Alors que la date n'a même pas été fixée et le corps électoral non encore convoqué par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, les partis politiques sont déjà tous focalisés sur l s prochaines élections locales dont tout porte à croire qu'elles auront lieu, de coutume d'ailleurs, vers la fin du mois de novembre. Alors que la date n'a même pas été fixée et le corps électoral non encore convoqué par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, les partis politiques sont déjà tous focalisés sur l s prochaines élections locales dont tout porte à croire qu'elles auront lieu, de coutume d'ailleurs, vers la fin du mois de novembre. Il semble que pour bien préparer cette importante échéance électorale, les partis politiques ont sacrifié les vacances et les congés. A tout le moins c'est le cas pour les états-majors politiques. Tous les grands partis tiennent, en effet, des réunions périodiques pour peaufiner les préparatifs et mettre en place toute la logistique nécessaire pour être prêts le jour "J". Ce week-end deux partis politiques ont organisé d'importantes réunions organiques. Le FLN et le FFS, puisque c'est d'eux qu'il s'agit, ont respectivement battu le rappel des mouhafadhs et de l'instance présidentielle ou de cruciales décisions ont été prises. Ainsi pour le FLN, parti majoritaire dans les assemblées élues faut-il encore le rappeler, son secrétaire général, Djamal Ould Abbès, a eu l'opportunité d'instruire les mouhafadhs sur ce rendez-vous électoral. "Les prochaines élections constituent un virage crucial pour l'Algérie, eu égard à leur rôle dans la préservation de la stabilité et de la sécurité du pays. Il s'agit d'élire des présidents d'APC, et tout le monde sait que la base de l'Etat commence par cette institution", a déclaré Djamel Ould Abbès. Et d'ajouter que "la chose la plus importante est que tout doit se passer dans la transparence. Nous n'avons rien à cacher. Celui qui mérite d'être candidat doit l'être pour le bien de notre parti mais aussi le bien des citoyens et du pays". Le premier responsable du FLN a instruit par ailleurs les mouhafadh et les responsables de commissions électorales à mettre en place une commissionchargée d'élaborer une "stratégie pourpréparer" les élections locales. "Cette commission a pour but de rassembler la famille du FLN. Ensuite, on passera à une autre étape, à savoir l'élaboration d'une stratégie sûre pour réussir les élections".Le FFS n'est pas en reste. Il vient eneffet d'installer un directoire nationalchargé de diriger tout ce qui a trait auxélections locales et notamment la campagneélectorale. Ce directoire aura à sa tête, comme coordinateur, le secrétaire national chargé du pôle des relations internationales du parti, Madjid Rouar. Le plus vieux parti de l'opposition a, rappelons-le, procédé à un lifting au sein dela direction puisque Hadj DjilaniMohamed a été désigné au poste de premiersecrétaire en remplacement de Abdelmalek Bouchafa.De plus la direction nationale a convoquéla commission nationale de choix decandidatures pour aujourd'hui lundi ausiège national du parti pour procéder à son installation. C'est dire que les choses sérieuses commencent pour ce parti politique.Comme c'est le cas pour d'autresformations politiques quoi ont entamé lespréparatifs beaucoup plus tôt que prévu, àl'exemple du MSP et du RCD qui ont toutrécemment tenu d'importantes réunionsorganiques. Il faut dire que la majoritédes partis politiques a annoncé sa participationpour ces élections. El Islah et lemouvement Enahda l'ont, ainsi, toutrécemment confirmé. Mais pour d'autres partis, à l'exemple de Talaiou El Houriat qui a déjà boycotté les élections législatives, comme c'estaussi le cas pour Jil Jadid, l'heure est à la tergiversation. Il semble que pour bien préparer cette importante échéance électorale, les partis politiques ont sacrifié les vacances et les congés. A tout le moins c'est le cas pour les états-majors politiques. Tous les grands partis tiennent, en effet, des réunions périodiques pour peaufiner les préparatifs et mettre en place toute la logistique nécessaire pour être prêts le jour "J". Ce week-end deux partis politiques ont organisé d'importantes réunions organiques. Le FLN et le FFS, puisque c'est d'eux qu'il s'agit, ont respectivement battu le rappel des mouhafadhs et de l'instance présidentielle ou de cruciales décisions ont été prises. Ainsi pour le FLN, parti majoritaire dans les assemblées élues faut-il encore le rappeler, son secrétaire général, Djamal Ould Abbès, a eu l'opportunité d'instruire les mouhafadhs sur ce rendez-vous électoral. "Les prochaines élections constituent un virage crucial pour l'Algérie, eu égard à leur rôle dans la préservation de la stabilité et de la sécurité du pays. Il s'agit d'élire des présidents d'APC, et tout le monde sait que la base de l'Etat commence par cette institution", a déclaré Djamel Ould Abbès. Et d'ajouter que "la chose la plus importante est que tout doit se passer dans la transparence. Nous n'avons rien à cacher. Celui qui mérite d'être candidat doit l'être pour le bien de notre parti mais aussi le bien des citoyens et du pays". Le premier responsable du FLN a instruit par ailleurs les mouhafadh et les responsables de commissions électorales à mettre en place une commissionchargée d'élaborer une "stratégie pourpréparer" les élections locales. "Cette commission a pour but de rassembler la famille du FLN. Ensuite, on passera à une autre étape, à savoir l'élaboration d'une stratégie sûre pour réussir les élections".Le FFS n'est pas en reste. Il vient eneffet d'installer un directoire nationalchargé de diriger tout ce qui a trait auxélections locales et notamment la campagneélectorale. Ce directoire aura à sa tête, comme coordinateur, le secrétaire national chargé du pôle des relations internationales du parti, Madjid Rouar. Le plus vieux parti de l'opposition a, rappelons-le, procédé à un lifting au sein dela direction puisque Hadj DjilaniMohamed a été désigné au poste de premiersecrétaire en remplacement de Abdelmalek Bouchafa.De plus la direction nationale a convoquéla commission nationale de choix decandidatures pour aujourd'hui lundi ausiège national du parti pour procéder à son installation. C'est dire que les choses sérieuses commencent pour ce parti politique.Comme c'est le cas pour d'autresformations politiques quoi ont entamé lespréparatifs beaucoup plus tôt que prévu, àl'exemple du MSP et du RCD qui ont toutrécemment tenu d'importantes réunionsorganiques. Il faut dire que la majoritédes partis politiques a annoncé sa participationpour ces élections. El Islah et lemouvement Enahda l'ont, ainsi, toutrécemment confirmé. Mais pour d'autres partis, à l'exemple de Talaiou El Houriat qui a déjà boycotté les élections législatives, comme c'estaussi le cas pour Jil Jadid, l'heure est à la tergiversation.