée par le rencontre entre Tebboune avec son homologue français, Edouard Philipe et les récentes directives du président Bouteflika pour mettre fin à "l'anarchie" qui s'est installée dans la gestion du commerce extérieur, que d'aucuns ont qualifiés de recadrage du chef de l'Etat de l'action de son Premier ministre, le patron du FLN s'est d'abord limité à dire "quand le président parle, on ne doit plus polémiquer, on applique les instructions du président, on ne les commente pas, il est le chef suprême des armées, il a laconfiance du peuple, c'est lui le président,c'est lui le dirigeant." Après insistance des journalistes, OuldAbbès explique que "Tebboune estnommé Premier ministre par le présidentde la République, tant qu'il a la confiancedu président, il a celle du FLN."Et Ould Abbès de rappeler que"Tebboune fait partie de la direction du FLN", avant de réitérer sa fidélité enversle président Bouteflika, en appuyant surles mots pour bien faire passer son message."Ma fidélité au président Bouteflikaprime sur ma fidélité à d'autres personne",lâche-t-il.Pour le secrétaire général du FLN, les dernières instructions du présidentBouteflika prouvent qu'il y a un présidentde la République qui suit et qui tranche. "C'est le président de la République quiest le patron", a déclaré Ould Abbès. "Les ernières instructions prouvent aussi quece qui se dit ici et là est faux", a en outreaffirmé le secrétaire général du FLN,faisant allusion aux rumeurs sur l'état e santé déclinant du président Bouteflika. Djamal Ould Abbès dément ainsi toutes les rumeurs selon lesquelles le chef de l'Etat, malade et affaibli, ne gouverne plus le pays et que, par voie de conséquence, certaines personnes gouvernent en son nom. "Je jure par Dieu que c'est le président Bouteflika qui dirige le pays, qui prend les décisions, malgré tout ce qui ce dit ça et là" a en effet martelé hier Ould Abbès lors d'une conférence de presse organisée en marge d'une réunion avec les mouhafadhs du parti consacrée à la préparation des prochaines élections locales. "Les dernières instructions au sujet des marchandises bloquées au port d'Alger, sont une preuve irréfragable que le président Bouteflika suit de près tout ce qui se passe au pays" insiste encore Ould Abbès qui faisait référence à la directive adressée aux banques par le ministère du Commerce, par le biais de l'Association des professionnelle des banques et des établissements financiers (Abef), leur enjoignant la "libération sans délais" des marchandises bloquées par les services douaniers dans les ports algériens . Interrogé sur la polémique provoquée par le rencontre entre Tebboune avec son homologue français, Edouard Philipe et les récentes directives du président Bouteflika pour mettre fin à "l'anarchie" qui s'est installée dans la gestion du commerce extérieur, que d'aucuns ont qualifiés de recadrage du chef de l'Etat de l'action de son Premier ministre, le patron du FLN s'est d'abord limité à dire "quand le président parle, on ne doit plus polémiquer, on applique les instructions du président, on ne les commente pas, il est le chef suprême des armées, il a laconfiance du peuple, c'est lui le président,c'est lui le dirigeant." Après insistance des journalistes, OuldAbbès explique que "Tebboune estnommé Premier ministre par le présidentde la République, tant qu'il a la confiancedu président, il a celle du FLN."Et Ould Abbès de rappeler que"Tebboune fait partie de la direction du FLN", avant de réitérer sa fidélité enversle président Bouteflika, en appuyant surles mots pour bien faire passer son message."Ma fidélité au président Bouteflikaprime sur ma fidélité à d'autres personne",lâche-t-il.Pour le secrétaire général du FLN, les dernières instructions du présidentBouteflika prouvent qu'il y a un présidentde la République qui suit et qui tranche. "C'est le président de la République quiest le patron", a déclaré Ould Abbès. "Les ernières instructions prouvent aussi quece qui se dit ici et là est faux", a en outreaffirmé le secrétaire général du FLN,faisant allusion aux rumeurs sur l'état e santé déclinant du président Bouteflika.